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kobico

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  1. Haha
    kobico a réagi à qwintine dans ?? Pas facile d'être Français au Québec même après 17 ans   
    Statistiquement, la majorité de la population étant blanche (60% d’Euro-Americains) … la position dominante du blanc dans toutes les sphères du pouvoir aux USA étant ce qu’elle est  et donc la sous-représentation du non homme blanc … ma punchline est tout à fait cohérente. 

    https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Euro-Américains
    https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Blancs_américains
     
     
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    kobico a reçu une réaction de Hellendorff dans ?? Pas facile d'être Français au Québec même après 17 ans   
    Cette discrimination ne cadre pas avec la théorie où tous les Blancs sont privilégiés, consciemment ou non. Elle n'a aucune valeur politique. 
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    kobico a reçu une réaction de jimmy dans ?? Pas facile d'être Français au Québec même après 17 ans   
    Cette discrimination ne cadre pas avec la théorie où tous les Blancs sont privilégiés, consciemment ou non. Elle n'a aucune valeur politique. 
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    kobico a reçu une réaction de jimmy dans ?? Pas facile d'être Français au Québec même après 17 ans   
    Et si le "top manager unilingue" est francophone, ce serait donc dommage de s'en priver, n'est-ce-pas?
     
    Par ailleurs, que penses-tu du fait que des universités et de grandes entreprises se privent d'embaucher des personnes avec un meilleur profil académique et des compétences supérieures au profit  de personnes qui ont la bonne couleur de peau, la bonne ethnicité ou une identité sexuelle et/ou de genre minoritaire...? Est-ce que créer une nouvelle injustice est la meilleure chose à faire pour en corriger une autre...?
     
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    kobico a reçu une réaction de Hellendorff dans ?? Pas facile d'être Français au Québec même après 17 ans   
    Les années 2000 ne marquent ni le début ni la fin de la question LGBTQ+ et des luttes sociales qui s'y rattachent.
     
    Petit résumé:
     
    "Dans le sillage de la contreculture et de la mobilisation, au cours des années 1960, des femmes, des noirs et des jeunes apparaît soudainement le mouvement de libération gaie. Il prend forme à partir des émeutes du Stonewall Inn de New York, en juin 1969, un jour après qu’au Canada la loi Omnibus décriminalise les actes homosexuels entre deux adultes consentants en privé. Les groupes précurseurs du mouvement homophile sont vite débordés par les revendications de groupes plus jeunes et plus militants qui se répandent à travers l’Amérique du Nord.
     
    À Montréal, la revue Mainmise est le fer de lance de la contreculture et c’est par son entremise qu’est publié le premier appel pour la formation d’un groupe gai pour la défense des droits des gais. Fondé au printemps 1971, le Front de libération homosexuel (FLH) ouvre rapidement un local rue Saint-Denis où les gais peuvent se rencontrer pour parler, participer à des discussions et écrire leurs commentaires dans le « livre de bord ».
     
    De plus, en 1973, apparaît la librairie L’Androgyne pour desservir les gais et les lesbiennes. En 1977, l’Association pour les droits des gais du Québec (ADGQ) est fondée, qui deviendra par la suite l’Association pour les droits des gais et des lesbiennes du Québec (ADGLQ), prend le relais pour revendiquer politiquement des droits pour les gais et les lesbiennes. Ces organisations ont maintenant disparu mais elles ont été remplacées par une foule d’autres organisations plus militantes et plus revendicatrices.
    ..........................
    Les années 60 et 70 au Québec sont caractérisées par le bouillonnement des mouvements sociaux. Selon Tremblay et Podmore (2015), le mouvement lesbien québécois aurait émergé grâce au recoupement de deux autres mouvements : le féminisme et le mouvement de libération gaie. La première organisation lesbienne distincte des groupes féministes est fondée en 1973 par des femmes qui ont quitté le groupe de libération gaie de l’Université McGill
    Les lesbiennes tendent à être invisibilisées au sein de la société québécoise et parfois même au sein de la communauté LGBTQ2+ elle-même.
    ........................................
    Le premier grand organisme pour les personnes trans au Québec a vu le jour en 1980."
     
    http://agq.qc.ca/histoire-des-communautes-lgbtq2s-du-quebec/
     
    Ce qui a changé au cours des années 2000 est l'imprégnation de l'idéologie woke au sein des groupes militants. La division du mouvement féministe entre féministes universalistes ( pro Loi 21) et féministes intersectionnalistes (contre la Loi 21) en est un exemple. Le mouvement queer radical en est un autre:
     
    "Le mouvement queer est multiforme et inclusif. Il s’adresse à toutes les personnes issues des minorités sexuelles ou de genre qui ne s’identifient pas au modèle normatif hétérosexuel et cisgenré qui prévaut dans la société.
    ...............................
    Le mouvement puise ses racines intellectuelles dans la théorie queer apparue dans les universités américaines et britanniques sous l’influence du féminisme matérialiste et lesbien, ainsi que de la théorie postcoloniale depuis les années 1970. Les penseurs queers (Ferguson, Puar, Duggan, Han, Sedgwick et Butler) mettent en évidence l’influence de la culture ambiante sur l’expression et la construction du genre et de la sexualité, ainsi que des rôles et des identités qui y sont associés. La théorie queer s’oppose à toute normativité et à la rigidité des binarismes masculin/féminin ou hétéro/homosexuel. À partir des années 1990, le queer radical se différencie de la théorie queer – considérée trop académique – et se rapproche de l’anarchisme, du marxisme et du féminisme radical. Dénonçant ce qu’il perçoit comme un tournant libéral conservateur de la communauté LGBTQIA2, le militantisme queer se veut intersectionnel et inclusif, dans le but de favoriser l’expression de membres autrement souvent marginalisés, notamment les personnes racisées ou trans.
    ....................
    À Montréal, bien enraciné dans les Universités McGill (Queer McGill) et Concordia (Queer Concordia), le mouvement donna aussi naissance à plusieurs groupes dénonçant la commercialisation et les discriminations présentes dans la communauté LGBTQIA2 (sexisme, hétérosexisme, homonormativité, classisme, âgisme, sérophobie, racisme). Des groupes comme le P!nk Bloc (2000), les Panthères roses et QueerÉaction (2002 à 2007), Qteam et Radical Queer Anti-Capitalist Ass (2004 à 2007), le collectif Radical Queer, ou encore PolitiQ (2009). Le mouvement queer fut aussi à la base d’initiatives communautaires comme Projet10 (2009), qui travaille à promouvoir le bien-être des jeunes LGBTQIA2, ainsi que Plan Q, qui propose aux cégeps et aux universités des ateliers de sensibilisation aux luttes contre les LGBTphobies."
     
    http://agq.qc.ca/histoire-des-communautes-lgbtq2s-du-quebec/
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    kobico a réagi à jimmy dans ?? Pas facile d'être Français au Québec même après 17 ans   
    Mais tu vois c’est ça le truc; ça ne se peut pas; selon la philosophie woke, on ne peut pas être blanc et être discriminé, colonisé, écrasé.
     
    Et tout ce temps là ce que ces gens là font ( les wokes, QS et compagnie) c’est affaiblir le Québec, au plus grand plaisir de l’intellengtia anglo-saxone
     
     
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    kobico a reçu une réaction de jimmy dans ?? Pas facile d'être Français au Québec même après 17 ans   
    Les années 2000 ne marquent ni le début ni la fin de la question LGBTQ+ et des luttes sociales qui s'y rattachent.
     
    Petit résumé:
     
    "Dans le sillage de la contreculture et de la mobilisation, au cours des années 1960, des femmes, des noirs et des jeunes apparaît soudainement le mouvement de libération gaie. Il prend forme à partir des émeutes du Stonewall Inn de New York, en juin 1969, un jour après qu’au Canada la loi Omnibus décriminalise les actes homosexuels entre deux adultes consentants en privé. Les groupes précurseurs du mouvement homophile sont vite débordés par les revendications de groupes plus jeunes et plus militants qui se répandent à travers l’Amérique du Nord.
     
    À Montréal, la revue Mainmise est le fer de lance de la contreculture et c’est par son entremise qu’est publié le premier appel pour la formation d’un groupe gai pour la défense des droits des gais. Fondé au printemps 1971, le Front de libération homosexuel (FLH) ouvre rapidement un local rue Saint-Denis où les gais peuvent se rencontrer pour parler, participer à des discussions et écrire leurs commentaires dans le « livre de bord ».
     
    De plus, en 1973, apparaît la librairie L’Androgyne pour desservir les gais et les lesbiennes. En 1977, l’Association pour les droits des gais du Québec (ADGQ) est fondée, qui deviendra par la suite l’Association pour les droits des gais et des lesbiennes du Québec (ADGLQ), prend le relais pour revendiquer politiquement des droits pour les gais et les lesbiennes. Ces organisations ont maintenant disparu mais elles ont été remplacées par une foule d’autres organisations plus militantes et plus revendicatrices.
    ..........................
    Les années 60 et 70 au Québec sont caractérisées par le bouillonnement des mouvements sociaux. Selon Tremblay et Podmore (2015), le mouvement lesbien québécois aurait émergé grâce au recoupement de deux autres mouvements : le féminisme et le mouvement de libération gaie. La première organisation lesbienne distincte des groupes féministes est fondée en 1973 par des femmes qui ont quitté le groupe de libération gaie de l’Université McGill
    Les lesbiennes tendent à être invisibilisées au sein de la société québécoise et parfois même au sein de la communauté LGBTQ2+ elle-même.
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    Le premier grand organisme pour les personnes trans au Québec a vu le jour en 1980."
     
    http://agq.qc.ca/histoire-des-communautes-lgbtq2s-du-quebec/
     
    Ce qui a changé au cours des années 2000 est l'imprégnation de l'idéologie woke au sein des groupes militants. La division du mouvement féministe entre féministes universalistes ( pro Loi 21) et féministes intersectionnalistes (contre la Loi 21) en est un exemple. Le mouvement queer radical en est un autre:
     
    "Le mouvement queer est multiforme et inclusif. Il s’adresse à toutes les personnes issues des minorités sexuelles ou de genre qui ne s’identifient pas au modèle normatif hétérosexuel et cisgenré qui prévaut dans la société.
    ...............................
    Le mouvement puise ses racines intellectuelles dans la théorie queer apparue dans les universités américaines et britanniques sous l’influence du féminisme matérialiste et lesbien, ainsi que de la théorie postcoloniale depuis les années 1970. Les penseurs queers (Ferguson, Puar, Duggan, Han, Sedgwick et Butler) mettent en évidence l’influence de la culture ambiante sur l’expression et la construction du genre et de la sexualité, ainsi que des rôles et des identités qui y sont associés. La théorie queer s’oppose à toute normativité et à la rigidité des binarismes masculin/féminin ou hétéro/homosexuel. À partir des années 1990, le queer radical se différencie de la théorie queer – considérée trop académique – et se rapproche de l’anarchisme, du marxisme et du féminisme radical. Dénonçant ce qu’il perçoit comme un tournant libéral conservateur de la communauté LGBTQIA2, le militantisme queer se veut intersectionnel et inclusif, dans le but de favoriser l’expression de membres autrement souvent marginalisés, notamment les personnes racisées ou trans.
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    À Montréal, bien enraciné dans les Universités McGill (Queer McGill) et Concordia (Queer Concordia), le mouvement donna aussi naissance à plusieurs groupes dénonçant la commercialisation et les discriminations présentes dans la communauté LGBTQIA2 (sexisme, hétérosexisme, homonormativité, classisme, âgisme, sérophobie, racisme). Des groupes comme le P!nk Bloc (2000), les Panthères roses et QueerÉaction (2002 à 2007), Qteam et Radical Queer Anti-Capitalist Ass (2004 à 2007), le collectif Radical Queer, ou encore PolitiQ (2009). Le mouvement queer fut aussi à la base d’initiatives communautaires comme Projet10 (2009), qui travaille à promouvoir le bien-être des jeunes LGBTQIA2, ainsi que Plan Q, qui propose aux cégeps et aux universités des ateliers de sensibilisation aux luttes contre les LGBTphobies."
     
    http://agq.qc.ca/histoire-des-communautes-lgbtq2s-du-quebec/
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    kobico a reçu une réaction de jimmy dans ?? Pas facile d'être Français au Québec même après 17 ans   
    C'est le péché originel d'être blanc! 
     
    Même Blanc, nous sommes porteurs de plusieurs identités dont celle d'être un peuple lui-même colonisé. 
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    kobico a réagi à Azarielle dans ?? Pas facile d'être Français au Québec même après 17 ans   
    C'est là que j'ai décroché de QS, avec leur position sur la Loi-21. En tant qu'enseignante, je ne dois pas partager mes idées politiques, mes idées religieuses. Je ne peux pas faire de publicité non plus pour des produits. Je dois rester neutre devant mes élèves puisque mon influence, en tant qu'enseignante, reste importante auprès des jeunes. Je dois toujours agir en modèle devant eux. 
     
    La Loi-21 est en accord avec cette idée de neutralité où ne devons, en aucun temps, tenter de passer des idées politiques ou religieuses. 
     
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    kobico a réagi à Azarielle dans ?? Pas facile d'être Français au Québec même après 17 ans   
    Combattre quoi?
     
    Je travaille avec des être humains qui plus est sont en pleine adolescence. J'en ai croisés des adolescents qui se détestaient parce qu'ils ne sentaient pas bien dans leur corps, le moment où les corps se développent et deviennent distincts.  Sous prétexte que c'est choquant, je dois leur refuser d'être la personne qu'ils ont envie d'être? Non, je ne me considère pas woke, loin de là, mais je comprends qu'il y a des gens qui ne s'associent pas au sexe dans lequel ils sont nés et je préfère les savoir heureux parce que j'accepte leur identification de genre que de les savoir malheureux parce que certaines personnes ne comprennent pas leur situation et se sentent heurtées dans leurs valeurs. Je les aime mes élèves 
     
    Maintenant, qu'on ne soit pas tous logés à la même enseigne quant à notre vision de ce sujet, c'est correct. S'agresser les uns et les autres parce qu'on prétend de part et d'autres de détenir la vérité en est une autre. 
     
     
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    kobico a reçu une réaction de Hellendorff dans ?? Pas facile d'être Français au Québec même après 17 ans   
    Ce que tu peux faire preuve de mesquinerie et de prétention!
     
    Je constate qu'il est impossible de discuter intelligemment et respectueusement avec toi. Pourquoi te rabaisses-tu ainsi? Je croyais que tu valais mieux que cela. Je me suis trompée. 
     
    En passant, en toute bonne foi, j'avais aussi sous la main une référence qui défend le point de vue woke, comme quoi j'espérais un débat d'idées. Hélas, je suis "cancellée" ! 
     
    Bon vent!
     
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    kobico a reçu une réaction de Hellendorff dans ?? Pas facile d'être Français au Québec même après 17 ans   
    Vrai que l'utilisation du mot "woke" est parfois, disons, confondante.  
    On a vu le Premier ministre Legault traiter GND de woke et ensuite Éric Duhaime traiter Legault de woke...! 
     
    Selon moi, le mot "woke" est bien davantage qu'une simple appellation  à la mode pour désigner les tenants des mouvements progressistes de notre époque. Le wokisme  a un cadre théorique tout droit sorti des universités américaines. L'idéologie woke a été pensée, conceptualisée, avant d'être transmise  à travers l'action de militants. Certains y voient même une nouvelle religion séculaire en rupture d'avec l'humanisme, l'universalisme et la rationalité développée au siècle des Lumières. On comprend alors la menace qui pèse sur les fondements de nos sociétés occidentales et la bien imparfaite démocratie dans laquelle nous vivons. 
     
    Je t'invite fortement à lire ceci: https://www.revuedesdeuxmondes.fr/jean-francois-braunstein-ideologie-woke-snobisme-passager-sans-consequences/
     
    ou encore cela: https://www.ledevoir.com/monde/761529/jean-francois-braunstein-au-et-si-le-wokisme-etait-une-religion
     
    Bonne lecture! 
     
     
     
  13. J'aime
    kobico a reçu une réaction de Hellendorff dans ?? Pas facile d'être Français au Québec même après 17 ans   
    Disons-nous les vraies affaires! 
     
    Cela n'est pas une révélation  désincarnée d'affirmer, qu'à travers les âges, divers mouvements progressistes d'émancipation et de luttes sociales ont mené à divers gains pour les populations concernées et aussi, à l'ensemble des citoyens. Bien sûr, c'est un "work in progress" qu'il convient de parfaire toujours davantage, au Québec itou. 
     
    Jusque là, tout le monde est d'accord,non? 
     
    Qu'est-ce qui cloche donc avec le wokisme pour susciter tant d'opposition et de débats passionnés? 
     
    Une des citiques pertinentes est de relever que les individus soient définis que par leurs différences, leur(s) identité(s) spécifiques(s) au lieu de l'être sur une base commune, soit celle de leur appartenance à la Cité. Cela divise au lieu d'unir. 
     
    Lisez cet article de Murielle Chatelier, présidente et cofondatrice de l'association des Québécois contre le racialisme, qui dénonce les "safes spaces" en tant que racisme inversé.
     
    Dans son texte intitulé « Soirées “exclusives” », le chroniqueur Mario Girard a écrit à propos des membres de l’organisme que j’ai cofondé, l’Association des Québécois unis contre le racialisme (AQUR), « qu’il faut prendre son gaz égal » avant d’affirmer que les soirées théâtrales réservées aux « Noirs » sont une nouvelle forme de « ségrégation raciale ». À titre de personne à la peau noire, je persiste et signe : je n’accepterai jamais qu’on divise ma société en « Noirs » et « Blancs ».
    Contrairement à M. Girard, qui semble jouir de certains privilèges que je n’ai peut-être pas, je ne prendrai aucun pas de recul face à cette nouvelle pratique des safe spaces. Je continuerai à crier au scandale face à ce genre d’initiatives qui mettent à mal le vivre-ensemble, qui divisent mes concitoyens et qui répugnent à bon nombre de personnes à la peau noire.
    Car si certains semblent à l’aise de s’enfermer dans une chambre d’écho avec ceux qu’ils estiment être leurs semblables parce qu’ils partagent la même couleur de peau, ce n’est certainement pas le cas pour « toute nous autres », comme on dit par chez nous.
    Je peux vous assurer, M. Girard, que nous sommes plusieurs à fuir ce genre d’activités, car ce que nous souhaitons avant tout, c’est vivre en harmonie avec nos concitoyens, quelle que soit leur couleur de peau.
    Les personnes « noires » que je représente sont celles qui sont tannées d’entendre dans l’espace public un discours qui ne correspond pas à leur réalité. Ce sont des personnes qui veulent se tenir debout face à cette ségrégation raciale qui s’infiltre partout, même dans nos espaces de travail, où certains employeurs osent nous proposer de nous regrouper entre nous pour guérir nos blessures. Nous ne sommes pas systématiquement souffrants, monsieur.
      Je vais révéler un secret de Polichinelle : tous les « Noirs » ne pensent pas de la même façon. Eh oui, il y en a qui se sentiront en danger dans un safe space parce que la diversité d’opinions leur tient à cœur.
    Savez-vous ce qu’une personne comme moi risque en se présentant dans ce genre d’espaces ? De se faire traiter de traîtresse, de « coon » ou de « négresse de maison ». Car oui, monsieur, ce sont les insultes que certains progressistes « noirs » me balancent à l’occasion parce que, selon eux, je ne suis pas du bon côté de l’Histoire.
    Dans votre texte, vous dites que « c’est facile d’affirmer, quand on a toujours fait partie d’un groupe majoritaire, que ces soirées sont du racisme inversé ». Pourtant, j’ai la peau noire et je vous martèle que ces soirées sont bel et bien du racisme inversé. Mon désir, et celui de ceux que je représente, est de faire société avec ma société.
    La ségrégation raciale à la sauce américaine, on n’en veut pas chez nous. L’Histoire ne nous a-t-elle pas appris que séparer les peuples par la couleur de leur peau est une abomination ?
    Vous nous posez cette question : « Pourquoi monter sur ses grands chevaux quand des soirées Black Out ou réservées aux PANDC sont programmées dans des théâtres ? »
    Parce que nous ne vaincrons pas le racisme en créant une nouvelle forme de racisme ! Parce que ce n’est pas le monde que nous voulons léguer à nos enfants ! Parce que nous ne voulons pas retourner à une époque révolue ! Parce que nous voulons avancer main dans la main avec tous nos concitoyens !
    Sachez également, monsieur, qu’avoir la peau noire en cette ère moderne ne nous empêche nullement de nous fondre dans la masse de « Blancs » qui nous entoure. Car savez-vous ce qui nous unit ? Une citoyenneté commune, une langue commune, des valeurs communes, des références culturelles communes. Oui, monsieur, que nous soyons « Noirs », « Blancs » ou de n’importe quelle origine, notre appartenance à notre Québec fait de nous des frères et des sœurs.
    Je déambule dans les rues de ma ville sans le moindre malaise parce que je suis entourée des miens. Et cette fraternité, que j’observe notamment au sein de mon organisme qui regroupe des Québécois de tous les horizons, je ferai tout en mon pouvoir, monsieur, pour la protéger.
    https://www.lapresse.ca/debats/opinions/2023-02-03/replique/oui-les-soirees-exclusives-c-est-de-la-segregation-raciale.php
  14. Merci
    kobico a reçu une réaction de jimmy dans ?? Pas facile d'être Français au Québec même après 17 ans   
    Attention! Il n'a jamais été question  d'une identité commune , unique et singulière, mais bien d"Une citoyenneté commune, une langue commune, des valeurs communes, des références culturelles communes." Autrement dit, nous sommes tous porteurs de plusieurs identités, certaines innées (ex. le sexe biologique, la couleur de peau) et d'autres acquises (ex. être francophone). Les identités dont nous sommes porteurs ne sont pas mutuellement exclusives et s'additionnent (ou pas) en fonction de nos expériences, de nos parcours de vie. Au demeurant, certaines personnes s'auto-exclues d'elles-mêmes en rejetant des identités qu'elles pourraient acquérir et cela, bien au-delà de la perception  des autres. Tiens, par exemple, Boucar se définit autant comme Sénégalais que Québécois. Est-ce que cela pose problème à quiconque? Non. Au surplus, il est très apprécié d'une majorité de Québécois de laine parce qu'il partage aussi la langue, des valeurs communes et qu'il est respectueux envers la société qui l'a accueilli. 
     
     
     
     
    Comme titrait Rachad Antonius dans son texte (plusieurs réponses à tes questions s'y trouvent) que j'ai mis en référence plus avant,  " l'excès de vertu n'est pas une vertu". Il y a de gros dérapages à travers cette idéologie, tant au plan théorique que dans sa mise en oeuvre. 
     
    En contexte québécois, cela amène souvent des discours qui puent le mépris envers les Québécois de souche francophone parce que les vexations et injustices subies par cette minorité nationale ne font pas partie des identités valorisées par l'idéologie woke. 
     
    Un simple rappel de ces faits historiques a suffit à faire vomir Mme Elghawabi, notre représentante spéciale du Canada chargée de la lutte contre l'islamophobie. Ou encore ceci de la part d'un militant :
     
     
    En vertu du Programme d'action et de lutte contre le racisme de Patrimoine canadien, le CCAM a touché 133 822$ en septembre 2021 pour une série de conférences à travers le pays portant sur la diversité culturelle dans l’espace médiatique canadien.
    Le Centre communautaire d’appui aux médias (CCAM) est l’organisme où travaille Laith Marouf, un militant antiraciste, propalestinien et anticolonialiste qui s'implique depuis plus d’une vingtaine d’années dans des médias communautaires de la région montréalaise. 
    Des propos haineux
    À plusieurs reprises au courant des derniers mois, le militantisme de M. Marouf a versé dans l’excès, lui qui a proféré des injures racistes et des propos violents sur Twitter qui lui ont déjà valu une suspension par le passé.  
    «J’ai une devise: la vie est trop courte pour des chaussures avec lacets ou pour entertaining [divertir] les Juifs suprémacistes blancs avec autre chose qu’une balle dans la tête», a-t-il écrit.  
    Dans une autre publication, il a qualifié les Juifs israéliens de «sacs à merde loud mouthed [braillards]» qui «reprendront leur rôle de petites putes de leurs maîtres suprémacistes blancs chrétiens/séculaires».  
    M. Marouf n’en a pas seulement contre les Juifs. Dans un combat de coqs sur Twitter en juillet, le militant s’est servi à au moins 7 reprises du terme frog pour dénigrer son interlocuteur francophone. «Le français est une langue moche» et les «frogs ont un quotient intellectuel de moins de 77», se plaît-il à lancer entre deux blagues sur les recettes à base de grenouille.  
    L’existence de ces tweets a été indépendamment vérifiée par Le Journal.  
    Un juteux financement en suspens
    La subvention de Patrimoine canadien est tombée quelques mois à peine après que M. Marouf a été suspendu de Twitter pour «conduite haineuse», en juillet 2021.  
    «L'antisémitisme n'a pas sa place au Canada. Patrimoine canadien est conscient des commentaires faits par la personne en question et examine présentement la situation», a fait savoir le ministère.  
    La première conférence s’est tenue à l'UQAM le 30 avril dernier. Deux autres conférences ont eu lieu depuis à Vancouver et à Halifax, et trois autres sont attendues plus tard dans l’année à Winnipeg, à Calgary et à Ottawa.
    Le CCAM avait aussi reçu plus de 30 000$ pour participer à des instances du Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes. En tant qu’analyste et expert-conseil, M. Marouf a touché 470$ par jour pour ses contributions.
    Le Nouveau Parti démocratique du Canada exige «que le ministre du Patrimoine prenne des mesures fermes et mette fin à son contrat» et déplore le «manque de vigilance» du gouvernement. 
    «Le ministre doit également faire toute la lumière sur le processus de filtrage utilisé pour l’octroi des contrats. Comment une personne dont le compte Twitter a été suspendu pour discours haineux s’est-elle retrouvée avec un contrat du gouvernement?» s’est questionné le néodémocrate Peter Julian dans une déclaration écrite vendredi. 
    «Nous sommes consternés par le fait qu’un individu ayant un tel historique de commentaires haineux et répugnants sur les médias sociaux puisse être un consultant payé à même les fonds réservés à un programme de lutte contre le racisme», a pour sa part réagi Shimon Koffler Fogel, président-directeur général du Centre consultatif des relations juives et israéliennes.  
    «Le ministère du Patrimoine canadien doit revoir ses politiques internes pour s’assurer que l’argent des contribuables canadiens ne finance pas de groupes ou d’individus qui violent les valeurs les plus importantes aux yeux des Canadiens et Canadiennes.»  
    https://www.journaldemontreal.com/2022/08/19/un-consultant-aux-propos-racistes-et-antisemites-embarrassant-pour-patrimoine-canadien
  15. Merci
    kobico a reçu une réaction de jimmy dans ?? Pas facile d'être Français au Québec même après 17 ans   
    Disons-nous les vraies affaires! 
     
    Cela n'est pas une révélation  désincarnée d'affirmer, qu'à travers les âges, divers mouvements progressistes d'émancipation et de luttes sociales ont mené à divers gains pour les populations concernées et aussi, à l'ensemble des citoyens. Bien sûr, c'est un "work in progress" qu'il convient de parfaire toujours davantage, au Québec itou. 
     
    Jusque là, tout le monde est d'accord,non? 
     
    Qu'est-ce qui cloche donc avec le wokisme pour susciter tant d'opposition et de débats passionnés? 
     
    Une des citiques pertinentes est de relever que les individus soient définis que par leurs différences, leur(s) identité(s) spécifiques(s) au lieu de l'être sur une base commune, soit celle de leur appartenance à la Cité. Cela divise au lieu d'unir. 
     
    Lisez cet article de Murielle Chatelier, présidente et cofondatrice de l'association des Québécois contre le racialisme, qui dénonce les "safes spaces" en tant que racisme inversé.
     
    Dans son texte intitulé « Soirées “exclusives” », le chroniqueur Mario Girard a écrit à propos des membres de l’organisme que j’ai cofondé, l’Association des Québécois unis contre le racialisme (AQUR), « qu’il faut prendre son gaz égal » avant d’affirmer que les soirées théâtrales réservées aux « Noirs » sont une nouvelle forme de « ségrégation raciale ». À titre de personne à la peau noire, je persiste et signe : je n’accepterai jamais qu’on divise ma société en « Noirs » et « Blancs ».
    Contrairement à M. Girard, qui semble jouir de certains privilèges que je n’ai peut-être pas, je ne prendrai aucun pas de recul face à cette nouvelle pratique des safe spaces. Je continuerai à crier au scandale face à ce genre d’initiatives qui mettent à mal le vivre-ensemble, qui divisent mes concitoyens et qui répugnent à bon nombre de personnes à la peau noire.
    Car si certains semblent à l’aise de s’enfermer dans une chambre d’écho avec ceux qu’ils estiment être leurs semblables parce qu’ils partagent la même couleur de peau, ce n’est certainement pas le cas pour « toute nous autres », comme on dit par chez nous.
    Je peux vous assurer, M. Girard, que nous sommes plusieurs à fuir ce genre d’activités, car ce que nous souhaitons avant tout, c’est vivre en harmonie avec nos concitoyens, quelle que soit leur couleur de peau.
    Les personnes « noires » que je représente sont celles qui sont tannées d’entendre dans l’espace public un discours qui ne correspond pas à leur réalité. Ce sont des personnes qui veulent se tenir debout face à cette ségrégation raciale qui s’infiltre partout, même dans nos espaces de travail, où certains employeurs osent nous proposer de nous regrouper entre nous pour guérir nos blessures. Nous ne sommes pas systématiquement souffrants, monsieur.
      Je vais révéler un secret de Polichinelle : tous les « Noirs » ne pensent pas de la même façon. Eh oui, il y en a qui se sentiront en danger dans un safe space parce que la diversité d’opinions leur tient à cœur.
    Savez-vous ce qu’une personne comme moi risque en se présentant dans ce genre d’espaces ? De se faire traiter de traîtresse, de « coon » ou de « négresse de maison ». Car oui, monsieur, ce sont les insultes que certains progressistes « noirs » me balancent à l’occasion parce que, selon eux, je ne suis pas du bon côté de l’Histoire.
    Dans votre texte, vous dites que « c’est facile d’affirmer, quand on a toujours fait partie d’un groupe majoritaire, que ces soirées sont du racisme inversé ». Pourtant, j’ai la peau noire et je vous martèle que ces soirées sont bel et bien du racisme inversé. Mon désir, et celui de ceux que je représente, est de faire société avec ma société.
    La ségrégation raciale à la sauce américaine, on n’en veut pas chez nous. L’Histoire ne nous a-t-elle pas appris que séparer les peuples par la couleur de leur peau est une abomination ?
    Vous nous posez cette question : « Pourquoi monter sur ses grands chevaux quand des soirées Black Out ou réservées aux PANDC sont programmées dans des théâtres ? »
    Parce que nous ne vaincrons pas le racisme en créant une nouvelle forme de racisme ! Parce que ce n’est pas le monde que nous voulons léguer à nos enfants ! Parce que nous ne voulons pas retourner à une époque révolue ! Parce que nous voulons avancer main dans la main avec tous nos concitoyens !
    Sachez également, monsieur, qu’avoir la peau noire en cette ère moderne ne nous empêche nullement de nous fondre dans la masse de « Blancs » qui nous entoure. Car savez-vous ce qui nous unit ? Une citoyenneté commune, une langue commune, des valeurs communes, des références culturelles communes. Oui, monsieur, que nous soyons « Noirs », « Blancs » ou de n’importe quelle origine, notre appartenance à notre Québec fait de nous des frères et des sœurs.
    Je déambule dans les rues de ma ville sans le moindre malaise parce que je suis entourée des miens. Et cette fraternité, que j’observe notamment au sein de mon organisme qui regroupe des Québécois de tous les horizons, je ferai tout en mon pouvoir, monsieur, pour la protéger.
    https://www.lapresse.ca/debats/opinions/2023-02-03/replique/oui-les-soirees-exclusives-c-est-de-la-segregation-raciale.php
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    kobico a reçu une réaction de jimmy dans ?? Pas facile d'être Français au Québec même après 17 ans   
    L'inverse est également vrai! Suffit de ne pas adopter les positions wokes de la gauche radicale pour être taxé de fascistes, d' identitaires repliés, d'intolérants "anti-toutte". La "cancel culture" a de beaux jours devant elle!
  17. J'aime
    kobico a reçu une réaction de Mark-Beaubien dans ?? Pas facile d'être Français au Québec même après 17 ans   
    L'inverse est également vrai! Suffit de ne pas adopter les positions wokes de la gauche radicale pour être taxé de fascistes, d' identitaires repliés, d'intolérants "anti-toutte". La "cancel culture" a de beaux jours devant elle!
  18. J'aime
    kobico a reçu une réaction de qwintine dans ?? Pas facile d'être Français au Québec même après 17 ans   
    L'inverse est également vrai! Suffit de ne pas adopter les positions wokes de la gauche radicale pour être taxé de fascistes, d' identitaires repliés, d'intolérants "anti-toutte". La "cancel culture" a de beaux jours devant elle!
  19. J'aime
    kobico a reçu une réaction de qwintine dans ?? Pas facile d'être Français au Québec même après 17 ans   
    Je crois bien qu'il s'agissait de moi...!   Je suis loin de lire régulièrement et toujours aussi tannée du "garrochage de roches", du crêpage de chignon, du prince des briques , d'être étiquetée à tort ou à l'avance, de l'impossibilité  de tenir discussion de manière respectueuse et constructive. Bref... les positions sont malheureusement polarisées, comme trop souvent dans la vraie vie hors forum....
     
    Je souhaitais seulement clarifier si le texte était de toi ou non. Je me suis dit que tu avais probablement lu le texte du professeur Rachad Antonius, que j'apprécie bien, et qui est certainement un peu plus critique et nuancé que toi quant aux dérapages du wokisme militant de gauche, sans qu'on puisse lui reprocher d'être un intellectuel de droite. 
     
    Wokisme: l'excès de vertu n'est pas une vertu
    Je voudrais proposer ici une réflexion critique sur les limites de la dimension émancipatrice de ce qu’on appelle le wokisme, limites qui découlent de certaines des méthodes, des procédures analytiques et des moyens employés par ses partisans. Mon propos vise à analyser les postures, les raisonnements, les glissements de sens qui finissent par être contre-productifs dans les luttes pour la justice sociale, et dont le résultat final a été de rendre suspecte, aux yeux de personnes se situant dans un large éventail politique, toute entreprise qui se réclame du wokisme. Mais pourquoi donc ? 
     
    https://revuepossibles.ojs.umontreal.ca/index.php/revuepossibles/article/view/493
     
     
  20. Merci
    kobico a reçu une réaction de jimmy dans ?? Pas facile d'être Français au Québec même après 17 ans   
    Je crois bien qu'il s'agissait de moi...!   Je suis loin de lire régulièrement et toujours aussi tannée du "garrochage de roches", du crêpage de chignon, du prince des briques , d'être étiquetée à tort ou à l'avance, de l'impossibilité  de tenir discussion de manière respectueuse et constructive. Bref... les positions sont malheureusement polarisées, comme trop souvent dans la vraie vie hors forum....
     
    Je souhaitais seulement clarifier si le texte était de toi ou non. Je me suis dit que tu avais probablement lu le texte du professeur Rachad Antonius, que j'apprécie bien, et qui est certainement un peu plus critique et nuancé que toi quant aux dérapages du wokisme militant de gauche, sans qu'on puisse lui reprocher d'être un intellectuel de droite. 
     
    Wokisme: l'excès de vertu n'est pas une vertu
    Je voudrais proposer ici une réflexion critique sur les limites de la dimension émancipatrice de ce qu’on appelle le wokisme, limites qui découlent de certaines des méthodes, des procédures analytiques et des moyens employés par ses partisans. Mon propos vise à analyser les postures, les raisonnements, les glissements de sens qui finissent par être contre-productifs dans les luttes pour la justice sociale, et dont le résultat final a été de rendre suspecte, aux yeux de personnes se situant dans un large éventail politique, toute entreprise qui se réclame du wokisme. Mais pourquoi donc ? 
     
    https://revuepossibles.ojs.umontreal.ca/index.php/revuepossibles/article/view/493
     
     
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    kobico a reçu une réaction de YAVEN55 dans Nouveau-Brunswick   
    Je persiste. La plupart des banques ont effectivement des programmes spécifiques pour les nouveaux arrivants et d'autres programmes (prêt-équité, prêt basé sur la valeur nette) pas nécessairement spécifiques aux immigrants mais pouvant quand même être utilisés par ceux-ci. Vendre l'idée que dès le dépot d'un apport personnel de 35%, il est possible pour tous les immigrants sans emploi d'acquérir une propriété est faux. C'est du cas par cas où il y a prise en compte de certains autres critères.  C'était une simple mise en garde que je souhaitais apporter. 
  22. J'aime
    kobico a reçu une réaction de YAVEN55 dans Nouveau-Brunswick   
    Bonjour, ce n'est pas exact. Un apport de 35% et plus vient compenser l'absence d'historique de crédit mais il faut une source de revenu afin de calculer les ratios d'endettement.
  23. J'aime
    kobico a reçu une réaction de jimmy dans condamnée à verser 7500$ pour des propos racistes   
    Peut-être parce que c'est déplacé de condamner publiquement sans fournir de preuve probante ...?
    Et que rendu là, ton commentaire était médisant et  même carrément diffamatoire, ce qui va évidemment à l'encontre des règlements de ce forum.
  24. J'aime
    kobico a reçu une réaction de jimmy dans condamnée à verser 7500$ pour des propos racistes   
    As-tu lu et compris ce que j'ai écrit...? Même si c'est ton intime conviction, accuser une personne d'être raciste , ne constitue pas du tout une preuve. 
    Tu me fais penser à Don Quichotte et ses moulins à vent. Et le vent souffle fort!
  25. Merci
    kobico a reçu une réaction de Laurent dans condamnée à verser 7500$ pour des propos racistes   
    Peut-être parce que c'est déplacé de condamner publiquement sans fournir de preuve probante ...?
    Et que rendu là, ton commentaire était médisant et  même carrément diffamatoire, ce qui va évidemment à l'encontre des règlements de ce forum.
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