Angel-fr

Vive la solidarité !

Juste pour dire que je ne trouve pas ça génial de reprocher à quelqu'un d'être malade et d'avoir un petit moyen de subsistance maintenu.

Faudrait-il à vos yeux que cette dame se vende pour subsister et pour qu'elle ait le droit de parrainer ?

Bonjour

J'ai arrêté ma lecture en page 3 (ben oui, je fais une allergie aux citations trop nombreuses ^^).

Je me dis que, dans cette situation, avant même de faire le moindre début de constat d'échec, je me demanderais ce qui ne fonctionne pas dans ma démarche :

- est-ce que mon ciblage d'entreprises est cohérent avec mon projet professionnel et ma formation professionnelle ?

- est-ce que ma manière d'aborder ces entreprises correspond aux attentes des entreprises Québécoises en matière de candidature ? (mon cv et ma lettre de motivation sont-ils rédigés à la québécoise, adaptés à chaque candidature et avec une bonne lisibilité ?)

- est-ce que ma manière d'exprimer les choses est intelligible par un recruteur québécois ?

- pour beaucoup d'entreprises, être souple au niveau des horaires et des tâches est essentiel : est-ce que je le suis ?

-etc

Chaque question en appelle une ou plusieurs autres qui parfois permettent d'augmenter considérablement ses chances d'être reçu en entretien.

Faire un bilan de compétences peut permettre de répondre à une bonne partie, et pour l'autre, il s'agit d'un travail sur soi.

A chaque fois que l'on renonce, il faut alors se poser la question si ça valait le coup de s'investir autant sans avoir tout essayé.

Bonne chance dans vos recherches.

Bonjour

J'ai arrêté ma lecture en page 3 (ben oui, je fais une allergie aux citations trop nombreuses ^^).

Je me dis que, dans cette situation, avant même de faire le moindre début de constat d'échec, je me demanderais ce qui ne fonctionne pas dans ma démarche :

- est-ce que mon ciblage d'entreprises est cohérent avec mon projet professionnel et ma formation professionnelle ?

- est-ce que ma manière d'aborder ces entreprises correspond aux attentes des entreprises Québécoises en matière de candidature ? (mon cv et ma lettre de motivation sont-ils rédigés à la québécoise, adaptés à chaque candidature et avec une bonne lisibilité ?)

- est-ce que ma manière d'exprimer les choses est intelligible par un recruteur québécois ?

- pour beaucoup d'entreprises, être souple au niveau des horaires et des tâches est essentiel : est-ce que je le suis ?

-etc

Chaque question en appelle une ou plusieurs autres qui parfois permettent d'augmenter considérablement ses chances d'être reçu en entretien.

Faire un bilan de compétences peut permettre de répondre à une bonne partie, et pour l'autre, il s'agit d'un travail sur soi.

A chaque fois que l'on renonce, il faut alors se poser la question si ça valait le coup de s'investir autant sans avoir tout essayé.

Bonne chance dans vos recherches.

Vive la solidarité !

Juste pour dire que je ne trouve pas ça génial de reprocher à quelqu'un d'être malade et d'avoir un petit moyen de subsistance maintenu.

Faudrait-il à vos yeux que cette dame se vende pour subsister et pour qu'elle ait le droit de parrainer ?

Bonjour

J'ai arrêté ma lecture en page 3 (ben oui, je fais une allergie aux citations trop nombreuses ^^).

Je me dis que, dans cette situation, avant même de faire le moindre début de constat d'échec, je me demanderais ce qui ne fonctionne pas dans ma démarche :

- est-ce que mon ciblage d'entreprises est cohérent avec mon projet professionnel et ma formation professionnelle ?

- est-ce que ma manière d'aborder ces entreprises correspond aux attentes des entreprises Québécoises en matière de candidature ? (mon cv et ma lettre de motivation sont-ils rédigés à la québécoise, adaptés à chaque candidature et avec une bonne lisibilité ?)

- est-ce que ma manière d'exprimer les choses est intelligible par un recruteur québécois ?

- pour beaucoup d'entreprises, être souple au niveau des horaires et des tâches est essentiel : est-ce que je le suis ?

-etc

Chaque question en appelle une ou plusieurs autres qui parfois permettent d'augmenter considérablement ses chances d'être reçu en entretien.

Faire un bilan de compétences peut permettre de répondre à une bonne partie, et pour l'autre, il s'agit d'un travail sur soi.

A chaque fois que l'on renonce, il faut alors se poser la question si ça valait le coup de s'investir autant sans avoir tout essayé.

Bonne chance dans vos recherches.

Vive la solidarité !

Juste pour dire que je ne trouve pas ça génial de reprocher à quelqu'un d'être malade et d'avoir un petit moyen de subsistance maintenu.

Faudrait-il à vos yeux que cette dame se vende pour subsister et pour qu'elle ait le droit de parrainer ?

Vive la solidarité !

Juste pour dire que je ne trouve pas ça génial de reprocher à quelqu'un d'être malade et d'avoir un petit moyen de subsistance maintenu.

Faudrait-il à vos yeux que cette dame se vende pour subsister et pour qu'elle ait le droit de parrainer ?

Vive la solidarité !

Juste pour dire que je ne trouve pas ça génial de reprocher à quelqu'un d'être malade et d'avoir un petit moyen de subsistance maintenu.

Faudrait-il à vos yeux que cette dame se vende pour subsister et pour qu'elle ait le droit de parrainer ?

Ben là... il s'agit de 2 personnes qui semblent vraiment s'aimer et qui ne semblent pas baigner dans les soucis matériels.

L'autre solution c'est que cette jeune femme quitte son pays pour aller vivre au Mexique (et pour faire plaisir à dentan ).

Par ailleurs, de tous ceux (ou celles) qui sont venus au Québec depuis la France (... que j'ai pu lire dans de nombreux topics ici même) et qui ont fait un parrainage à l'intérieur du Canada, aucun(e) (toujours dans ceux que j'ai lu) n'a déclaré qu'il (elle) venait au Canada pour se marier et ne pas repartir... du moins de ceux pour qui ça a fonctionné. D'ailleurs, dans le cas contraire, l'accès au Canada leur aurait été refusé.

... mais sinon, je savais que ça allait faire réagir.

Enfin, je me dis que c'est parfaitement envisageable de rendre visite à un parent au Canada (dans leur cas particulier).
Ils peuvent aussi décider de rester ensemble et voir un peu plus comment ça se déroule.
Leur préoccupation n'est pas de "tricher" comme tu l'écris dentan, mais bel et bien d'être ensemble.

Je m'étonne encore de la capacité de tout un chacun à revendiquer le droit de dire ce qu'il pense alors que, bien souvent, il n'y a pas la moindre "raison" apparente dans le propos.
Le flot des mots est parfois le résultat d'une course folle dans l'anarchie la plus totale d'un esprit opaque. Le mot devient alors ineptie et propos irraisonné.

S'il s'agit d'arguer qu'il s'agit de franchise, c'est aussi l'aveu de faiblesse de cette capacité à penser les choses. Inutile d'attendre de la proactivité de tels esprits.
S'en suit alors un entêtement s'appuyant sur ces 2 valeurs faussement revendiquées.

Cela révèle au final, une aptitude incroyable de bien des gens, à se mentir à eux-mêmes. Cette perte de conscience (et de contact avec des réalités) est l'effet de voiles bien plus profonds (je vous épargnerai donc l'approche freudienne).

Pour ceux qui ne l'auraient pas compris, le thème du forum immigrer.com semble être l'entre-aide, ou l'on partage ses expériences et pas un forum destiné à démolir ceux qui interviennent.
Il ne s'agit pas d'entrer dans le moindre consensus mais bel et bien de guider ceux qui ont du mal à se repérer et éventuellement les soutenir.
Croire qu'imposer une forme de "désordre" permet d'affirmer que l'on a une personalité forte, est une démarche d'adolescent en mal de reconnaissance.

Je vous invite donc à prendre ce qui précède comme un constat de barrières à la communication, barrière insurmontable pour les moins "rationnels".

Je m'étonne encore de la capacité de tout un chacun à revendiquer le droit de dire ce qu'il pense alors que, bien souvent, il n'y a pas la moindre "raison" apparente dans le propos.
Le flot des mots est parfois le résultat d'une course folle dans l'anarchie la plus totale d'un esprit opaque. Le mot devient alors ineptie et propos irraisonné.

S'il s'agit d'arguer qu'il s'agit de franchise, c'est aussi l'aveu de faiblesse de cette capacité à penser les choses. Inutile d'attendre de la proactivité de tels esprits.
S'en suit alors un entêtement s'appuyant sur ces 2 valeurs faussement revendiquées.

Cela révèle au final, une aptitude incroyable de bien des gens, à se mentir à eux-mêmes. Cette perte de conscience (et de contact avec des réalités) est l'effet de voiles bien plus profonds (je vous épargnerai donc l'approche freudienne).

Pour ceux qui ne l'auraient pas compris, le thème du forum immigrer.com semble être l'entre-aide, ou l'on partage ses expériences et pas un forum destiné à démolir ceux qui interviennent.
Il ne s'agit pas d'entrer dans le moindre consensus mais bel et bien de guider ceux qui ont du mal à se repérer et éventuellement les soutenir.
Croire qu'imposer une forme de "désordre" permet d'affirmer que l'on a une personalité forte, est une démarche d'adolescent en mal de reconnaissance.

Je vous invite donc à prendre ce qui précède comme un constat de barrières à la communication, barrière insurmontable pour les moins "rationnels".

Je m'étonne encore de la capacité de tout un chacun à revendiquer le droit de dire ce qu'il pense alors que, bien souvent, il n'y a pas la moindre "raison" apparente dans le propos.
Le flot des mots est parfois le résultat d'une course folle dans l'anarchie la plus totale d'un esprit opaque. Le mot devient alors ineptie et propos irraisonné.

S'il s'agit d'arguer qu'il s'agit de franchise, c'est aussi l'aveu de faiblesse de cette capacité à penser les choses. Inutile d'attendre de la proactivité de tels esprits.
S'en suit alors un entêtement s'appuyant sur ces 2 valeurs faussement revendiquées.

Cela révèle au final, une aptitude incroyable de bien des gens, à se mentir à eux-mêmes. Cette perte de conscience (et de contact avec des réalités) est l'effet de voiles bien plus profonds (je vous épargnerai donc l'approche freudienne).

Pour ceux qui ne l'auraient pas compris, le thème du forum immigrer.com semble être l'entre-aide, ou l'on partage ses expériences et pas un forum destiné à démolir ceux qui interviennent.
Il ne s'agit pas d'entrer dans le moindre consensus mais bel et bien de guider ceux qui ont du mal à se repérer et éventuellement les soutenir.
Croire qu'imposer une forme de "désordre" permet d'affirmer que l'on a une personalité forte, est une démarche d'adolescent en mal de reconnaissance.

Je vous invite donc à prendre ce qui précède comme un constat de barrières à la communication, barrière insurmontable pour les moins "rationnels".

Je m'étonne encore de la capacité de tout un chacun à revendiquer le droit de dire ce qu'il pense alors que, bien souvent, il n'y a pas la moindre "raison" apparente dans le propos.
Le flot des mots est parfois le résultat d'une course folle dans l'anarchie la plus totale d'un esprit opaque. Le mot devient alors ineptie et propos irraisonné.

S'il s'agit d'arguer qu'il s'agit de franchise, c'est aussi l'aveu de faiblesse de cette capacité à penser les choses. Inutile d'attendre de la proactivité de tels esprits.
S'en suit alors un entêtement s'appuyant sur ces 2 valeurs faussement revendiquées.

Cela révèle au final, une aptitude incroyable de bien des gens, à se mentir à eux-mêmes. Cette perte de conscience (et de contact avec des réalités) est l'effet de voiles bien plus profonds (je vous épargnerai donc l'approche freudienne).

Pour ceux qui ne l'auraient pas compris, le thème du forum immigrer.com semble être l'entre-aide, ou l'on partage ses expériences et pas un forum destiné à démolir ceux qui interviennent.
Il ne s'agit pas d'entrer dans le moindre consensus mais bel et bien de guider ceux qui ont du mal à se repérer et éventuellement les soutenir.
Croire qu'imposer une forme de "désordre" permet d'affirmer que l'on a une personalité forte, est une démarche d'adolescent en mal de reconnaissance.

Je vous invite donc à prendre ce qui précède comme un constat de barrières à la communication, barrière insurmontable pour les moins "rationnels".

Je m'étonne encore de la capacité de tout un chacun à revendiquer le droit de dire ce qu'il pense alors que, bien souvent, il n'y a pas la moindre "raison" apparente dans le propos.
Le flot des mots est parfois le résultat d'une course folle dans l'anarchie la plus totale d'un esprit opaque. Le mot devient alors ineptie et propos irraisonné.

S'il s'agit d'arguer qu'il s'agit de franchise, c'est aussi l'aveu de faiblesse de cette capacité à penser les choses. Inutile d'attendre de la proactivité de tels esprits.
S'en suit alors un entêtement s'appuyant sur ces 2 valeurs faussement revendiquées.

Cela révèle au final, une aptitude incroyable de bien des gens, à se mentir à eux-mêmes. Cette perte de conscience (et de contact avec des réalités) est l'effet de voiles bien plus profonds (je vous épargnerai donc l'approche freudienne).

Pour ceux qui ne l'auraient pas compris, le thème du forum immigrer.com semble être l'entre-aide, ou l'on partage ses expériences et pas un forum destiné à démolir ceux qui interviennent.
Il ne s'agit pas d'entrer dans le moindre consensus mais bel et bien de guider ceux qui ont du mal à se repérer et éventuellement les soutenir.
Croire qu'imposer une forme de "désordre" permet d'affirmer que l'on a une personalité forte, est une démarche d'adolescent en mal de reconnaissance.

Je vous invite donc à prendre ce qui précède comme un constat de barrières à la communication, barrière insurmontable pour les moins "rationnels".

Je m'étonne encore de la capacité de tout un chacun à revendiquer le droit de dire ce qu'il pense alors que, bien souvent, il n'y a pas la moindre "raison" apparente dans le propos.
Le flot des mots est parfois le résultat d'une course folle dans l'anarchie la plus totale d'un esprit opaque. Le mot devient alors ineptie et propos irraisonné.

S'il s'agit d'arguer qu'il s'agit de franchise, c'est aussi l'aveu de faiblesse de cette capacité à penser les choses. Inutile d'attendre de la proactivité de tels esprits.
S'en suit alors un entêtement s'appuyant sur ces 2 valeurs faussement revendiquées.

Cela révèle au final, une aptitude incroyable de bien des gens, à se mentir à eux-mêmes. Cette perte de conscience (et de contact avec des réalités) est l'effet de voiles bien plus profonds (je vous épargnerai donc l'approche freudienne).

Pour ceux qui ne l'auraient pas compris, le thème du forum immigrer.com semble être l'entre-aide, ou l'on partage ses expériences et pas un forum destiné à démolir ceux qui interviennent.
Il ne s'agit pas d'entrer dans le moindre consensus mais bel et bien de guider ceux qui ont du mal à se repérer et éventuellement les soutenir.
Croire qu'imposer une forme de "désordre" permet d'affirmer que l'on a une personalité forte, est une démarche d'adolescent en mal de reconnaissance.

Je vous invite donc à prendre ce qui précède comme un constat de barrières à la communication, barrière insurmontable pour les moins "rationnels".

... et c'est donc en 1988, que le kit kat a changé de recette et est passé d'un super bon truc/chose/machin, à de la gauffrette enrobée de chococaoutchouc.

Parfois quand on dit que c'était mieux avant, c'est vrai ^^.

HEUREUSEMENT... il y a les "coffee crisp" qui rappellent étrangement l'ancienne version "kit kat" avec un délicat parfum de café

il faut s'envoler pour le Canada puis à l'arrivée, signaler que l'on vient valider sa RP aux douanes.

On est alors orienté vers l'ASFC (après avoir récupéré ses bagages) où l'on présente sa CRP.

Il ne reste plus qu'à passer au MICC si l'on reste au Québec, puis sortir ^^.

Vous êtes toujours couvert par son engagement et si elle vous refuse l'accès à votre lieu d'habitation commun, vous devriez le déclarer.

Ceci étant, et pour donner mon avis, je ne crois pas que votre femme soit bipolaire. Les gens bipolaires changent d'humeur sans aucune raison or elle en a (des raisons).

De ce que j'en lis, votre femme a le sentiment de porter le poids du monde sur ses épaules et que vous ne prenez pas en charge votre part. Elle semble avoir un sentiment d'étouffement financier et qu'elle est la seule à réaliser que vous glissez doucement (à deux) vers une faillite.
De ce fait, elle semble souffrir de dépression plutôt que de bipolarité.

Par ailleurs, les anti-dépresseurs ont un effet catastrophique sur les gens qui ne sont pas suivis par un professionnel de santé, au point de créer une dépendance à la cause de leur mal (l'antidépresseur).

Il vous appartient donc de regarder en face la situation et faire des choix plutôt qu'ils ne vous soient imposés. Vous avez peut-être à prendre vos responsabilités en cherchant et trouvant une solution.

Si vous n'avez pas rompu la communication avec votre épouse, vous devriez peut-être faire le point ensemble et voir quelles démarches peuvent être faites :
- soit pour sauver votre union,
- soit pour pouvoir vivre chacun de votre côté mais en bonne intelligence.

J'arrive tout de même à imaginer ce que pourrait être l'inconfort de votre situation, dans le sens où vous avez abandonné votre pays et vos habitudes pour rejoindre celle que vous aimez peut-être encore. Il faut juste ne pas oublier que la personne que vous avez rejoint souhaite peut-être non seulement un soutien moral mais aussi un réel investissement, une vraie volonté d'engagement de votre part pour faire face aux charges de l'existence.


Comme quoi, vivre d'amour et d'eau fraîche n'est définitivement pas possible dans une société de consommation.

Bonne chance

Mes parents ont eux aussi laissé famille et amis derrière eux en partant de la suisse en 1977.

3 jeunes enfants sous le bras, dont moi, 3 ans qui ne comprenait pas grand chose à ce qui m'arrivait.

Ont disparu petit à petit tout leur petit monde...leurs parents, leurs oncles, tantes... et pas mal de leurs amis.

Un coup de téléphone, une mauvaise nouvelle, on pleure,on envoie des fleurs, on se remet et on continue.... c'est ce qu'il faudrait faire aussi s'ils était resté là-bas.

Mais leur vie est ici et le principal : leurs enfants sont heureux et surtout, ils se sentent chez eux dans ce Québec qui nous a accueilli.

ils ont encore une famille : nous leurs enfants.... et ils ont un super réseaux d'amis, dont des Suisses immigrés eux aussi, histoire de se remémorer l'ancien temps.

Mais pour rien au monde ils ne quitteraient leur nouvelle vie qui dure depuis 37 ans....

Vous êtes toujours couvert par son engagement et si elle vous refuse l'accès à votre lieu d'habitation commun, vous devriez le déclarer.

Ceci étant, et pour donner mon avis, je ne crois pas que votre femme soit bipolaire. Les gens bipolaires changent d'humeur sans aucune raison or elle en a (des raisons).

De ce que j'en lis, votre femme a le sentiment de porter le poids du monde sur ses épaules et que vous ne prenez pas en charge votre part. Elle semble avoir un sentiment d'étouffement financier et qu'elle est la seule à réaliser que vous glissez doucement (à deux) vers une faillite.
De ce fait, elle semble souffrir de dépression plutôt que de bipolarité.

Par ailleurs, les anti-dépresseurs ont un effet catastrophique sur les gens qui ne sont pas suivis par un professionnel de santé, au point de créer une dépendance à la cause de leur mal (l'antidépresseur).

Il vous appartient donc de regarder en face la situation et faire des choix plutôt qu'ils ne vous soient imposés. Vous avez peut-être à prendre vos responsabilités en cherchant et trouvant une solution.

Si vous n'avez pas rompu la communication avec votre épouse, vous devriez peut-être faire le point ensemble et voir quelles démarches peuvent être faites :
- soit pour sauver votre union,
- soit pour pouvoir vivre chacun de votre côté mais en bonne intelligence.

J'arrive tout de même à imaginer ce que pourrait être l'inconfort de votre situation, dans le sens où vous avez abandonné votre pays et vos habitudes pour rejoindre celle que vous aimez peut-être encore. Il faut juste ne pas oublier que la personne que vous avez rejoint souhaite peut-être non seulement un soutien moral mais aussi un réel investissement, une vraie volonté d'engagement de votre part pour faire face aux charges de l'existence.


Comme quoi, vivre d'amour et d'eau fraîche n'est définitivement pas possible dans une société de consommation.

Bonne chance

Vous êtes toujours couvert par son engagement et si elle vous refuse l'accès à votre lieu d'habitation commun, vous devriez le déclarer.

Ceci étant, et pour donner mon avis, je ne crois pas que votre femme soit bipolaire. Les gens bipolaires changent d'humeur sans aucune raison or elle en a (des raisons).

De ce que j'en lis, votre femme a le sentiment de porter le poids du monde sur ses épaules et que vous ne prenez pas en charge votre part. Elle semble avoir un sentiment d'étouffement financier et qu'elle est la seule à réaliser que vous glissez doucement (à deux) vers une faillite.
De ce fait, elle semble souffrir de dépression plutôt que de bipolarité.

Par ailleurs, les anti-dépresseurs ont un effet catastrophique sur les gens qui ne sont pas suivis par un professionnel de santé, au point de créer une dépendance à la cause de leur mal (l'antidépresseur).

Il vous appartient donc de regarder en face la situation et faire des choix plutôt qu'ils ne vous soient imposés. Vous avez peut-être à prendre vos responsabilités en cherchant et trouvant une solution.

Si vous n'avez pas rompu la communication avec votre épouse, vous devriez peut-être faire le point ensemble et voir quelles démarches peuvent être faites :
- soit pour sauver votre union,
- soit pour pouvoir vivre chacun de votre côté mais en bonne intelligence.

J'arrive tout de même à imaginer ce que pourrait être l'inconfort de votre situation, dans le sens où vous avez abandonné votre pays et vos habitudes pour rejoindre celle que vous aimez peut-être encore. Il faut juste ne pas oublier que la personne que vous avez rejoint souhaite peut-être non seulement un soutien moral mais aussi un réel investissement, une vraie volonté d'engagement de votre part pour faire face aux charges de l'existence.


Comme quoi, vivre d'amour et d'eau fraîche n'est définitivement pas possible dans une société de consommation.

Bonne chance

Vous êtes toujours couvert par son engagement et si elle vous refuse l'accès à votre lieu d'habitation commun, vous devriez le déclarer.

Ceci étant, et pour donner mon avis, je ne crois pas que votre femme soit bipolaire. Les gens bipolaires changent d'humeur sans aucune raison or elle en a (des raisons).

De ce que j'en lis, votre femme a le sentiment de porter le poids du monde sur ses épaules et que vous ne prenez pas en charge votre part. Elle semble avoir un sentiment d'étouffement financier et qu'elle est la seule à réaliser que vous glissez doucement (à deux) vers une faillite.
De ce fait, elle semble souffrir de dépression plutôt que de bipolarité.

Par ailleurs, les anti-dépresseurs ont un effet catastrophique sur les gens qui ne sont pas suivis par un professionnel de santé, au point de créer une dépendance à la cause de leur mal (l'antidépresseur).

Il vous appartient donc de regarder en face la situation et faire des choix plutôt qu'ils ne vous soient imposés. Vous avez peut-être à prendre vos responsabilités en cherchant et trouvant une solution.

Si vous n'avez pas rompu la communication avec votre épouse, vous devriez peut-être faire le point ensemble et voir quelles démarches peuvent être faites :
- soit pour sauver votre union,
- soit pour pouvoir vivre chacun de votre côté mais en bonne intelligence.

J'arrive tout de même à imaginer ce que pourrait être l'inconfort de votre situation, dans le sens où vous avez abandonné votre pays et vos habitudes pour rejoindre celle que vous aimez peut-être encore. Il faut juste ne pas oublier que la personne que vous avez rejoint souhaite peut-être non seulement un soutien moral mais aussi un réel investissement, une vraie volonté d'engagement de votre part pour faire face aux charges de l'existence.


Comme quoi, vivre d'amour et d'eau fraîche n'est définitivement pas possible dans une société de consommation.

Bonne chance

Vous êtes toujours couvert par son engagement et si elle vous refuse l'accès à votre lieu d'habitation commun, vous devriez le déclarer.

Ceci étant, et pour donner mon avis, je ne crois pas que votre femme soit bipolaire. Les gens bipolaires changent d'humeur sans aucune raison or elle en a (des raisons).

De ce que j'en lis, votre femme a le sentiment de porter le poids du monde sur ses épaules et que vous ne prenez pas en charge votre part. Elle semble avoir un sentiment d'étouffement financier et qu'elle est la seule à réaliser que vous glissez doucement (à deux) vers une faillite.
De ce fait, elle semble souffrir de dépression plutôt que de bipolarité.

Par ailleurs, les anti-dépresseurs ont un effet catastrophique sur les gens qui ne sont pas suivis par un professionnel de santé, au point de créer une dépendance à la cause de leur mal (l'antidépresseur).

Il vous appartient donc de regarder en face la situation et faire des choix plutôt qu'ils ne vous soient imposés. Vous avez peut-être à prendre vos responsabilités en cherchant et trouvant une solution.

Si vous n'avez pas rompu la communication avec votre épouse, vous devriez peut-être faire le point ensemble et voir quelles démarches peuvent être faites :
- soit pour sauver votre union,
- soit pour pouvoir vivre chacun de votre côté mais en bonne intelligence.

J'arrive tout de même à imaginer ce que pourrait être l'inconfort de votre situation, dans le sens où vous avez abandonné votre pays et vos habitudes pour rejoindre celle que vous aimez peut-être encore. Il faut juste ne pas oublier que la personne que vous avez rejoint souhaite peut-être non seulement un soutien moral mais aussi un réel investissement, une vraie volonté d'engagement de votre part pour faire face aux charges de l'existence.


Comme quoi, vivre d'amour et d'eau fraîche n'est définitivement pas possible dans une société de consommation.

Bonne chance

Vous êtes toujours couvert par son engagement et si elle vous refuse l'accès à votre lieu d'habitation commun, vous devriez le déclarer.

Ceci étant, et pour donner mon avis, je ne crois pas que votre femme soit bipolaire. Les gens bipolaires changent d'humeur sans aucune raison or elle en a (des raisons).

De ce que j'en lis, votre femme a le sentiment de porter le poids du monde sur ses épaules et que vous ne prenez pas en charge votre part. Elle semble avoir un sentiment d'étouffement financier et qu'elle est la seule à réaliser que vous glissez doucement (à deux) vers une faillite.
De ce fait, elle semble souffrir de dépression plutôt que de bipolarité.

Par ailleurs, les anti-dépresseurs ont un effet catastrophique sur les gens qui ne sont pas suivis par un professionnel de santé, au point de créer une dépendance à la cause de leur mal (l'antidépresseur).

Il vous appartient donc de regarder en face la situation et faire des choix plutôt qu'ils ne vous soient imposés. Vous avez peut-être à prendre vos responsabilités en cherchant et trouvant une solution.

Si vous n'avez pas rompu la communication avec votre épouse, vous devriez peut-être faire le point ensemble et voir quelles démarches peuvent être faites :
- soit pour sauver votre union,
- soit pour pouvoir vivre chacun de votre côté mais en bonne intelligence.

J'arrive tout de même à imaginer ce que pourrait être l'inconfort de votre situation, dans le sens où vous avez abandonné votre pays et vos habitudes pour rejoindre celle que vous aimez peut-être encore. Il faut juste ne pas oublier que la personne que vous avez rejoint souhaite peut-être non seulement un soutien moral mais aussi un réel investissement, une vraie volonté d'engagement de votre part pour faire face aux charges de l'existence.


Comme quoi, vivre d'amour et d'eau fraîche n'est définitivement pas possible dans une société de consommation.

Bonne chance

Vous êtes toujours couvert par son engagement et si elle vous refuse l'accès à votre lieu d'habitation commun, vous devriez le déclarer.

Ceci étant, et pour donner mon avis, je ne crois pas que votre femme soit bipolaire. Les gens bipolaires changent d'humeur sans aucune raison or elle en a (des raisons).

De ce que j'en lis, votre femme a le sentiment de porter le poids du monde sur ses épaules et que vous ne prenez pas en charge votre part. Elle semble avoir un sentiment d'étouffement financier et qu'elle est la seule à réaliser que vous glissez doucement (à deux) vers une faillite.
De ce fait, elle semble souffrir de dépression plutôt que de bipolarité.

Par ailleurs, les anti-dépresseurs ont un effet catastrophique sur les gens qui ne sont pas suivis par un professionnel de santé, au point de créer une dépendance à la cause de leur mal (l'antidépresseur).

Il vous appartient donc de regarder en face la situation et faire des choix plutôt qu'ils ne vous soient imposés. Vous avez peut-être à prendre vos responsabilités en cherchant et trouvant une solution.

Si vous n'avez pas rompu la communication avec votre épouse, vous devriez peut-être faire le point ensemble et voir quelles démarches peuvent être faites :
- soit pour sauver votre union,
- soit pour pouvoir vivre chacun de votre côté mais en bonne intelligence.

J'arrive tout de même à imaginer ce que pourrait être l'inconfort de votre situation, dans le sens où vous avez abandonné votre pays et vos habitudes pour rejoindre celle que vous aimez peut-être encore. Il faut juste ne pas oublier que la personne que vous avez rejoint souhaite peut-être non seulement un soutien moral mais aussi un réel investissement, une vraie volonté d'engagement de votre part pour faire face aux charges de l'existence.


Comme quoi, vivre d'amour et d'eau fraîche n'est définitivement pas possible dans une société de consommation.

Bonne chance