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La Féline

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Messages posté(e)s par La Féline

  1. Salut,

    J'ai déjà passé la frontière en autobus du Canada vers les États-Unis avec mon passeport français mais jamais en avion. Je sais qu'à Montréal, on passe les douanes américaines à l'aéroport, donc j'imagine que si je fais escale dans une ville américaine (pour aller en Amérique du sud), je ne devrais pas être retardée avec d'autres interrogatoires à cause de mon passeport français (et manquer ma correspondance) ?

    J'ai entendu tellement d'histoires à ce sujet, est-ce que quelqu'un peut me dire comment ça se passe exactement ?

  2. En fait, je pense que tout dépend de la personne sur laquelle on tombe lors du renouvellement.

    La dernière fois que j'ai demandé un renouvellement de passeport, j'étais encore en France. Je ne me souviens plus s'ils avaient conservé mon passeport durant le renouvellement mais ce qui est sûr, c'est qu'ils n'ont pas voulu que je garde l'ancien même malgré ma demande, à ma grande déception car j'avais les tampons de mes premiers voyages en Amérique-du-Nord, et autres estampes touristiques de grands parcs nationaux (Grand Canyon, etc). Je n'ai encore jamais demandé de renouvellement depuis l'étranger donc je me renseigne.

    Autre question, est-ce que c'est long pour avoir un RDV au consulat (pour la demande de renouvellement) ? histoire de savoir combien de temps à l'avance je dois m'y prendre...

  3. Tu ne peux pas renouveler ton passeport jusqu’à son expiration,tu peux rentrer au canada avec un passeport ordinaire pour le moment rien ne l'interdit ..

    J'ai renouvele mon passeport quatorze mois en avance. Le gouvernement francais s'en fiche du moment que tu payes.

    J'espère que je pourrai renouveler mon passeport avant expiration ! Manquerait plus que ça que je ne puisse pas partir en vacances à cause de ça !...

    D'où la question aussi de savoir s'ils le gardent ou non pendant le renouvellement, ça veut dire que je ne pourrai pas sortir du territoire durant cette période, donc il faut impérativement que je demande le renouvellement avant expiration.

  4. Moi non plus, je n'ai pas de passeport biomètrique et je n'ai jamais eu de problème pour passer la frontière américaine (ni à Niagara Falls). Je pense que ça dépend vraiment du douanier sur lequel on tombe...

    Par contre, mon passeport expire à la fin de l'année, donc je n'attendrai pas la dernière minute pour en demander le renouvellement mais, vu que j'ai quelques voyages de prévus, il faut que je m'organise selon les délais (4 semaines, d'après ce qu'ils disent sur le site du consulat). Mais je me pose la question suivante : vu qu'ils demandent des photocopies + de présenter l'original lors du RDV, est-ce qu'ils gardent le passeport durant les 4 semaines du renouvellement ou est-ce qu'ils me le remettent ?

    Autre question que je me pose : tant qu'à prendre RDV pour renouveler mon passeport, est-ce que je devrais aussi en profiter pour faire renouveler ma carte d'identité (périmée depuis + 2 ans) ? Je ne pense pas que ce soit vraiment utile, étant donné qu'elle n'a valeur qu'en France, mais au cas où je tomberais sur un flic chiant lors de prochaines vacances en France...

  5. On peut parler de "rupture" en quelque sorte, mais temporaire. C'est vrai, partir, c'est quitter ses proches, son environnement, son quotidien, etc, mais le mot "divorce" est un peu fort je trouve. Perso, j'écris à ma mère tous les jours ou presque (car on ne s'appelle pas toutes les semaines non plus). C'est sûr que pour le téléphone, c'est moins pratique (à cause du décalage horaire) alors pour les cousins et les amis, c'est le web aussi (réseaux sociaux, e-mail, etc). Et même sans s'écrire pendant des mois, pour certains, ça ne nous empêche pas de nous retrouver quand je rentre en France pour les vacances. Ce n'est pas toujours évident car le temps passe vite, mais on arrive toujours à se trouver un moment pour se voir, malgré la vie que chacun s'est fait de son côté. Donc je ne pense pas que je me sentirais à l'abandon si je décidais de rentrer au pays, mais c'est sûr que j'aurais des regrets d'avoir quitté une vie que j'aimais tant sur l'autre continent. Si ça devait m'arriver, je pense que moi aussi, je finirais pas revenir icitte ! :thumbsup:

  6. Bilan de cette année ? Pas de coup de cafard cette fois. Pourtant, je suis encore retournée en France cette année, contente de voir la famille et les endroits que j'aime, mais heureuse de retrouver mon petit chez moi québécois aussi ! En fait, je pense que ça dépend (beaucoup) du contexte dans lequel on se trouve. L'an dernier par exemple, quand j'ai réagi à ce sujet, j'avais vraiment passé de super vacances (notamment à cause d'un mariage qui m'a permis de revoir toute la famille, pour une fois) mais quand je suis rentrée, j'étais au chômage (ça n'aide pas). Puis, quelques semaines plus tard, j'ai débuté sur un nouveau poste qui ne me plaisait pas vraiment. Tous ces petits désagréments entremêlés font réapparaître les remises en question, les doutes. Puis, comme d'habitude, quand tout redevient à nouveau cool, je ne pense plus à l'éloignement. Un fois qu'on a retrouvé un certain "confort", une stabilité, on voit plus les avantages que les inconvénients de notre expérience d'immigrant. Mais ça ne veut pas dire que ça ne recommencera pas un jour ou l'autre... En tout cas, pour l'instant, non, je ne suis toujours pas prête à rentrer au pays !

  7. Ça dépend de notre caractère aussi : certains sont plus réservés et ont plus de mal à se faire de nouveaux amis que d'autres. Je fais partie de cette espèce mais je ne cherche pas à avoir une ribambelle d'amis partout où je vais. Je me contente de rester en bon terme avec quelques amis proches. À mon boulot, je m'entends bien avec tout le monde mais ça reste des collègues de travail. Autrement, je retrouve toujours la même petite gang franco-québécoise pour diverses occasions. On n'est pas nombreux mais on s'éclate à chaque fois, c'est ça qui compte :thumbsup:

  8. La solution pour moi serait peut-être d'espacer mes voyages en France, afin de vivre ces périodes de doute moins souvent. Mais je ne suis pas certaine que ma famille verrait ça d'un bon oeil (elle va dire que je la délaisse encore plus)... Il faut trouver une juste mesure entre les deux, sans pour autant être "déchirée" entre 2 pays, ce qui n'est pas forcément évident ! :thumbsup:

  9. tu ecris que tu finis par ne plus y penser lorsque tu retrouves ta routine et que tu retrouves ton cote positif. Lorsque tu y penseras et que tu ne perdras pas ton cote positif, tu pourras te dire que tu as franchi une autre etape.

    Oui, le jour où je n'aimerai plus ma vie au Québec, j'y repenserai à 2 fois. Mais je ne prendrai aucune décision avant d'en être certaine.

  10. Je remonte un vieux post mais... La Féline où en est-tu aujourd'hui ?

    Pour apporter ma pierre à l'édifice, nous aussi ça fait 7 ans qu'on est ici, on se sent bien, mais le manque de la famille nous a fait nous poser beaucoup de questions aussi alors finalement, on plie bagage le mois prochain... pas pour la France, mais juste à côté, bref on se rapproche, mais sans "rentrer" puisque la France ne nous tente définitivement pas (pour le moment...)

    Alors évidemment, on se pose 10 000 questions : est-ce qu'on va s'adapter à l'Europe ? Et si on a envie de revenir ici ? etc.

    Et bien ON VERRA ! Si on doit revenir, on reviendra (à date malgré mon envie de retourner en Europe, j'ai beaucoup de mal à imaginer que je ne vivrais plus jamais à Montréal, ça me paraît limite inconcevable) mais il faut partir pour le savoir !

    Si on reste ici, on va constamment se poser la question. Peut-être qu'une fois là-bas, ça ne sera pas mieux, mais il faut essayer ! J'ai des amis qui sont repartis comme ça... 4 ans en France, et ça fait 12 ans qu'ils sont de retour à Montréal, pour de bon ! :wink:

    Moi je me dis que je serai pas bien dans ma peau sans le tenter ce "retour" en tout cas ! J'espère trouver la paix très bientôt :wink:

    Salut,

    Pour répondre à ta question, en fait, je l'ai fait en partie dans le récent poste sur le mal du pays alors je pourrais faire un copier/coller mais faudrait que j'adapte un petit peu. Pour résumer, mes périodes de doutes sont toujours temporaires et se manifestent surtout lors d'un retour de vacances en France. La prochaine devrait donc avoir lieu fin septembre mais en attendant, non je ne suis toujours pas prête à prendre la décision de rentrer définitivement en France. J'aime toujours autant ma vie ici et je sais qu'elle me manquerait si je retournais dans mon pays d'origine. Il faudra que me refasse une place (que je n'avais pas vraiment trouvée avant de partir, mais que j'ai trouvé ici) dans un environnement qui a tout de même changé depuis mon départ et je ne suis pas certaine de m'y adapter. Pour l'instant, mon chez-moi, c'est au Québec, parce que c'est ici que j'ai choisi de vivre et c'est ici que je me sens bien, même si ma famille est loin. Je me sens un peu égoïste de dire ça mais on vit pour soi et non pour les autres, alors il faut savoir faire des sacrifices. J'ai déjà dit à une cousine qui voulait me persuader de revenir : "Qu'est-ce que tu préfères ? Me voir moins souvent mais savoir que je suis heureuse ? Ou que je revienne près de vous et me voir déprimer ?" Pour moi, la réponse s'impose d'elle-même ! :smile:

  11. Cet état d'âme devrait être considéré par n'importe quel immigrant avant de faire le grand saut, mais il est évident qu'on ne peut pas savoir comment on va réagir tant qu'on n'a pas fait l'expérience. Ça fait partie des risques. Pour moi qui suis du genre nostalgique, c'était un peu ma crainte aussi, d'avoir le mal du pays. Mais les premiers mois après mon arrivée, j'étais tellement emballée que je n'y ai pas pensé du tout, même après un premier retour aux sources pour les vacances (au bout d'une semaine, le Québec me manquait déjà !) C'est au cours de la 2e année, si je me souviens bien, où j'ai commencé à avoir des périodes de doute. Depuis, j'en ai une qui revient chaque année, particulièrement après un retour de vacances passées auprès de ma famille. Ça remue trop de souvenirs, trop de choses qui me manquent quand je suis sur l'autre rive, alors de retrouver tout ça me donne un petit pincement au coeur au moment où les vacances se terminent et remet les mêmes questions sur la table à chaque fois, quand je rentre (est-ce que ma vie est vraiment ici ? Est-ce que je ne ferais pas mieux de rester près de ma famille, profiter pendant qu'elle est encore là ? etc...) Mais ce n'est toujours que passager. Dès que je retrouve ma routine, mon travail, mes amis, je finis par ne plus y penser et je retrouve mon état d'esprit positif, le fait que je sois bien ici et que j'aurais et que j'aurais à coup sûr le mal du pays (québécois !) si je décidais de rentrer en France. Après, c'est sûr que j'ai débarquée seule donc je suis la seule à décider. Quand on débarque en famille et qu'il y en a plusieurs qui ont le mal du pays, là c'est plus problématique. Je te souhaite bon courage et que toi et les tiens prennent la bonne décision. Le bien-être est le plus important :thumbsup:

  12. Oui, les prix sont toujours plus avantageux quand on part hors "haute saison" mais quand on travaille, on ne choisit pas toujours...

    Je me disais qu'en septembre, justement, quand tout le monde reprend le boulot, les gamins l'école, etc, les avions ne doivent plus être pleins et donc les tarifs plus intéressants, mais jusqu'à maintenant, je ne vois pas de grosse différence. Attendre la dernière minute, je n'ai jamais essayé jusqu'à maintenant, c.'est pour ça que je demande s'il y a d'autres adeptes de cette technique qui pourraient me dire si ça vaut vraiment la peine de prendre ce risque.

  13. Je me pose la question car un cousin qui vit aux É.-U. fait toujours ça et me le recommande à chaque fois. Mais voyageant toujours à des périodes de grandes affluences (été ou fêtes de fin d'année), je n'ai jamais osé tester, de peur de ne pas avoir de place. Mais cette année, je compte partir en septembre et je ne pense pas que les avions soient pleins à cette période, mais j'hésite quand même à prendre mes billets maintenant ou à la dernière minute pour les avoir moins chers. Quelqu'un a déjà essayé ? Est-ce que c'est vraiment avantageux (on parle d'un vol Montréal-Paris) ? parce que si c'est juste pour grapiller une cinquantaine de $, autant que je les prenne maintenant et que j'arrête de me tater avec ça :blink2: !

  14. J'ai déjà essayé Air Transat aussi, quand j'étais venu une semaine à Montréal en repérage (en attendant mon visa). Je n'avais vraiment pas aimé et je ne l'ai jamais repris depuis, bien qu'on m'ait dit qu'il y a eu quelques améliorations. Les raisons ont déjà été citées : niveau confort = 0. Moi, voyager 7h avec les genoux coincés dans le siège de devant, je l'ai fait une fois et ça ne me tente pas de recommencer. De plus, il fallait payer pour ce qui est habituellement gratuit avec les autres compagnies (écouteurs, couverture, collation, etc). Je préfère payer un peu plus cher et être mieux installée, sans avoir à payer de supplément une fois dans l'avion. Et même, ce n'est pas vraiment plus cher : l'an dernier, j'ai voyagé avec Corsair et c'était moins cher qu'Air Transat. En plus, contrairement aux autres cies qui n'exigent plus qu'un bagage de 23 kg par personne, Corsair autorise encore 2 bagages (à moins que ça ait encore changé depuis). Après, ça dépend de la période à laquelle on part aussi (pour les tarifs).

  15. Ouais, ça a l'air pas mal mais je ne suis pas certaine que ce soit moins cher au final car les séjours partent de Vancouver, donc il faudrait que je me rende là-bas par mes propres moyens pour rejoindre le groupe. De plus, je ne suis pas totalement bilingue alors je me sentirais un peu isolée d'être la seule participante venant de la province de Québec (le site internet est uniquement anglophone, ça veut tout dire). Je cherche le même genre, mais au Québec. Le club de rando que j'ai trouvé est le seul pour le moment qui correspond à ce que je cherche, mais c'est le prix qui me fait hésiter.

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