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UBRANE

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Messages posté(e)s par UBRANE

  1. Il y a 4 heures, Tmota a dit :

    Merci pour ces infos :)

    J'ai entendu dire que l'AVE est finalement reporté, est-ce vrai ?

    Concernant les cours, je ne trouve rien à un prix abordable. On m'a conseillé les meet-ups, qu'en pensez-vous ? Avez-vus des endroits précis ? Des lieux funs et sympathiques :)

    Enfin, pour le sport, je sais qu'en France il est demandé un certificat du docteur avant la pratique. Est-ce aussi le cas au Canada ?

    Merci encore !

    Salut,

     

    Effectivement, l'AVE est reporté à l'automne 2016 :
    http://www.cic.gc.ca/francais/visiter/visas.asp

     

    Les Meetups ne sont pas des cours, mais plutôt des clubs de rencontres selon tes intérêts. Si tu as une passion quelconque, c'est un bon moyen d'en discuter autour d'un verre tout en pratiquant l'anglais. D'autant plus que c'est gratuit.

     

    Des endroits pour sortir ? Pas facile de te répondre... C'est comme si moi je te demandais des lieux funs et sympathiques à Paris :lol:

    Pour le sport, je suis dans un club d'escalade à Toronto et on ne m'a jamais demandé de certificat médical. J'ai même déjà amené des amis avec moi qui n'était pas inscrits et pareil, on ne leur à rien demandé.

  2. En effet, la proximité d'une station de métro serait un gros plus car il n'y a que 2 grosses lignes (et 2 extensions). Le reste est tramway et/ou bus, pas ce qu'il y a de plus pratique (sauf si tu n'es pas pressée). Mais qui dit proximité d'une station de métro, dit aussi un loyer souvent plus élevé.

  3. Il y a 4 heures, Doun's a dit :

    J'appréhende unpeu l'arrivée étant seule et ne connaissant personne sur place, j'iamerais bien aumoins connaitre plus ou moins les quartiers ( chauds ) à éviter pour un logement.

     

    Je ne suis pas tunisien, mais voici un lien utile qui te sera pratique pour connaître le classement des quartiers de Toronto:

    http://torontolife.com/neighbourhood-rankings/#

    Tous les critères sont abordés. Pour voir quels sont les quartiers les moins safe, il te suffit de cliquer sur "customize you list" et de mettre tous les curseurs à zéro sauf "crime" que tu mets au maximum. Tu peux aussi personnaliser le classement des quartiers selon tes propres critères.

  4. Il y a 9 heures, guillaumer62 a dit :

    Certainement oui, mais au delà de six mois de séjour au Québec, il est possible de circuler sans permis Québécois mais avec un permis de conduire international jusqu’à son expiration. 

     

    https://saaq.gouv.qc.ca/permis-de-conduire/permis-international/

    Encore une fois, ceci est valable pour les gens de passage (comme les touristes). Tant que tu ne t'établis pas au Quebec, on est d'accord (comprendre avoir une adresse principale, payer des impôts, avoir une carte santé).

     

    Mais si tu t'installes au Quebec (RP, work permit, PVT, etc), alors il te faudra un permis de conduire québécois :

    « Le titulaire d'un permis étranger valide a le droit de circuler sur les routes du Québec pendant 6 mois consécutifs. Passé ce délai, il doit posséder un permis de conduire international et, s'il décide de s'établir dans la province, il doit obtenir un permis du Québec qu'il peut demander dès son arrivée. »

    https://saaq.gouv.qc.ca/permis-de-conduire/permis-etranger/

     

    Il te reste à cocher l'option qui te concerne ;)

  5. Il y a 16 heures, guillaumer62 a dit :

    Mais concrètement, si je ne peux pas utiliser un permis de conduire international pendant un peu moins de 6 mois en Ontario, à quoi sert le permis de conduire international?

    Un permis international n'a rien à voir. Un permis international est requis si tu as un permis de conduire issu d'un pays qui n'a pas d'accord avec le Canada. Le permis français étant reconnu, le permis international sera valide mais inutile dans ton cas.

    Explication : http://www.linternaute.com/auto/pratique/la-securite/le-permis/1698/le-permis-de-conduire-international.html

     

    Ensuite, passer du Quebec à l'Ontario  : tu restes dans le même pays, le Canada. Il s'agit juste d'un changement de province.

     

    Enfin, chaque province a sa propre politique en matière d'échange de permis de conduire. Au Quebec, un permis de conduire reconnu (comme le permis de conduire français ou le permis de conduire international) est valable 6 mois. En Ontario, comme je le disais plus haut, ce sera 60 jours maximum. Au-delà e ces délais, il est obligatoire de rouler avec le permis de conduire de ladite province.

    Sources :

    - Quebec : https://saaq.gouv.qc.ca/permis-de-conduire/permis-etranger/

    - Ontario : https://www.ontario.ca/fr/page/echange-dun-permis-de-conduire-non-delivre-par-la-province-de-lontario#section-1

    Maintenant, ceci est valable pour les résidants (les personnes qui "s'établissent" dans la province). De la même manière que la carte santé par exemple (carte soleil pour le Quebec vs OHIP pour l'Ontario), mais là c'est autre sujet.

     

  6. il y a une heure, dentan01 a dit :

    Oui mais et sans vouloir te contredire, quand j'étais étudiant à Ottawa, mon permis de conduire du Québec était toujours valide et ce, pendant plusieurs années. L'Ontario considérait que ma résidence permanente était chez mes parents à Québec. Donc, il faudrait qu'il vérifie avec le ministère de l'Ontario!

    Ha là, d'accord, dans ton cas c'était différent.

    Moi, je parlais de "résidence en Ontario" ;)

  7. En fait, le permis Ontarien devient obligatoire au bout de 60 jours de présence dans la province :

    https://www.ontario.ca/fr/page/echange-dun-permis-de-conduire-non-delivre-par-la-province-de-lontario#section-0

     

    Citation

    Quand vous vous installez en Ontario, vous pouvez utiliser un permis de conduire délivré par une autre province, un autre État ou un autre pays pendant 60 jours. Au bout de 60 jours, vous devez le remplacer par un permis de conduire de l’Ontario.

     

    Pour l'échange de permis de conduire :
    https://www.ontario.ca/fr/page/echange-dun-permis-de-conduire-non-delivre-par-la-province-de-lontario#section-1

  8. source : http://www.20minutes.fr/insolite/1797843-20160302-election-americaine-2016-trump-fait-exploser-recherche-comment-demenager-canada


     

    Citation

     

    Election américaine 2016: Trump fait exploser la recherche «Comment déménager au Canada»

     

    ETATS-UNIS - En quatre heures, dans la foulée des victoires du milliardaire américain lors du Super Tuesday, la recherche a augmenté de 350% sur le moteur Google...

     

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    « Si Donald Trump est élu, je déménage au Canada » est-il l’équivalent américain de « Si Marine Le Pen est élue, je quitte la France » ? Une chose est sûre, la victoire du magnat de l'immobilier lors du « Super Tuesday », commence sérieusement à inquiéter les internautes américains. Selon le site Mashable, la recherche « Comment emménager au Canada », aurait augmenté de près de 350 % le soir de l’annonce des résultats.

     

    Le site a analysé les différentes données fournies par Google. « A minuit, la recherche a atteint un score de + 1 150 % avant de redescendre à 500 % en moyenne », explique le journaliste. Sur Twitter, de nombreux utilisateurs ont exprimé, souvent sur le ton de l’humour, leur souhait de quitter les Etats-Unis en cas de victoire de Donald Trump.

     

    La demande aurait été si forte que le site officiel du gouvernement canadien a connu des difficultés de chargement dans la soirée. Difficile toutefois de savoir si le message d’erreur qui s’est affiché peu après minuit était directement lié au pic de recherches.

     

    Un site, vantant les mérites de l'île du Cap Breton, située au Nord-Est du Canada, intitulé «Cape Breton if Donald Trump Wins» (« Cap Breton si Donald Trump gagne ») a même été créé. Rien n’assure de pouvoir échapper au candidat républicain en cas de départ, ironisent toutefois certains internautes sur Twitter : « Il serait capable d’annexer le Canada ! ».

     

     

  9. Bonne nouvelle : à partir du 1er mars 2016, le CRTC (Canadian Radio-television and Telecommunications Commission) oblige dorénavant les entreprises du câble et du satellite canadiens à offrir des abonnements "basiques" à 25$ ou moins et incluant au moins 10 chaînes dont une partie doit être francophone.

     

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    Citation

    source : http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/economie/2016/02/29/006-television-crtc-forfait-abordable-bell-rogers-telus-videotron.shtml

     

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    À compter du mardi 1er mars, les sociétés canadiennes de câble et de satellite devront offrir à leurs abonnés un service de télévision de base ne coûtant pas plus de 25 $ par mois.

     

    Si la nouvelle réglementation pouvait plaire à certains abonnés, elle déplaît à un groupe de pression qui estime que les consommateurs auront ultimement un choix de canaux moins grand. Selon Les Amis de la radiodiffusion, la grande majorité des téléspectateurs verront une augmentation de leur facture sous le nouveau régime de forfaits à la carte.

     

    Le CRTC oblige dorénavant les entreprises du câble et du satellite à offrir les canaux sur une base individuelle ou dans des forfaits allant jusqu'à 10 canaux. À compter du 1er décembre, les entreprises devraient offrir les deux options à la fois.

     

    Le forfait dit « abordable » devrait comprendre au moins 10 stations de télé locales et régionales, ainsi que des canaux éducatifs. Cette obligation disparaîtra le 1er décembre.

     

    Selon le porte-parole des Amis de la radiodiffusion, Ian Morrison, seuls quelques consommateurs qui ne regardent pas beaucoup la télévision pourront profiter du nouveau cadre réglementaire. À long terme, le choix sera moins grand parce que certaines chaînes qui ne seront plus financées par l'entremise des frais d'abonnement disparaîtront.

     

    Des différences d'un fournisseur à l'autre

     

    Si certains des plus importants fournisseurs comme Bell, Rogers et Telus attendent jusqu'au 1er mars pour dévoiler leurs nouveaux forfaits, d'autres, comme Vidéotron, annoncent déjà sur leur site Internet leur service de base à 25 $. L'entreprise québécoise, contrairement à l'opérateur canadien Shaw, n'offre aucune chaîne américaine sur son service de base.

     

    Peter Miller, un consultant, rappelle que les études de marché réalisées par Nordicity à la fin de 2015 avaient indiqué qu'un petit pourcentage de téléspectateurs canadiens opterait pour les services de base au cours des prochaines années. « La majorité des Canadiens conserveront leur forfait actuel, car ils regardent un grand nombre de chaînes », avance-t-il.

     

    Le CRTC soutient que ce nouveau régime est axé sur le choix pour les consommateurs et non le coût des services.

     

    L'organisme reconnaît néanmoins que dans un environnement à la carte, certaines chaînes coûteront plus cher sur une base individuelle, car elles ne se partageront plus les revenus provenant des forfaits plus importants. Ainsi, le coût pour s'abonner à certaines chaînes pourrait être supérieur aux prévisions.

     

     

  10. Il y a 18 heures, karneledson a dit :

    Pouvez vous me dire s'il vous plait, les coins ou quartiers chauds de Toronto à ne pas chercher à louer avec les enfants? Si je peux déjà avoir une idée sur chaque ville ça me fera plaisir. On pense rester à Noth York, est-il une bonne ville, existe t-il des coins dangereux?

    North York est la banlieue nord.

    Il faut relativiser l'insécurité. On dira qu'il n'y pas vraiment de quartiers dangereux, mais juste des quartiers moins fréquentables que d'autres. Dans l'ensemble, il est tout à fait possible de vivre n'importe où, même à Jane & Finch (qui est effectivement un des quartiers les moins recommandés, comme dit Puda, mais loin d'être un quartier coupe-gorge) et c'est surtout votre budget qui dirigera votre choix (parce que Toronto est une ville extrêmement chère, surtout si vous arrivez en famille).

     

    Je vus invite à jeter un oeil sur ce palmarès des meilleurs et pires quartiers de Toronto selon la moyenne de différents critères :
    http://torontolife.com/neighbourhood-rankings/#

    Pour un classement des quartiers les moins sécuritaires de Toronto, cliquez sur "customize your list" au-dessus de la carte puis mettez tous les curseurs à zéro sauf celui "crime" que vous mettez à 100% : vous aurez ainsi le classement des quartiers les moins recommandables de Toronto et GTA.
    Vous pouvez aussi personnaliser le classement selon les critères qui vous intéressent (famille, écoles, etc).

     

  11. Même palmarès que l'année dernière : selon le tout récent classement annuel 2016 des meilleures villes au monde de Mercer, la ville canadienne de Vancouver offre la meilleure qualité de vie en Amérique du Nord et elle arrive même 5e au niveau mondial.

     

    À lire en détail :
    "Enquête internationale Mercer 2016 sur la qualité de la vie" ou le classement des meilleures villes du monde (en anglais).

     

    Cette année, 230 villes sont concernées dans cette enquête qui englobe les principales capitales internationales mais aussi un certain nombre de villes plus modestes, à travers le monde, accueillant également des expatriés.

    Au palmarès du classement on retrouve Vienne (Autriche) en haut du panier : la première ville à offrir la meilleure qualité de vie au monde. 
    Zurich (Suisse) arrive en deuxième position, suivie d’Auckland en Nouvelle-Zélande, et de Munich en Allemagne.
    Le même podium que l'année passée.

     

    Dans l’ensemble, les villes de l'Amérique du Nord, particulièrement celles du Canada, offrent selon Mercer, un niveau de qualité de vie élevé et constituent des destinations de travail intéressantes pour les travailleurs expatriés et les entreprises qui les emploient.

     

    Le Palmarès des villes d'Amérique du Nord en 2016  :
    1 Vancouver, Canada (#5 mondial)
    2 Toronto, Canada (#15 mondial)
    3 Ottawa, Canada (#17 mondial)
    4 Montréal, Canada (#23 mondial)
    5 San Francisco, USA (#28 mondial)

     

    Quant à la France, pour info, Paris ne se classe qu'à la 71e place.

     

    Et la dernière ville de ce classement mondial est... Bagdad (#230).

     

    À quoi sert ce classement ?
    Mercer établit ce classement dans le but d'aider les gouvernements mais aussi les entreprises multinationales à rémunérer convenablement leur personnel lorsqu'il est affecté à l'international: ce qui nous intéresse en tant qu'expatriés.
    A noter que pour élaborer le classement, Mercer a utilisée New York comme référence (c'est aussi le siège de la firme). New York est associée à l’indice de référence de 100 points.

     

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  12. source : Le Figaro - 4 février 2016
    http://etudiant.lefigaro.fr/international/etudier-a-l-etranger/detail/article/dix-bonnes-raisons-de-partir-etudier-au-canada-18919/

     

     

     

    Outre le bénéfice intrinsèque de n’importe quelle expatriation scolaire, le système universitaire du pays à la feuille d’érable permet aux étudiants de retirer des bénéfices très spécifiques de leur séjour. Revue de détail.

     

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    1. L’ouverture d’esprit et l’internationalisation

     

    Le Canada reçoit plus de 300 000 étudiants internationaux par an. Ils représentent, en moyenne, 8 % des effectifs dans les écoles et les universités. «C’est une richesse que de se retrouver pour des projets avec des étudiants venus de tous les continents. Chacun a sa manière de voir les choses», raconte Fanny Barret, en deuxième année de bachelor en psychologie à l’Université Bishop’s de Sherbrooke, l’une des institutions anglophones du Québec qui compte 15 % d’étudiants internationaux.

     

    2. L’excellence académique

     

    Avec quatre universités dans le top 100 du classement de Shanghai - Toronto (24e), Colombie-Britannique (37e), McGill (67e) et McMaster (90e) - les établissements canadiens sont bien dotés: le gouvernement a en outre annoncé, en avril 2015, un plan de 1,33 milliard de dollars canadiens d’investissement sur six ans pour bâtir une recherche de pointe. «L’Université de Montréal dispose, par exemple, de l’un des trois équipements les plus sophistiqués du monde pour étudier la diffraction des rayons X», indique Elodie Rousset, étudiante à l’Université Pierre-et-Marie-Curie, à Paris, qui vient d’y terminer sa thèse en chimie.

     

    3. Le bouillonnement entrepreneurial

     

    Le Canada est une terre d’élection pour les startup. Plusieurs universités, dont Waterloo, dans l’Ontario, considérée comme l’une des plus innovantes, déploient des programmes et des incubateurs pour épauler les candidats à la création d’entreprise. «Mais au-delà, l’esprit entrepreneurial fait partie de notre culture. Cela fait plus de vingt ans que nous apprenons aux étudiants à prendre des risques», explique Normand Beaudry, responsable du recrutement des étudiants étrangers à l’Université Laval de Québec.

     

    4. Des enseignants plus proches

     

    Ici, le tutoiement entre enseignants et étudiants est de rigueur. La porte des bureaux reste toujours ouverte. La plupart des professeurs communiquent leur adresse mail, voire leur numéro de portable. «L’un de nos enseignants nous a même invités chez lui pour discuter du projet sur lequel nous travaillions avec plusieurs camarades!», s’étonne Salomé Gautier, en maîtrise sur les énergies propres à l’Université de Colombie-Britannique de Vancouver.

     

    5. Les étudiants encouragés

     

    Les enseignants soutiennent leurs élèves en mettant l’accent sur les réussites et les progrès. Au niveau des masters, ils les incitent à publier, une possibilité inconnue en France. «La notion de plaisir d’apprendre est essentielle. Quand je suis arrivée à l’Université d’Ottawa en maîtrise de criminologie, j’ai vu mon directeur de mémoire pour définir mon sujet. Il m’a recommandé de travailler avant tout sur un thème qui m’intéressait», souligne Gabrielle Pilliat.

     

    6. Des cursus pluridisciplinaires

     

    «Au-delà des cours obligatoires dans notre discipline, nous avons la possibilité de choisir une mineure (NDLR: champ d’études secondaire) et de multiples options qui n’ont rien à avoir avec notre domaine d’études», insiste Mélanie Gallichet, en troisième année de bachelor en physique à l’Université McGill de Montréal. Elle a ainsi suivi une mineure en histoire et des cours sur l’économie des pays en développement.

     

    7. De nombreuses passerelles

     

    Au Canada, rien n’est jamais figé. Anne-Claire Gayet en a fait l’expérience: après deux ans en classe préparatoire et une licence d’histoire, elle était à la recherche d’un programme pour se réorienter. C’est à l’Université de Montréal qu’elle a trouvé la solution. «J’ai été admise en maîtrise d’études internationales, un cursus très large où j’ai notamment suivi une initiation au droit. Cela m’a permis de faire un stage au Conseil de l’Europe et au Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés.» Elle a ensuite poursuivi des études de droit, d’abord à l’Université de Montréal, puis à celle de McGill où elle a décroché un diplôme pour devenir avocate.

     

    8. Améliorer son niveau d’anglais

     

    Progresser dans la langue de Shakespeare compte parmi les objectifs prioritaires des étudiants expatriés au Canada, y compris ceux dans les universités francophones. Toutes proposent des cours ou options en anglais tandis que la présence de nombreuses nationalités dans les salles de cours facilite également l’apprentissage. «Les progrès seront plus importants si on évite de ne fréquenter que des étudiants francophones!», recommande Julien Dieudonné, diplômé de HEC Montréal.

     

    9. Un marché du travail dynamique

     

    Faire des études au Canada ouvre les portes d’un bassin d’emploi dynamique, notamment pour les ingénieurs, les diplômés d’écoles de commerce et ceux qui s’orientent vers les Cégeps (collèges d’enseignement général et professionnel) du Québec ou les collèges dans les autres provinces préparant l’équivalent de BTS ou de DUT. «Les étudiants en génie mécanique ont, en moyenne, une dizaine d’offres d’emploi à la sortie. Et la plupart sont recrutés avant même la fin de leurs études», indique Denis Rousseau, directeur des études du Cégep de Trois-Rivières.

     

    10. Un coût abordable

     

    Les études au Canada sont payantes et les frais d’inscription varient selon le niveau d’études et les provinces (de 6 000 à 25 000 dollars canadiens, soit 4 200 à 18 000 euros par an). «Mais c’est quand même deux fois moins cher que des études aux États-Unis. De plus, il est possible d’avoir des bourses. Ici, par exemple, je suis payé pour faire mon mémoire de maîtrise, un travail de recherche qui intéresse l’université!», lance Alexandre Lecoanet, en Master of science génie chimique à l’Université de l’Alberta, venu à Edmonton dans le cadre d’un accord de double diplôme entre l’établissement et l’ENSIC (École nationale supérieure des industries chimiques) de Nancy.

     

     

  13. source : Le Figaro du 4 février 2016

    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2016/02/04/01016-20160204ARTFIG00080-la-reforme-de-l-orthographe-de-1990-fait-son-entree-dans-les-manuels-de8230-2016.php

     

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    Disparition partielle de l'accent circonflexe sur le «i» et le «u», simplification de la graphie de quelque 2400 mots: une réforme de l'orthographe décidée en 1990 fera son apparition dans les manuels scolaires à l'occasion de la rentrée 2016.

     

    Les puristes de la langue française vont devoir tourner sept fois leurs stylos rouges avant de frapper. Vingt-six ans après sa validation par l'Académie française, l'orthographe rectifiée rentre dans les manuels scolaires de la rentrée 2016-2017, à la faveur de la réforme des programmes scolaires. Les nouveaux livres d'orthographe et de grammaire porteront un macaron portant la mention «Nouvelle orthographe».

     

    Plus de 2400 mots sont concernés. Parmi les principaux points, cette simplification des règles ne rend plus obligatoire l'accent circonflexe sur le «u» et le «i». «Coût» deviendra «cout», «paraître» «paraitre»… En revanche, l'accent est conservé pour les mots où il indique une nuance cruciale. Le participe passé de devoir restera «dû». De même, l'adjectif «mûr» restera inchangé pour ne pas le confondre avec «mur».

     

    «Oignon» et «nénuphar» perdent quelques lettres et s'écrivent «ognon» et «nénufar». On pourra désormais écrire «picnic», supprimer le trait d'union des mots composés de «contre», «entre», «extra». Oubliez les «extra-terrestres» ou un «porte-monnaie», bienvenue aux «extraterrestres» et «portemonnaie». «Événement» pourra désormais s'écrire avec un accent grave sur son deuxième «e», «réglementaire» change aussi d'accent.

  14.  :lol:

    Source : http://www.topito.com/top-petites-illustrations-francaise-expatriee-quebec

     

     

    1. Quand tu te réalises que le climat n'est pas tout à fait le même

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    2. Quand ta mamie t'appelle

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    3. Quand tu embrasses un Québécois pour la première fois

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    4. Quand tes voisins gueulent

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    5. Quand tu veux t'intégrer

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    6. Quand on te rappelle que t'es française

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    7. Quand tu te rappelles qu'au Québec, il neige vraiment VRAIMENT beaucoup ...

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    8. Quand tu apprends des mots nouveaux

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    9. Quand t'essayes d'apprendre les fahrenheit

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    10. Quand tu te rends compte que l'administration n'est pas mieux là-bas

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