UBRANE

C'est comme partout, les petits boulots se trouvent plus ou moins facilement en fonction de la demande. Les anglophones sont très tolérants sur le langue, mais bien sûr il faudra déjà une petite base histoire de se comprendre. Mais les petits emplois (tourisme, Starbucks, etc) sont tout à fait envisageable pour qui veut tenter une immersion, pas besoin d'être bilingue.
En revanche, pour décrocher un réel emploi, là ce sera différent et oui il faudra avoir un bon niveau d'anglais.

Alors pour la beauté, il faudra repasser... Je ne connais Hamilton que pour m'y être arrêté à quelques reprise, mais c'est plutôt une ville industrielle, avec le décor qui va avec (cheminées, usines, tout ça). Idem au niveau culturel, il n'y a pas grand chose. Il vaudra mieux se rendre à Toronto, à une heure de route. Venant de Montréal, ça risque de vous faire un gros changement.
Cela dit, il y a une petite présence francophone là-bas, ce qui vous pourra vous aider pour vos premiers pas.

Parce que tu as été RP en mai 2014 et que tu ne penses revenir au Canada qu'en mars 2015 (ce que tu as dit plus haut je crois).
Donc tu ne pourrais pas comptabiliser 2014 pour ta future demande puisque ça aura fait plus de 6 mois d'absence. C'est ce que je voulais dire par un an de plus (comme tu l'as dit, 2014=0 pour toi). Je me suis peut-être mal exprimé.

Il ne faut pas confondre la loi actuelle et la future :
- la loi actuelle demande juste un bloc de 1095 jours sur les 4 dernières années. Dans l'absolu, tu peux très bien avoir vécu à temps plein pendant 3 ans au Canada et avoir passé une année en France, tu restes au final éligible.
- la nouvelle loi garde toujours un bloc minimum de jours sur une période (qui passera donc à 1460 jours sur une période de 6 ans) mais instaure en plus l'obligation de séjourner au moins 6 mois (183 jours) par an au Canada.

Donc dans ton cas :
RP validée en mai 2014 + 6 ans = mai 2020.
Tu pourrais faire ta demande au plus tôt en mai 2018, mais tu as passé plus de 6 mois en France en 2014.
Du coup, ton calcul de jours commencera à ton retour en mars 2015 : soit 10 mois en 2015 (si tu reviens le 1er mars bien sûr).
+ 1 an en 2016,
+ 1 an en 2017,
+ 1 an en 2018,
+ 2 mois en 2019.
Ce qui au plus tôt, et sans ressortir du territoire, te permettrait de faire ta demande en mars 2019.

Tu peux tout à fait repartir en France par exemple 6 mois en 2016, mais tu ne serais alors admissible cette fois-ci qu'en septembre 2019 (car mars 2019 + 6 mois, pour garder les 1460 jours).
Admettons que tu ressortes à nouveau 6 mois en 2017, tu serais cette fois-ci admissible en mars 2020 (car mars 2019 + 6 mois + encore 6 mois). Il te resterait maintenant que 2 mois avant ta limite butoir de mai 2020 de la période de 6 ans. Après, il faut reporter d'autant plus tout en gardant 1460 jours.
Tu me suis ?

J'ai mal à la tête d'un coup

Parce que tu as été RP en mai 2014 et que tu ne penses revenir au Canada qu'en mars 2015 (ce que tu as dit plus haut je crois).
Donc tu ne pourrais pas comptabiliser 2014 pour ta future demande puisque ça aura fait plus de 6 mois d'absence. C'est ce que je voulais dire par un an de plus (comme tu l'as dit, 2014=0 pour toi). Je me suis peut-être mal exprimé.

Il ne faut pas confondre la loi actuelle et la future :
- la loi actuelle demande juste un bloc de 1095 jours sur les 4 dernières années. Dans l'absolu, tu peux très bien avoir vécu à temps plein pendant 3 ans au Canada et avoir passé une année en France, tu restes au final éligible.
- la nouvelle loi garde toujours un bloc minimum de jours sur une période (qui passera donc à 1460 jours sur une période de 6 ans) mais instaure en plus l'obligation de séjourner au moins 6 mois (183 jours) par an au Canada.

Donc dans ton cas :
RP validée en mai 2014 + 6 ans = mai 2020.
Tu pourrais faire ta demande au plus tôt en mai 2018, mais tu as passé plus de 6 mois en France en 2014.
Du coup, ton calcul de jours commencera à ton retour en mars 2015 : soit 10 mois en 2015 (si tu reviens le 1er mars bien sûr).
+ 1 an en 2016,
+ 1 an en 2017,
+ 1 an en 2018,
+ 2 mois en 2019.
Ce qui au plus tôt, et sans ressortir du territoire, te permettrait de faire ta demande en mars 2019.

Tu peux tout à fait repartir en France par exemple 6 mois en 2016, mais tu ne serais alors admissible cette fois-ci qu'en septembre 2019 (car mars 2019 + 6 mois, pour garder les 1460 jours).
Admettons que tu ressortes à nouveau 6 mois en 2017, tu serais cette fois-ci admissible en mars 2020 (car mars 2019 + 6 mois + encore 6 mois). Il te resterait maintenant que 2 mois avant ta limite butoir de mai 2020 de la période de 6 ans. Après, il faut reporter d'autant plus tout en gardant 1460 jours.
Tu me suis ?

J'ai mal à la tête d'un coup

Et oui, c'est bien triste... Ça faisait plusieurs mois qu'on savait que le couperet allait tomber, mais ça fait toujours mal quand ça arrive. D'autant plus que j'étais un client régulier de la Maison de la Presse, principalement pour les magazines français.
Après la fermeture de la librairie Champlain en 2009 puis du World Biggest Bookstore en mars dernier, la Maison de la Presse était devenu un peu le "village peuplé d'irréductibles Gaulois qui résiste encore et toujours".

La patronne ne pouvait plus renouveler son bail de 10 ans qui prend fin aujourd'hui même. Pour le moment, elle ne sait pas trop ce qu'il y aura à la place, elle aurait espéré pouvoir renouveler un bail ailleurs mais les clients francophones se font rares à Toronto, et de plus en plus à cause de la vente par internet (Amazon, eBooks, etc).
Donc oui, hélas, ça semble bien la fin des librairies francophones à Toronto...

Pour les solutions alternatives, il est toujours possible de trouver des livres francophones chez Indigo/Chapters (choix limité quand même) et d'en commander. C'est toujours ça.
Pour les magazines, il y a quelques Presses internationales dans certains quartiers de Toronto (comme à Little Italy ou dans l'Annex), mais avec une très maigre sélection francophone.
Pour les bandes dessinées, il y a l'incontournable boutique The Beguiling (dans l'Annex) qui a un bon petit choix de bédés francophones, la seule à Toronto d'ailleurs.

Pour l'heure, je télécharge désormais mes magazines préférés sur internet pour les lire à l'écran, dommage...

Tout juste publiée aujourd'hui, la dernière enquête de la firme Mercer est disponible: "Enquête internationale Mercer 2014 sur le coût de la vie", ou le classement des villes les plus chères au monde pour les expatriés Comment ça marche ? Tout d'abord, il faut savoir que Mercer établit ce classement dans le but d'aider les gouvernements mais aussi les entreprises multinationales à rémunérer convenablement leur personnel lorsqu'il est affecté à l'international: ce qui nous intéresse en tant qu' "expatriés". Ensuite, l'enquête a été faite sur 211 villes réparties entre cinq continents et compare les prix de plus de 200 produits et services dans chaque ville tels que le logement (qui reste le critère le plus important), mais aussi les transports, la nourriture, l'habillement, les produits ménagers ainsi que les divertissements. Comme d'habitude chez Mercer, la ville de New York est utilisée comme référence et la fluctuation des monnaies a été mesurée par rapport au dollar américain. Mais j'arrête le suspens et vous dévoile donc le résultat pour 2014. Bien que nétant pas généralement reconnues comme des villes riches, Luanda en Angola est la ville la plus chère du monde pour la deuxième année consécutive. En bas du classement, la ville la moins chère du monde est Karachi au Pakistan. Bonne nouvelle: les villes canadiennes ont chuté au classement, avec en tête Vancouver qui est en baisse de 32 places (96e place dans le classement cette année). Toronto (101e place) a chuté de 33 points et devient la 2e ville la plus chère du Canada. Suit ensuite dans l'ordre Montréal (125e place), Calgary (125e place) et Ottawa (152e place). la raison: le dollar canadien qui s'est affaibli de manière significative par rapport au dollar américain et l'augmentation des prix de biens de consommation qui est moins considérable que dans d'autres villes, comme New York. Les villes françaises, en revanche, ont connu un bond très important dans le classement, avec notamment Paris, qui se hisse à la 27e place du classement des villes les plus chères au monde. Top 5 des villes canadiennes les plus chères : 1. 96e : Vancouver (64e en 2013) 2. 101e : Toronto (68e en 2013) 3. 123e : Montréal (95e en 2013) 4. 125e : Calgary (97e en 2013) 5. 152e : Ottawa (118e en 2013) Voilà, pour plus de détails, je vous laisse parcourir un article à lire en français ici : http://www.indicerh.net/content/4380-etude-mercer-co%C3%BBt-de-la-vie-les-villes-africaines-les-plus-cheres-sont.html Bien que le classement ait comme chaque année de quoi surprendre, comprenez bien que ces résultats regardent les expatriés et les multinationales qui les emploient en poste è l'étranger.

Déjà, parles-tu couramment anglais ?
Si ce n'est pas le cas, alors la réponse sera simple : direction le Quebec.

«Pour un coup d’essai, ce fut un coup de maître.»
Un bel article du journal L'Express qui résume le succès de la célébration du 14 JUILLET dimanche dernier à Toronto :
http://www.lexpress.to/archives/14204/

Vivement l'année prochaine !

Pas forcément. En général, ceux qui restent après un PVT aiment le pays et veulent s'y installer au long terme. C'est aussi l'occasion et une chance pour beaucoup de jeunes de rester après leur PVT en obtenant un permis de travail, car il y a plusieurs manière officielles d'obtenir un RP (il n'y a pas que la voie directe à partir de l'étranger).
Et ce sera encore plus le cas en 2015 lorsque le PVT passera de 12 à 24 mois où il sera encore plus facile de rester.

Pour la petite explication, le titre se lit dans les deux sens (Bastille Day, célébrons le 14 Juillet) car Toronto est avant tout une ville anglophone et seulement 2% de sa population totale est francophone.
Le "Bastille Day" n'est pas seulement l'occasion de célébrer la fête nationale française entre Français mais aussi d'inviter tous les "francophiles" de Toronto: pas forcément ceux qui parlent français donc, mais aussi ceux qui aiment la culture française. L'occasion de réunir toutes les communautés francophones de Toronto (car la francophonie est vaste).
C'est pour cela que le titre de l'évènement est bien "Bastille Day, célébrons le 14 Juillet": parce que 14 Juillet en anglais se dit Bastille Day et parce que tout le monde y est le bienvenu, qu'il soit anglophone, francophone ou juste francophile.

Aurai-je aussi dû dire "soccer" plutôt que "foot" pour la finale de la coupe du monde, tant qu'à faire ?
Et "Volley-ball", je dois dire ça comment ?
Franchement...

Donc oui, le titre est bien écrit par un Français : un Français et un immigré au Canada, devenu Canadien et qui vit dans une ville anglophone.


Décidément, je ne pensais vraiment pas lancer une polémique en lançant cette invitation... Désolé.

Pour la petite explication, le titre se lit dans les deux sens (Bastille Day, célébrons le 14 Juillet) car Toronto est avant tout une ville anglophone et seulement 2% de sa population totale est francophone.
Le "Bastille Day" n'est pas seulement l'occasion de célébrer la fête nationale française entre Français mais aussi d'inviter tous les "francophiles" de Toronto: pas forcément ceux qui parlent français donc, mais aussi ceux qui aiment la culture française. L'occasion de réunir toutes les communautés francophones de Toronto (car la francophonie est vaste).
C'est pour cela que le titre de l'évènement est bien "Bastille Day, célébrons le 14 Juillet": parce que 14 Juillet en anglais se dit Bastille Day et parce que tout le monde y est le bienvenu, qu'il soit anglophone, francophone ou juste francophile.

Aurai-je aussi dû dire "soccer" plutôt que "foot" pour la finale de la coupe du monde, tant qu'à faire ?
Et "Volley-ball", je dois dire ça comment ?
Franchement...

Donc oui, le titre est bien écrit par un Français : un Français et un immigré au Canada, devenu Canadien et qui vit dans une ville anglophone.


Décidément, je ne pensais vraiment pas lancer une polémique en lançant cette invitation... Désolé.

Un article intéressant pour se faire une idée du coût de la vie entre Toronto et Montréal : http://www.lactualite.com/blogues/le-blogue-economie/mise-a-jour-comment-se-comparent-le-quebec-et-lontario-en-niveau-de-vie/

Article du 30 mai 2014 à lire sur Canoë.ca : http://fr.canoe.ca/argent/actualites/archives/2014/05/20140530-091609.html

C'est du côté de Niagara, une région surtout connue pour ses vignobles. Welland est un petit village constitué de 15% de franco-ontariens (c'est rare en Ontario). Côté pratique, les grosses villes les plus proches sont Hamilton au nord ou Buffalo (USA) au sud. Entre les deux, tu seras à deux pas des chutes du Niagara. Toronto sera à une bonne heure et demie de voiture.

C'est tout ce que je peux te dire.

L'édition 2014 du palmarès mondial des 30 villes les plus attractives (Cities of Opportunity) réalisé par le cabinet PricewaterhouseCoopers (PWC) vient de sortir: Toronto est classée 4ème meilleure ville mondiale ! À noter aussi que la ville Reine se trouve en 5ème position en ce qui concerne l'indicateur Capital intellectuel et innovation, et au 2ème pour la santé et la sécurité. Le Top 10 : - #1 Londres - #2 New York - #3 Singapour - #4 Toronto - #5 San Fransisco - #6 Paris - #7 Stockholm - #8 Hong Kong - #9 Sydney - #10 Chicago Comment ça marche ? PwC analyse et classe 30 centres mondiaux en se basant sur 10 critères liés aux domaines de la finance, des affaires et de la culture. Ces critères sont les coûts, le capital intellectuel, le savoir-faire technologique, les transports/infrastructures, la démographie, la puissance financière, la santé économique, les biens qualifiés de "lifestyle assets", la qualité de la vie et la sécurité. L'étude complète est disponible en anglais ici : http://www.pwc.com/us/en/cities-of-opportunity/index.jhtml Et un résumé à lire en français sur le magazine Challenges :
http://www.challenges.fr/galeries-photos/economie/20140519.CHA3958/classement-le-top-10-des-villes-les-plus-attractives.html

Houla, si... Malheureusement.
Selon une récente étude du fabricant de GPS TomTom, Toronto est la 2ème ville la plus embouteillée du Canada, et 7ème d'Amérique du Nord (la palme revenant cette année à Vancouver).
http://www.auto123.com/fr/actualites/vancouver-la-ville-la-plus-congestionnee-damerique-du-nord?artid=161632

Mississauga est une banlieue. Si vous aimez la vie citadine, les sorties (culturelles, restos, etc), préférez habiter à Toronto. En revanche, Mississauga sera plus appropriée pour une vie de famille. À vous de voir.

- Déjà, tu as TV5 sur le cable qui repasse des émissions de France 2 / France 3 (le JT tous les soirs à 18h30, des émissions, documentaires, films, séries, etc).

- Sinon via ton ordinateur, tu peux déjà avoir certains programmes en reprise (comme France 2 et M6) mais c'est limité (à cause de ton adresse IP canadienne).
Pour avoir accès à l'intégralité des programmes et des chaînes, il va donc falloir faire croire à ton ordinateur qu'il se trouve en France et pas au Canada. Pour cela, il faudra passer soit par un VPN (plus polyvalent mais il te faudra un bon débit internet car le VPN est gourmande en bande passante) soit par un Smart DNS (moins complet mais idéal si ton but est juste de regarder des chaînes françaises, et surtout aucun ralentissement).

- Ou encore via une Smart TV si tu en as une. C'est l'option que j'ai choisie, ça me permet de regarder les programmes français directement depuis la TV dans le canapé, comme si j'étais en France.
J'explique comment ici : http://www.forum.immigrer.com/topic/130817-question-de-geek-smart-tv-canadienne-et-applications-francaises/

Bonjour à tous,

J'ai eu beau fouiller sur internet, je n'ai pas trop trouvé de réponses concrètes...

Ma question est la suivante :

Les chaînes françaises me manquent parfois et les regarder sur mon ordinateur n'est pas ce qu'il y a de plus pratique, je pense par exemple à la récente offre de Canal+ Canada via la plateforme Dailymotion.

Je souhaite donc profiter des soldes de janvier pour acheter une Smart TV (une Samsung pour être précis), afin de profiter du confort multimédia qui vient avec. Le problème c'est qu'en achetant une Tv au Canada, les applications semblent limitées au Samsung Store canadien (je ne peux donc pas avoir accès aux applications françaises comme Dailymotion ou FranceTv par exemple). En regardant un peu sur le net, j'ai vu qu'il était toutefois possible de changer le pays de la TV dans les réglages, une manipulation assez simple et légale à faire dans le menu et un code à rentrer avec la télécommande. Cependant, là où je n'ai pas de réponse, c'est de savoir si l'application française une fois téléchargée fonctionnera malgré le fait d'avoir une adresse IP au Canada... Si ça marche sur mon laptop, je n'en ai aucune idée sur une Smart TV.

Une Smart TV achetée au Canada me permet d'avoir les applications Samsung Canada (aucune ne m'intéresse) :
http://pages.samsung.com/ca/smartapps/French/

Je souhaiterai donc changer le pays de la Tv pour récupérer les applications Samsung France :
http://www.samsung.com/fr/smarttvapps/

Mon but étant d'avoir une Smart TV canadienne, de télécharger l'application Dailymotion et de m'abonner à Canal+ Canada.

Je voulais donc savoir s'il y avait des personnes sur le forum vivant au Canada qui avaient justement une Smart TV à la maison : avez-vous réussi à changer le pays de l'app store de votre TV sans problème pour récupérer des applications françaises ?

Merci !

- Déjà, tu as TV5 sur le cable qui repasse des émissions de France 2 / France 3 (le JT tous les soirs à 18h30, des émissions, documentaires, films, séries, etc).

- Sinon via ton ordinateur, tu peux déjà avoir certains programmes en reprise (comme France 2 et M6) mais c'est limité (à cause de ton adresse IP canadienne).
Pour avoir accès à l'intégralité des programmes et des chaînes, il va donc falloir faire croire à ton ordinateur qu'il se trouve en France et pas au Canada. Pour cela, il faudra passer soit par un VPN (plus polyvalent mais il te faudra un bon débit internet car le VPN est gourmande en bande passante) soit par un Smart DNS (moins complet mais idéal si ton but est juste de regarder des chaînes françaises, et surtout aucun ralentissement).

- Ou encore via une Smart TV si tu en as une. C'est l'option que j'ai choisie, ça me permet de regarder les programmes français directement depuis la TV dans le canapé, comme si j'étais en France.
J'explique comment ici : http://www.forum.immigrer.com/topic/130817-question-de-geek-smart-tv-canadienne-et-applications-francaises/

Tu t'emmêles un peu les pinceaux : un CSQ, c'est juste un papier qui permet à un immigrant de devenir résident permanent via le Quebec (politique d'immigration choisie).
Mais au final, le document qui confirme ton statut de résident permanent (la "brune") est le même que tu passes par le Quebec ou directement le fédéral quand tu fais ta demande de RP.
CSQ ou non, le jour où tu arrives à un point d'immigration du Canada pour valider ta brune tu deviens un résident permanent du Canada, libre de vivre et de t'installer où tu le souhaites au Canada.
Tu n'es pas la première et encore moins la dernière dans cette situation.

Tu peux donc t'installer à Ottawa sans aucun problème puisque tu seras résidente du même pays.
Le jour où tu voudras revenir au Quebec, ce sera un simple déménagement d'une province à l'autre : il faudra juste échanger ton permis de conduire et carte santé ontariens vers leurs équivalents équivalents québécois (à lire ici sur la RAMQ)

Le point le plus sensible est l'arrivée sur le territoire (Quebec ou Ontario) car initialement tu as demandé un CSQ : il est fort possible qu'un agent mal luné te pose des problèmes à l'immigration (et pourquoi vous ne voulez pas vous installer au Quebec, bla bla bla). Le mieux est donc d'arriver initialement au Quebec et de donner une adresse au Quebec si tu le peux, ensuite déménager pour Ottawa.

L'éclipse débutera ce mardi 15 avril à 01h58 (heure de l'Est), elle sera à son maximum à 03h46 et prendra fin à 05h33.
En espérant que le ciel ne soit pas trop couvert, bien sûr.

L'éclipse débutera ce mardi 15 avril à 01h58 (heure de l'Est), elle sera à son maximum à 03h46 et prendra fin à 05h33.
En espérant que le ciel ne soit pas trop couvert, bien sûr.

Petite mise à jour sur l'histoire.
Ça y est, la carte de RP est arrivée aujourd'hui dans la boîte aux lettres : entre le passage à l'immigration à l'aéroport et la réception de la carte, il se sera écoulé 7 semaines, soit un peu moins de 2 mois.

Pas si pire finalement

Le programme/visa Coop alliant études et travail au Canada devient plus restrictif : voici les changements à venir.

Je crois que c'était effectivement le cas autrefois, mais il semblerait que ce ne soit aujourd'hui plus nécessaire.
Le transfert à la RAMQ depuis une autre assurance santé canadienne se fait automatiquement au bout de 3 mois de carence :

« Personnes qui s'établissent au Québec :

Les personnes arrivant d'une autre province pour s'établir au Québec sont admissibles au régime d'assurance maladie lorsqu'elles cessent d'être couvertes par le régime de leur province d'origine.
Pendant qu'elles demeurent couvertes par le régime d'assurance maladie de leur province d'origine, elles doivent présenter au médecin la carte d'assurance maladie de cette province si elles ont besoin de soins au Québec. Le régime d'assurance maladie de leur province en assumera ainsi les coûts.
La couverture du régime québécois débute généralement le premier jour du troisième mois suivant le mois de l'arrivée au Québec. »

Source : http://www.ramq.gouv.qc.ca/fr/immigrants-travailleurs-etudiants-etrangers/assurance-maladie/Pages/admissiblite.aspx