kobico
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il y a 19 minutes, Jasper a dit :
J'ai trouvé un article qui parle de ca
https://www.journaldequebec.com/2018/11/05/decouverte-archeologique-majeure-a-quebec
1- On ne parle pas du mur de la fortification qui soutient le sol, mais de la palissade.
2- Je cite ce qui est écrit dans l'article:
"
Ce qui confirme ce que j'avais dit plus haut, le bois , contrairement à la pierre et au béton, en se décompose dans le temps au contact du sol. Ce sont des conditions exceptionelles cités dans l'article plus haut qui ont permis de le conserver.
Bravo! Je t'ai parlé d'un mur de soutènement en bois et tu as confondu avec des fondations en bois. Et, bien sûr, qu'une pallisade en bois est essentiellement hors-terre..... tout comme un mur de soutènement!
As-tu perdu du temps à chercher et me répondre...? Oui...? Alors, vois-tu, c'est exactement ce qui se passe toujours lorsqu'on te répond. Une vraie perte de temps!
Je t'ai servi ta propre médecine et je me fiche bien du bois ou de la brique!
Ciao!
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il y a 2 minutes, Jasper a dit :
Tu as des photos? Meme si c'est vrai l'exception ne confirme pas la régle générale . Rien que dans mon jardin il y a des jardinières en bois qui n'ont pas résisté après le premier hivers, le bois a commencé à craquer sous le poids du sol rempli d'eau de pluie, alors j'ose pas imaginer pas un mur de soutènement de 2 métres.
Demande à @juetben qui travaille dans le bâtiment si son entreprise construit des fondations ou bien des murs de soutènement en bois. Je n'ai jamais vu ca.
Tu es un expert informaticien, non? Les photos, tu vas les trouver sur le net. Sinon, tu peux aussi demander un coup de main à des amis ou à une connaissance que tu as rencontré quelque part sur la planète. Tes parents aussi peuvent t'aider.
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il y a 5 minutes, Jasper a dit :
Sérieux,? ca n'existe pas, pour la meme raison qu'on ne fait pas des fondations en bois.
1- Le bois ne supporte pas le poids du sol
2-Le bois va pourrir et se decomposer au contact du sol, c'est pour cela que les fondations des poteaux des clotures en bois sont en béton
Ah! oui...? Pourquoi alors ils ont trouvé les deuxièmes fortifications de Québec, faites en bois et datant du 17e siècle...?
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Il y a 3 heures, Jasper a dit :
Les deux sont importants. Dans mon voisinage les murs de soutènement sont en béton pur, mais ca fait laid comme un mur d'un entrepot industriel. C'est ca que ce que tu préférés ?
Non, je préfère les murs de soutènement en bois. Un matériau noble, durable et écologique!
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il y a 3 minutes, Jasper a dit :
C'est ce que j'avais pensé, les briques récupérés d'un chantier de démolition d'un bâtiment ancien vont donner un style plus "historique"
Tu as bien raison: l'esthétisme d'un mur de soutènement est bien plus important que sa solidité!
- bencoudonc et qwintine ont réagi à ceci
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Il y a 1 heure, Jasper a dit :
Merci Kobico, ce sont les memes briques des anciens bâtiments du 19 siècle ?
Non, 18e siècle mais c'est encore mieux! Plus les briques sont dégradées, poreuses et effritées, mieux c'est pour un joli mur de soutènement!
- bencoudonc et qwintine ont réagi à ceci
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Pense à protéger ton arbre. Voilà comment faire!
- bencoudonc et qwintine ont réagi à ceci
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Il y a 2 heures, qwintine a dit :
Fascinant !
J'ai fait le tour de nos universités Québécoises francophones : Université Laval, Université de Montréal, Université du Québec à Montréal, Université de Sherbrooke. Comme partout dans le monde, les universités sont le reflet de la société et aussi parfois des changements sociétaux qui nous attendent.
Étrangement (sarcasme), on peut les qualifiés d'unanime sur la série d'enjeu de société discutés plus en amont de ce fils. Je dirais même plus si j'adopte la dialectique conservatrice, elles sont toutes "wokes".Eh bien, quelle surprise (sarcasme), les "méchantes universités Québécoises anglophones qui visent la destruction du Québec", Concordia et McGill ne seraient pas les seules a être "woke" ?
Savourons
U Sherbrooke
Quelle perte de temps!
On sait tous cela que le monde universitaire est viré s'ul top! 
Sérieux, c'est un fait historique. Venu des USA et du Canada anglais, ce courant de pensée s'est propagé, en premier, à travers certains départements au sein des universités anglophones, et par la suite, aux universités francophones.
- Hellendorff et jimmy ont réagi à ceci
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il y a une heure, qwintine a dit :
Statistiquement, la majorité de la population étant blanche (60% d’Euro-Americains) … la position dominante du blanc dans toutes les sphères du pouvoir aux USA étant ce qu’elle est et donc la sous-représentation du non homme blanc … ma punchline est tout à fait cohérente.
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Euro-Américainshttps://fr.m.wikipedia.org/wiki/Blancs_américains
Voyons, Qwintine, l'article n'aborde pas cette question!
Il soulève simplement le fait que s'il y a plus d'hommes (en général) présents sur un CA (et son corollaire: moins de femmes), il y a davantage de harcèlement sexuel dans la culture d'entreprise. Je répète: cela indépendamment de la couleur de peau.
Dit autrement, même s'il y a, en nombre, plus d'hommes blancs en raison de leur domination économique (ta punch line) , il n'y a pas plus de harcèlement sexuel. C'est cela qui est mis en relief et non pas la blanchité et/ou la domination économique.
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il y a 11 minutes, qwintine a dit :
Peut-être suivre lire l'article jusqu'àu bout, je cite une des autrices québecoises (Andréanne Tremblay, professeure au Département de finance, assurance et immobilier à l'Université Laval) à l'étude (revue Corporate Governance: An International Review) :
"Bien que la recherche repose sur des données américaines, elle précise qu'il n'y a aucune raison de croire que les résultats au Canada seraient contraires à ceux rapportés, bien qu'ils pourraient être de magnitude différente. «Par exemple, l'ajout d'une femme au sein d'un CA pourrait être associé à une réduction plus ou moins grande dans le taux de harcèlement sexuel en entreprise tel que perçu par les employés, mais ça devrait rester une réduction.»"
Ai-je dit qu'on ne trouvais pas ce genre de comportements, injustices et idéologies réactionnaires et conservatrices dans d'autres pays ? Non
Dans nos échanges, on parle principalement de nos pays : Amérique du Nord et Europe.
Encore une fois, j'ai relu au complet. Il n'y a strictement aucune référence à l'homme blanc. À moins que tu penses, à tort, qu'il n'y a que des hommes blancs sur tous les CA aux USA...
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Il y a 3 heures, qwintine a dit :
Quand on dit que l'homme blanc hétéro, ce patriarche profitant de sa rente de situation qu'il a construit et qui entretient cette position depuis des siècles ... il y a des études qui le montrent ...
fascinant
L'article mentionne aucunement "l'homme blanc hétéro" comme tu le fais. Il souligne seulement que l'ajout d'une femme au sein d'un CA réduit le taux de harcèlement sexuel en entreprise". L'étude est américaine.
Le pouvoir patriarcal n'a pas de race, de couleur ou de religion. Des Blancs, des Noirs, des Arabes, des Asiatiques, des cathos, des musulmans, des Raéliens.... Des harceleurs potentiels, il y a malheureusement parmi tous ces groupes.
- Mark-Beaubien a réagi à ceci
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il y a une heure, jimmy a dit :
Il s’agit d’une discrimination entre Blancs.
Cette discrimination ne cadre pas avec la théorie où tous les Blancs sont privilégiés, consciemment ou non. Elle n'a aucune valeur politique.
- Hellendorff et jimmy ont réagi à ceci
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Il y a 6 heures, qwintine a dit :
Par contre, en tant que capitaliste et personnes du milieu des affaires, je suis chagriné de voir partir tous les sièges sociaux ou quartiers généraux Canadiens de multinationales à Toronto (et cela s'est déjà fait à cause des deux référendums et la L-101) , donc je peux comprendre et je pense qu'il faut être ouvert à avoir des "top managers unilingue".
De même, il serait dommage de se couper de profils d'exceptions pour les positions de C-level parce qu'ils ne seraient francophone.
Et si le "top manager unilingue" est francophone, ce serait donc dommage de s'en priver, n'est-ce-pas?
Par ailleurs, que penses-tu du fait que des universités et de grandes entreprises se privent d'embaucher des personnes avec un meilleur profil académique et des compétences supérieures au profit de personnes qui ont la bonne couleur de peau, la bonne ethnicité ou une identité sexuelle et/ou de genre minoritaire...? Est-ce que créer une nouvelle injustice est la meilleure chose à faire pour en corriger une autre...?
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il y a une heure, qwintine a dit :
Eric Duhaime est un homme blanc gay conservateur et anti woke. Aussi je juge qu'il est mieux à même pour te répondre.
Peut-être arrêter de me prêter systématiquement de mauvaises intentions à ton égard. Je réserve ma verve relevée pour les ostrogoths.
Ben oui, toé!
Je vais lui passer un coup de fil... (cette seule pensée me révulse...Yarkkk!!!) pour qu'il m'explique ton point de vue! -
il y a 30 minutes, qwintine a dit :
Tu l'as pris pour toi, ça concernait ma lecture rapide de Jean-François Braunstein.
Mes polissonneries à ton égard était au début (je t'ai attrapé) et à la fin (flatterie)
Ce n'est parce que Jean-François Braunstein est "retraité de la Sorbonne" (arguments d'autorité) qu'il écrit des essais / une opinion (niveau de preuve le plus faible, qu'il démarche uniquement les médias français conservateurs et conspis (sud radio) pour les flatter et confoter dans leurs croyances (biais de confirmation), qu'il faut être justement être vigilant à l'égard de son millefeuilles argumentatif. La loi de Brandolini rend la chose ardue.
J'ai choisi Braunstien parce 1) qu'il présente un historique et une description du cadre théorique et des applications pratiques de l'idéologie woke. Il m'a semblé, pour discuter à profit, que c'était une bonne base. 2) que son ouvrage a été bien reçu tant par la droite que par la gauche, il va s'en dire, de la gauche disons "traditionnelle", celle qui n'adhère pas au discours woke. Je trouvais cela plutôt neutre comme approche. M'enfin....
Discréditer un auteur que je propose c'est, par extension, me discréditer moi-même. Et sans aucun argument sur le fond, désolée de te le dire, ça vaut pas cher la livre!
Et ton échappatoire de m'associer à Duhaime pour enfoncer davantage le clou ne vaut guère mieux! Et tes arabesques stylistiques n'y changent rien!
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Il y a 2 heures, Merc09 a dit :
Jusque là, tout le monde est d'accord,non?
Qu'est-ce qui cloche donc avec le wokisme pour susciter tant d'opposition et de débats passionnés?
Une des citiques pertinentes est de relever que les individus soient définis que par leurs différences, leur(s) identité(s) spécifiques(s) au lieu de l'être sur une base commune, soit celle de leur appartenance à la Cité. Cela divise au lieu d'unir.
Lisez cet article de Murielle Chatelier, présidente et cofondatrice de l'association des Québécois contre le racialisme, qui dénonce les "safes spaces" en tant que racisme inversé.
Il y a 2 heures, Merc09 a dit :Cet article donne beaucoup à comprendre d'un point de vue différent.
En effet. Mme Chatelier dénonce l'enfermement à outrance dans un ressenti victimaire qui favorise, à contrario, l'isolement au lieu du rapprochement. Vivre côte-à-côte au lieu de vivre ensemble.
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il y a 9 minutes, qwintine a dit :
Tu m'as souhaité bon vent (m'envoyer paître avec style) et tu ne voulais plus échangé avec moi pour une malice "Adorable, ta stratégie du pas feutré. Interessant. Glissement souple et peu perceptible. Tu dois avoir un style de ski et de patinage élégant."
Je sais reconnaitre le gaslighting quand j'en suis la cible.
Le mieux est de demander à Éric Duhaime, il doit avoir une explication très "intéressante" à cette question.
Tu me déçois encore....
Sache que j'ai préféré ton savoureux millefeuille et ta savante Loi de Brandolini * à ta malice espiègle...
Tu me rentres dedans, tu ridiculises mes propos, tu m'insultes, tu me fais un procès d'intention et, vraiment, tu t'étonnes et te vexes que je te souhaite "bon vent" ! ?????
Et tu en rajoutes encore une couche car je n'ai rien à voir avec Éric Duhaime....
Je ne souhaite pas échanger à ce niveau-là. C'est tout. Tu peux faire mieux que ça. Je l'espère, du moins.
*La loi dite de Brandolini ou le principe d'asymétrie des baratins est l’aphorisme selon lequel « la quantité d'énergie nécessaire pour réfuter des sottises […] est supérieure d'un ordre de grandeur à celle nécessaire pour les produire ». Wikipédia
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Il y a 4 heures, qwintine a dit :
hé misèreComme si le Québec avait arrêté tout progrès social en 2000. Pour ton info la question LGBTQ+ c’est post 2000.
Évidement à partir du moment où on s’attaque aux problèmes non résolus plus intensivement depuis les 25 dernières années, l’homme blanc hétérosexuel colonial se sent menacé dans sont statut privilégié de rentier de situation. Situation qu’il a créé lui même depuis des siècles.Je reviens sur la deuxième partie de ton message. J'aimerais bien que tu me démontres le lien spécifique de causalité entre les "problèmes non-résolus" des communautés LGBTQ+ et la menace portée au "statut privilégié de rentier de situation" de "l'homme blanc hétérosexuel colonial". Sachant qu'il n'y a pas qu'au sein des sociétés majoritairement blanches, et au passé colonialiste, que de telles discrimiminations existent envers les membres des minorités sexuelles et/ou identitaires , je ne réussis pas à comprendre le lien que tu établis. Cette discrimination, plus ou moins prononcée selon les sociétés, me semble universelle et sans égard à la race, la couleur de peau, le passé colonial, etc.
Aussi, tu t'adresses à l'homme blanc hétéro mais je suppose que ton message est tout aussi valable pour moi même si je suis une femme membre de cette minorité LGBTQ+.
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il y a 5 minutes, jimmy a dit :
Mais tu vois c’est ça le truc; ça ne se peut pas; selon la philosophie woke, on ne peut pas être blanc et être discriminé, colonisé, écrasé.
Et tout ce temps là ce que ces gens là font ( les wokes, QS et compagnie) c’est affaiblir le Québec, au plus grand plaisir de l’intellengia anglo-saxone
À noter que l'idéologie woke nous a été transmise, en premier, par les universités anglophones du Québec (McGill et Concordia en tête). Tout de même très révélateur d'une vision en parfaite adéquation avec les valeurs anglo-saxonnes.
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il y a 19 minutes, jimmy a dit :
Et voilà…..c’est exactement ce que je déplorais !
invariablement la pensée woke ( que tu incarnes très bien) en vient dans sa folie à s’en prendre aux québécois blanc francophone descendant des colons français comme si c’était ce petit peuple de rien du tout qui gouvernait le monde.
C'est le péché originel d'être blanc!
Même Blanc, nous sommes porteurs de plusieurs identités dont celle d'être un peuple lui-même colonisé.
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il y a une heure, qwintine a dit :
hé misèreComme si le Québec avait arrêté tout progrès social en 2000. Pour ton info la question LGBTQ+ c’est post 2000.
Les années 2000 ne marquent ni le début ni la fin de la question LGBTQ+ et des luttes sociales qui s'y rattachent.
Petit résumé:
"Dans le sillage de la contreculture et de la mobilisation, au cours des années 1960, des femmes, des noirs et des jeunes apparaît soudainement le mouvement de libération gaie. Il prend forme à partir des émeutes du Stonewall Inn de New York, en juin 1969, un jour après qu’au Canada la loi Omnibus décriminalise les actes homosexuels entre deux adultes consentants en privé. Les groupes précurseurs du mouvement homophile sont vite débordés par les revendications de groupes plus jeunes et plus militants qui se répandent à travers l’Amérique du Nord.
À Montréal, la revue Mainmise est le fer de lance de la contreculture et c’est par son entremise qu’est publié le premier appel pour la formation d’un groupe gai pour la défense des droits des gais. Fondé au printemps 1971, le Front de libération homosexuel (FLH) ouvre rapidement un local rue Saint-Denis où les gais peuvent se rencontrer pour parler, participer à des discussions et écrire leurs commentaires dans le « livre de bord ».
De plus, en 1973, apparaît la librairie L’Androgyne pour desservir les gais et les lesbiennes. En 1977, l’Association pour les droits des gais du Québec (ADGQ) est fondée, qui deviendra par la suite l’Association pour les droits des gais et des lesbiennes du Québec (ADGLQ), prend le relais pour revendiquer politiquement des droits pour les gais et les lesbiennes. Ces organisations ont maintenant disparu mais elles ont été remplacées par une foule d’autres organisations plus militantes et plus revendicatrices.
..........................
Les années 60 et 70 au Québec sont caractérisées par le bouillonnement des mouvements sociaux. Selon Tremblay et Podmore (2015), le mouvement lesbien québécois aurait émergé grâce au recoupement de deux autres mouvements : le féminisme et le mouvement de libération gaie. La première organisation lesbienne distincte des groupes féministes est fondée en 1973 par des femmes qui ont quitté le groupe de libération gaie de l’Université McGill
Les lesbiennes tendent à être invisibilisées au sein de la société québécoise et parfois même au sein de la communauté LGBTQ2+ elle-même.
........................................
Le premier grand organisme pour les personnes trans au Québec a vu le jour en 1980."
http://agq.qc.ca/histoire-des-communautes-lgbtq2s-du-quebec/
Ce qui a changé au cours des années 2000 est l'imprégnation de l'idéologie woke au sein des groupes militants. La division du mouvement féministe entre féministes universalistes ( pro Loi 21) et féministes intersectionnalistes (contre la Loi 21) en est un exemple. Le mouvement queer radical en est un autre:
"Le mouvement queer est multiforme et inclusif. Il s’adresse à toutes les personnes issues des minorités sexuelles ou de genre qui ne s’identifient pas au modèle normatif hétérosexuel et cisgenré qui prévaut dans la société.
...............................
Le mouvement puise ses racines intellectuelles dans la théorie queer apparue dans les universités américaines et britanniques sous l’influence du féminisme matérialiste et lesbien, ainsi que de la théorie postcoloniale depuis les années 1970. Les penseurs queers (Ferguson, Puar, Duggan, Han, Sedgwick et Butler) mettent en évidence l’influence de la culture ambiante sur l’expression et la construction du genre et de la sexualité, ainsi que des rôles et des identités qui y sont associés. La théorie queer s’oppose à toute normativité et à la rigidité des binarismes masculin/féminin ou hétéro/homosexuel. À partir des années 1990, le queer radical se différencie de la théorie queer – considérée trop académique – et se rapproche de l’anarchisme, du marxisme et du féminisme radical. Dénonçant ce qu’il perçoit comme un tournant libéral conservateur de la communauté LGBTQIA2, le militantisme queer se veut intersectionnel et inclusif, dans le but de favoriser l’expression de membres autrement souvent marginalisés, notamment les personnes racisées ou trans.
....................
À Montréal, bien enraciné dans les Universités McGill (Queer McGill) et Concordia (Queer Concordia), le mouvement donna aussi naissance à plusieurs groupes dénonçant la commercialisation et les discriminations présentes dans la communauté LGBTQIA2 (sexisme, hétérosexisme, homonormativité, classisme, âgisme, sérophobie, racisme). Des groupes comme le P!nk Bloc (2000), les Panthères roses et QueerÉaction (2002 à 2007), Qteam et Radical Queer Anti-Capitalist Ass (2004 à 2007), le collectif Radical Queer, ou encore PolitiQ (2009). Le mouvement queer fut aussi à la base d’initiatives communautaires comme Projet10 (2009), qui travaille à promouvoir le bien-être des jeunes LGBTQIA2, ainsi que Plan Q, qui propose aux cégeps et aux universités des ateliers de sensibilisation aux luttes contre les LGBTphobies."
http://agq.qc.ca/histoire-des-communautes-lgbtq2s-du-quebec/
- jimmy et Hellendorff ont réagi à ceci
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il y a une heure, qwintine a dit :
Adorable, ta stratégie du pas feutré.Interessant. Glissement souple et peu perceptible. Tu dois avoir un style de ski et de patinage élégant.
Tu m’excuseras mais les millefeuilles argumentatif et la loi de Brandolini faisant, accorder du crédit à une seule lecture sous couvert de deux biais cognitifs évidents, ce n’est plus mon style. Deux biais sont d’ailleurs évidents : argument d’autorité jouant sur une notoriété et valeur de la preuve faible (on parle ici d’une opinion résumée d’un essais (son livre) qu’il doit vendre).
En rapport à ce cher Brandolini et au millefeuille, tu comprendras que j’ai autre chose à faire de mes journées.
Cependant, par politesse à ta posture à mon égard, j’ai lu en diagonale ces deux articles. Les prémices sont déjà problématiques concernant les genre. Ils indiquent d’entrée de jeu des biais évidents. Je te renvoie à mes deux publications plus haut dans ce sujet sur la non binarité du sexe biologique et la non binarité de genre. Ces synthèses personnelles sont construites depuis les 5 dernières années bâties sur de nombreuses lectures de qualité , publications revues par les paires dans les domaines de la psychologie, sociologie, biologie (génétique entre autre), …. Je n’aurais pas l’arrogance de prétendre que ce sont des meta analyses. Humblement de simple synthèses personnelles, que j’ai couchées dans mon moleskine virtuel pour bâtir ma compréhension actuelle et faire évoluer ma vision et posture en rapport à ces sujets.Ton érudition, j’en suis certain comprendra aisément la position de cette réponse.
En te souhaitant une bonne lecture
Ce que tu peux faire preuve de mesquinerie et de prétention!
Je constate qu'il est impossible de discuter intelligemment et respectueusement avec toi. Pourquoi te rabaisses-tu ainsi? Je croyais que tu valais mieux que cela. Je me suis trompée.
En passant, en toute bonne foi, j'avais aussi sous la main une référence qui défend le point de vue woke, comme quoi j'espérais un débat d'idées. Hélas, je suis "cancellée" !
Bon vent!
- Hellendorff a réagi à ceci
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8 mars - Journée internationale des droits des femmes - Bella Ciao!
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En cette journée particulière, exprimons notre solidarité envers les femmes courageuses et déterminées en Iran.