immigrer.com

L'association Coq et Karibou à Paris organise un party de Noël à la sauce québécoise.

Il reste encore quelques places pour cet évènement qui aura lieu ce week-end dans la capitale française.

En savoir plus :

http://www.coqetkaribou.fr/nos-evenements/194/noel-des-quebecois

Mardi 3 décembre 2013 | Mise en ligne à 7h52 |

Les avantages d'embaucher des immigrants

Alors que le Québec accueille environ 50 000 immigrants par année, près de 90% d'entre eux choisissent de vivre dans la métropole. Ils constituent un bassin de main-d'oeuvre important pour les nombreux postes à pourvoir.

Parmi les entreprises de la région de Montréal ayant embauché des immigrants, 62% y voient des avantages. Par exemple, 20% de ces employeurs apprécient la connaissance de plusieurs langues de leur main-d'oeuvre issue de l'immigration. Ils sont aussi 22% à remarquer leur volonté à travailler. De plus, 19% de ces employeurs ont affirmé avoir engagé du personnel immigrant aux compétences difficiles à trouver.

Ces données sont diffusées dans le cadre de la campagne Un monde de talents pour performer.

Elle a été lancée au début de la semaine par le Conseil emploi métropole (CEM) et Emploi-Québec pour mettre en valeur les avantages de l'embauche de travailleurs qualifiés issus de l'immigration pour les PME de la région.

suite et source : http://blogues.lapresse.ca/lapresseaffaires/cv/2013/12/03/les-avantages-d’embaucher-des-immigrants/

Aussi :
Attirer une main-d'oeuvre diversifiée
http://affaires.lapresse.ca/cv/201311/20/01-4712773-attirer-une-main-doeuvre-diversifiee.php

Bonjour,

Je me permet un petit mot au sujet des régions du Québec, qui gagnent à être davantage connues comme communautés d'accueil pour les personnes immigrantes.

Je travaille depuis plus d'un an pour un service dédié à l'accueil et l'intégration des personnes immigrantes situé à Matane et j'ai le bonheur d'accueillir ici des nouveaux arrivants de tous horizons. L:'agent de liaison du Bas-Saint-Laurent à Montréal constate que malgré les efforts de promotion investis, plusieurs préjugés tenaces circulent au sujet des régions. Or celles-ci ont beaucoup à offrir: des opportunités professionnelles intéressantes, un accès plus facile à la propriété, la proximité des services, des paysages à couper le souffle... et aussi un accueil à échelle humaine qu'il est difficile d'imaginer dans les grands centres urbains!

Voici un court clip vidéo qui présente le Service accueil-immigration de la Matanie (situé dans la région administrative du Bas-Saint-Laurent, mais en Gaspésie touristique).
http://www.youtube.com/watch?v=MWBWTkBHmC8

Mais au-delà du message que je souhaite faire passer comme responsable d'un service d'accueil (et surtout comme nouvelle arrivante amoureuse de ma région d'adoption), je serais curieuse de connaître votre vision des régions du Québec. Quelle image en avez-vous? Considérez-vous que comme nouveaux arrivants au Québec, vous avez reçu l'information requise sur les différentes régions? Les avez-vous considérées dans votre choix de l'endroit où vous établir? Sinon, qu'est-ce qui serait susceptible de vous emmener à explorer davantage du côté des régions?

J'attends vos réponses!

Au plaisir d'échanger,

Catherine

La fin de semaine dernière se déroulait la 16e édition des séjours exploratoires de Place aux jeunes.
Dans la Vallée-de-l'Or, neuf diplômés ont visité la région dans le but de s'y établir. La plupart sont issus de l'immigration.
Les participants du séjour exploratoire proviennent d'aussi loin que la Colombie ou la République du Congo. Ils vivent pour la majorité à Montréal et sont à la recherche d'un emploi. Plusieurs sont ingénieurs. L'Abitibi-Témiscamingue offre de belles possibilités selon l'agente de migration de Place aux jeunes Caroline Baribeau-Careau. « C'est beaucoup en lien avec l'emploi, parce qu'on sait que c'est souvent la motivation numéro un pour déménager, mais c'est aussi pour avoir une vie après le travail », explique-t-elle.
Tommy Auger-Cadieux est cordonnateur de projet au Carrefour jeunesse emploi. Il a été agent de migration en 2008-2009. Il constate une transformation dans le type de participants.
« Ils veulent se détacher de Montréal. Montréal, c'est une grande ville. Ils viennent des régions et veulent retrouver ça un peu avec l'Abitibi-Témiscamingue. »— Tommy Auger-Cadieux, coordonnateur de projet au Carrefour jeunesse emploi « Au tout début de Place aux jeunes, c'était beaucoup plus des gens originaires de la MRC de la Vallée-de-l'Or qui voulaient revenir s'établir ici même, continue M. Auger-Cadieux. En 2008-2009, on commençait à avoir des gens des autres régions du Québec qui voulaient venir s'établir et un petit peu de gens issus de l'immigration. Mais là, aujourd'hui, on voit que c'est beaucoup des gens de l'extérieur et entre autres issus de l'immigration [qui participent à Place aux jeunes]. »
Selon les données de Place aux jeunes de la Vallée-de-l'Or, un participant sur deux vient s'établir dans la région à la suite des séjours exploratoires.

http://www.radio-canada.ca/regions/abitibi/2013/11/25/002-place-aux-jeunes.shtml

Bonjour à tous,

Montréal. Cinq mois de galère pour trouver du boulot, plus de cent candidatures (avec CV à la norme locale), volontariat, réseautage... aucune percée. Le moral commence à en prendre un coup, et c'est compréhensible, nous en conviendrons tous. Pas bon, ça.

Par simple curiosité, envoi de CV dans d'autres villes que la métropole québécoise. Réponse après le troisième envoi, entrevue décrochée, emploi confirmé, bonnes conditions et presque au même niveau que celui auquel j'étais en Europe (même si ce n'est pas une référence, je suis d'accord, mais ça rassure sur ses compétences).

Nous décidons, mon conjoint et moi, de saisir la chance et d'aller là où le vent nous mène.

Donc, oui, l'adaptabilité et la créativité sont essentielles. L'immobilisme et la procrastination sont à proscrire parce qu'ils ne mènent nulle part. Et, surtout, ne pas résister au changement.

En route pour de nouvelles aventures... Et surtout très curieux de voir où elles aboutiront.

À bientôt,
Thierry

Ce n'est pas l'Agence métropolitaine de transport dans ce cas mais plutôt Avis relatif au marché du travail (AMT)

Un exemple : http://www.forum.immigrer.com/topic/126431-demande-amt/

En cette journée de première neige de l'année à Montréal, voici le dernier vidéo de Tourisme Québec : Blanc comme neige.

Suite à à un concours de la Commission canadienne du tourisme voici une compilation de vidéos amateurs démontrant pourquoi le Canada est un lieu si cool à habiter.




http://35milliondirectors.com/

8 jours que je me suis inscrite sur ce forum et le bilan est plus que positif !
J'en ai plus appris en 8 jours qu'en plusieurs années de "balades" au Québec.
Je suis toujours aussi focalisée sur mon objectif de "dans 3 ans" comme dirait l'autre....
Mais je sais maintenant des choses que je n'aurais pas soupçonnées si je n'avais pas eu certains échanges.
Je suis plus réceptive à certaines situations, plus compréhensive car je ressens mieux le "stress" on peut dire ça oui, de ceux qui galèrent parce qu'ils ont choisi de "changer" d'environnement par nécessité ou par envie.

Merci à tous ceux qui contribuent à mon éducation
J'ai encore beaucoup à apprendre, même à mon grand âge !!

Alors je reste encore un peu

En début de semaine, Frantz Benjamin, d’origine haïtienne, a été nommé Président du Conseil municipal de la ville de Montréal (Québec, Canada). C’est la première fois dans l’histoire du Conseil de ville, qu’une personne d’origine haïtienne occupe un tel poste, à souligné Denis Coderre, le 44ème Maire de Montréal, qui a précisé que cette nomination reflétait le Montréal d’aujourd’hui.

Notons également, que dans l’équipe du Maire Coderre, Monica Ricourt, née à Montréal-Nord de parents d’origine haïtienne, est Conseillère d’arrondissement du district Ovide-Clermont à Montréal-Nord. Elle est aussi membre de la Commission de la sécurité publique et membre du Conseil d’administration de la Société de transport de Montréal. Sélectionnée comme l’une des 40 ambassadrices de la Faculté de science politique et de droit de l’UQAM, à l’occasion du 40e anniversaire de cette institution, elle a reçu en 2010 un hommage de la Table ronde du Mois de l’histoire des Noirs.

Tandis que Nathalie Pierre-Antoine, aussi d’origine haïtienne, titulaire d’un baccalauréat en nutrition, d’un diplôme d’études supérieures en gestion appliquée de l’Université McGill et d’une maîtrise en administration publique de l’École nationale d’administration publique (ÉNAP), est Conseillère de l’arrondissement Rivière-des-Prairies–Pointe-aux-Trembles.

En savoir pius sur Frantz Benjamin :
Frantz Benjamin est actuellement membre de la Commission sur la culture, le patrimoine et les sports et membre de la Commission sur le développement social et la diversité montréalaise. Élu conseiller de Ville en 2009 pour le district Saint-Michel de l’arrondissement Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension, Frantz Benjamin est aussi Commissaire scolaire et membre du Comité exécutif de la Commission scolaire de la Pointe-de-l’île. Impliqué dans sa communauté, il a notamment été président du Conseil inter culturel de Montréal.

source : NegroNews

Bonjour,

l'ambassade de France vient de Twitter ceci:

Amb Canada France‏@AmbCanFrance Les demandes #EICFrance 2014 seront traitées selon l’Accord de 2003. La durée des PVT restera de 12 mois http://immigrer.com/1b1XRWi

et


Abonné Amb Canada France‏@AmbCanFrance La catégorie PVT #EICFrance 2014 n’ouvrira pas avant janvier 2014. Nous vous remercions de votre patience
et

Notre blogueuse immigrante française Blueberry à Vancouver nous parle du fait de vivre en anglais sur la côte ouest canadienne.

À lire en page d'accueil.

Bonne lecture !

Bienvenue sur le forum!

Vous avez différentes possibilités pour immigrer au Québec (si vous êtes éligibles) – voici quelques infos.

Si vous voulez immigrer au Québec avec un visa de travail temporaire (PTT). Il faut savoir que trouver un travail à distance est difficile et dépend fortement de votre domaine de formation/ expertise professionnelle car l’employeur devra prouver qu’il n’a pas trouvé sur place avant de pouvoir faire les démarches pour le PTT.
http://www.cic.gc.ca...nde-comment.asp
http://www.cic.gc.ca...demande-qui.asp

Et au cas où, voici la procédure pour le recrutement de travailleurs spécialisés – Démarche simplifiée pour l'embauche de travailleurs de 44 professions spécialisées
http://www.immigrati...simplifiee.html

Si vous voulez immigrer au Québec avec un visa de résident permanant, tu dois d’abord faire l’Evaluation préliminaire d'immigration pour voir si vous êtes éligibles (attention évaluation à titre informatif)
http://www.immigrati...procedures.html
http://www.immigrati...guistiques.html

Voici la nouvelle grille des points 2013 pour obtenir le CSQ
http://www.immigrati...le-synthese.pdf

Voici la liste des domaines de formation pour savoir combien ton diplôme peut te rapporter de points
http://www.immigrati...e-formation.pdf

Soit vous avez assez de point (63 avec conjoint) et vous recevez le CSQ sans entrevue de sélection.
Soit vous avez 57 points et il y a entrevue de sélection pour obtenir les points d’adaptabilités (max 6 pts supplémentaire). Si l’entrevue est satisfaisante, vous obtenez le CSQ. Tu peux faire des recherches sur le forum pour des retours d’expériences sur l’entrevue de sélection (il faut bien se préparer).
Une entrevue de sélection est également possible avec assez de points pour divers raisons (vérifications de documents, questions additionnelles…);
Soit tu n’as pas les points il y a alors refus ou demande de documents complémentaires/supplémentaires !

Après obtention du CSQ (certificat de sélection du Québec), tu dois faire une demande fédérale pour le visa RP
http://www.cic.gc.ca...nde-trousse.asp

Si tu peux et si pas encore fait, fait un voyage de prospection (ça rapporte des points) - elle te permettra de te familiarisé avec la province du Québec et de savoir où tu aimerais t’installer. La province du Québec est francophone mais pour travailler à Montréal (dépendant de ton domaine) il vaut mieux être bilingue (français-anglais) mais il y a d’autres régions qui ne requièrent pas la maitrise de l'anglais (faire de recherches).
http://www.bonjourqu...fr/accueil.html

Sinon il y des séances information sur l'immigration au Québec en France et en Belgique.
http://www.immigrati.../paris/seances/

Voici d'autres liens sur l’immigration :
http://www.immigrati...a/fr/index.html
http://www.canadaint...r.aspx?lang=fra
http://www.cic.gc.ca...s/index-can.asp

Vous pouvez éventuellement participer aux journées Québec ou Destination Canada pour trouver un emploi mais encore une fois cela dépendra de ton domaine de formation ou expérience pro.
http://www.journeesquebec.gouv.qc.ca/
http://www.destinati...eil.php?lang=fr

Attention, il faut s’inscrire à l’avance et se faire sélectionner pour pouvoir participer à ces évènements (qui se déroulent en France) !

Voilà bonne lecture et surtout bonne chance!

La communauté se mobilise pour aider la famille du chauffeur. La compagnie Taxi Diamond va ramasser des fonds pour aider la famille.

Pour faire des dons sur le site de la compagnie de Taxi, à gauche en haut, le bouton DONS famille Bouzid : http://www.taxidiamond.com/fr/index.html

ou encore : https://www.facebook.com/TaxiDiamondMtl?ref=stream&hc_location=stream

http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/faitsdivers/archives/2013/11/20131123-120211.html?utm_source=twitterfeed&utm_medium=twitter

La communauté se mobilise pour aider la famille du chauffeur. La compagnie Taxi Diamond va ramasser des fonds pour aider la famille.

Pour faire des dons sur le site de la compagnie de Taxi, à gauche en haut, le bouton DONS famille Bouzid : http://www.taxidiamond.com/fr/index.html

ou encore : https://www.facebook.com/TaxiDiamondMtl?ref=stream&hc_location=stream

http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/faitsdivers/archives/2013/11/20131123-120211.html?utm_source=twitterfeed&utm_medium=twitter

Bonjour, Bonsoir à tous !!!

Moi c'est Mad ; ma femme, c'est Joh.
32 et 34 ans.

Nos animaux : Guizmo (maow) , Ilo (maow) et Tara (ouaf) !

Nous sommes en mode recherche d'infos pour notre projet d'immigration au Canada.

Pourquoi ? On a besoin de nature, besoin de changer d'air, envie d'un nouveau départ pour nous et nos bestioles poilues.
Et pourquoi pas ? On a pas d'attaches en France, on a des sioux en réserve et pas mal de volonté en stock.

On tâtonne !

On ne sait pas encore si ce sera Montréal ou Québec.

Mais on est bien contentes d'avoir trouver ce forum !

Bref, Coucou c'est nous !

Infographies : quels sont les pays les plus accueillants ?
DESTINATIONS | ISLANDE | ETUDE | Le 20 novembre 2013 à 16h 57

Les Islandais seraient la population la plus accueillante avec les visiteurs étrangers.

Daprès le World Economic Forum, lIslande, la Nouvelle Zélande et la Maroc seraient les pays les plus accueillants.

Le dernier rapport du World Economic Forum (WEF) sur la compétitivité des destinations dans le tourisme, soit près de 500 pages de données et danalyses, dresse un tableau pertinent des différents facteurs positifs et négatifs pour attirer les touristes. Ce rapport présente notamment un classement de 140 destinations portant sur 80 critères.

Le Wall Street Journal a réalisé une infographie en se basant sur lun de ses critères : lattitude des populations envers les visiteurs étrangers. Daprès cette carte, lIslande, la Nouvelle Zélande et le Maroc seraient les pays les plus accueillants. En revanche, la Bolivie serait le pays le moins accueillant suivi du Venezuela et de la Russie. La France est en 80ème position sur 140 pays.


source : http://www.lechotouristique.com/article/infographies-quels-sont-les-pays-les-plus-accueillants,59420#xtor=EPR-2

Bonjour,

ça y est cela fait 10 jours que je suis installé à Vancouver avec mes 2 enfants; madame nous rejoindra un peu plus tard.


Cela fait presque 7 ans que je suis inscrit sur ce forum, donc cette nouvelle étape se concrétise enfin. Merci à tous pour m'avoir donner les différents conseils pour aider à la mise en oeuvre de ce grand projet.

J'ai écrit un blog pour raconter cette installation ; liferebootspirit.com

A bientôt

L'état de santé des immigrants décline après leur arrivée
LUNDI, 18 NOVEMBRE 2013 10:00 JOURNAL FORUM

Les études de la chercheuse Maria Victoria Zunzunegui mettent en relief limportance dinstaurer des programmes pour favoriser lintégration professionnelle et sociale des immigrants. (Photo: iStockphoto)
Les études de la chercheuse Maria Victoria Zunzunegui mettent en relief limportance dinstaurer des programmes pour favoriser lintégration professionnelle et sociale des immigrants. (Photo: iStockphoto)
Les immigrants sont en meilleure santé que les Canadiens au moment de leur arrivée au pays, mais leur santé périclite rapidement après quelques années au Canada.
Intriguée par ce fait, Maria Victoria Zunzunegui, professeure au Département de médecine sociale et préventive de l'Université de Montréal, a voulu examiner les liens entre pauvreté et santé des immigrants. En collaboration avec des chercheuses du Centre de recherche du CHU Sainte-Justine et de l'Institut de recherche en santé publique de l'UdeM, elle s'est notamment intéressée aux enfants nés au Québec de familles immigrantes.

«La littérature scientifique indique que l'insuffisance des revenus a un effet considérable sur l'état de santé des immigrants, souligne la professeure Zunzunegui. Notre analyse démontre que les enfants issus de familles immigrantes sont en meilleure santé que ceux des familles québécoises lorsque les conditions sont favorables. Par contre, en l'absence de soutien social et de revenus adéquats, la santé de ces enfants est bien en deçà de celle des jeunes Québécois.»

Dans ses travaux, Mme Zunzunegui a recouru à des données de l'ELDEQ, une étude longitudinale sur les enfants nés au Québec en 1998 et pour lesquels il était possible de brosser un tableau de leur état de santé.

«L'objectif de notre étude était de voir s'il y avait une relation entre le manque de soutien social et la pauvreté et la santé des enfants nés au Québec de parents immigrants. Cela est d'autant plus pertinent qu'on sait qu'un enfant sur quatre né dans la région métropolitaine de Montréal en 2006 avait au moins un parent immigrant.»

La pauvreté influe sur la santé

Maria Victoria Zunzunegui
Maria Victoria Zunzunegui
La cohorte utilisée par Maria Victoria Zunzunegui était composée de 1990 enfants. Tous ont été classés selon le statut d'immigration de la mère. La perception de leur état de santé et du soutien social des mères a été évaluée alors que les jeunes étaient âgés d'un an et demi. La situation économique des familles immigrantes et québécoises a pour sa part été mesurée à deux reprises, soit lorsque les enfants avaient 5 mois et 18 mois.

L'analyse des données montre un lien significatif entre l'insuffisance des revenus et l'état de santé des enfants immigrés de deuxième génération. La chose est loin d'être anodine. Près de 80 % des enfants appartenant à des familles d'immigrants (soit quatre enfants sur cinq) vivaient sous le seuil de la pauvreté. Par comparaison, 20 % des enfants de familles québécoises étaient pauvres (un enfant sur cinq).

Par ailleurs, la situation économique des immigrants s'améliore peu avec le temps. Alors que les revenus étaient insuffisants chez 16 % des familles québécoises quand leurs enfants étaient tout jeunes, plus de 53 % des familles d'immigrants connaissaient de grandes difficultés financières au cours de cette même période.

Ces résultats publiés en 2011 dans la revue Ethnicity & Health avec l'étudiante Andraea Van Hulst comme première auteure corroborent les conclusions d'études étrangères ainsi que celles menées antérieurement par la professeure Zunzunegui auprès de la population immigrante du Québec (voir l'encadré «Les immigrantes sont plus à risque de faire une dépression prénatale»).

«Les emplois précaires, le chômage, l'insuffisance des revenus ainsi que le manque de soutien social et la discrimination ont des conséquences néfastes sur la santé mentale et physique des immigrants de même que sur celle de leurs enfants», indique la chercheuse.

Soutien social et aide à l'intégration

D'origine espagnole, Maria Victoria Zunzunegui a immigré au Québec en 1999, à l'âge de 48 ans. Si elle est parvenue sans difficulté à trouver du travail dans son domaine, la majorité des immigrants ne sont pas aussi chanceux. «Choisis pour leurs compétences professionnelles, ils peinent, une fois installés dans la province, à trouver un boulot correspondant à leurs champs d'intérêt et à leur niveau de scolarité», affirme Mme Zunzunegui.

À son avis, la difficulté pour les immigrants de faire reconnaitre leurs diplômes n'est pas étrangère à la détérioration de leur santé.

Les connaissances acquises par la chercheuse et son expérience personnelle l'amènent à réitérer l'importance de mettre en place des programmes pour favoriser le soutien social et améliorer l'intégration des immigrants. «À cause des problèmes de pauvreté et d'intégration, on est en train de créer une sous-classe de résidants qui se compose d'immigrants, dit-elle. Il faut réagir avant que cela divise le Québec.»

Dominique Nancy

source : http://www.nouvelles.umontreal.ca/recherche/sciences-sociales-psychologie/20131118-letat-de-sante-des-immigrants-decline-apres-leur-arrivee.html

Bienvenue parmi nous. Relaxez ça s'en vient

Vivre et travailler dans le Vieux-Montréal
3 OCTOBRE 2013
par ANNE-SOPHIE CARPENTIER

Vivre et travailler dans le Vieux-Montréal
Marie-Aude Ardizzon, résidente du Vieux-Montréal, au sympathique Bar à Beurre.
Photo : Anne-Sophie Carpentier

Dans le Vieux-Montréal, les pièges à touristes sont légion. Dégourdie et gourmande, Marie-Aude Ardizzon y va dessais et derreurs depuis quelle a emménagé dans le quartier, il y a trois ans et demi. Cette résidente nous partage ses meilleures adresses pour se tenir loin des attrape-nigauds.

Pas besoin dêtre millionnaire, sauf que

Assise au comptoir du Bar à Beurre (350, rue Notre-Dame Est, Montréal, Québec, 514 875-0707, barabeurre.com), une charmante boulangerie située à deux pas de son appartement, Marie-Aude Adizzon, coordonnatrice de production en télévision, met demblée les choses au clair. «Je ne corresponds pas au prototype du richissime homme daffaires, du banquier et des vedettes qui habitent le Vieux-Montréal et qui font plus de 150 000$ par année.» De plus, elle habite limmeuble rénové du père de son copain, acheté il y a 25 ans en piètre état.

Avantages et désagréments

Pour cette jeune pigiste qui ne possède pas de voiture, la proximité de tout est un des plus grands avantages du Vieux-Montréal. «Le transport en commun est parfait. Je suis au centre-ville en 10 minutes», explique-t-elle.

«Jai un maudit bel appartement avec du cachet, mais il y a des désagréments», estime Marie-Aude Adizzon. Elle confirme la rumeur: «Il ny a pas dépicerie et presque rien qui est à « distance pyjama » pour aller chercher du jus dorange le dimanche matin.» Faire les courses nécessite donc beaucoup de planification.

Pour en finir avec les carottes congelées

La jeune femme ne mâche pas ses mots. «Cest super dangereux de se faire avoir par les attrape-touristes. En fait, aller dans le Vieux-Montréal, cest comme aller à un mariage. On va te proposer un menu cinq services qui va goûter les carottes congelées, souvent pour quatre fois le prix!» lance-t-elle en riant. «Tout dans le quartier est très cher. Il faut vraiment connaître des petits endroits et les exploiter, parce quil ny en a pas beaucoup.»


Le carnet dadresses de Marie-Aude :

Bar à Beurre (350, rue Notre-Dame Est, Montréal, 514 875-0707, barabeurre.com)
Petit café, boulangerie et pâtisserie dont la spécialité est les boules au beurre, des biscuits tendres fourrés à la crème pâtissière.

Le Dunbar (350, rue Saint-Paul Est, Montréal, 514 318-9518)
Pub de quartier. «On mange bien et les options du menu sont assez raffinées. Ils ont une super sélection de scotches.»

Le gros jambon (286, rue Notre-Dame Ouest, Montréal, 514 508-3872, legrosjambon.com)
«Cest lendroit préféré de mon copain pour le brunch. Cest un dinner qui réinvente les déjeuners traditionnels en y ajoutant une touche originale. Cest gras, cest lourd, mais cest très bon.»

Le Communion (135, rue de la Commune Ouest, Montréal, 514 937-6555, restaurantcommunion.com)
«Cest mon restaurant préféré pour le brunch le week-end. Il y a quatre choix de plats à partager. On mange à sa faim et les goûts sont recherchés. Et les mimosas, je ne sais ce quils mettent dedans, mais ils ne sont pas comme ailleurs! Ils sont vraiment bons!»

Zone orange (410, rue Saint-Pierre, Montréal, 514 510-5809)
Boutique idéale selon Marie-Aude pour trouver des cadeaux design. «Une boutique pas faite pour les touristes. On sait quon va trouver quelque chose dintéressant, que cest fait au Québec et que ça ne va pas coûter les yeux de la tête.»

source : http://voir.ca/voir-la-vie/art-de-vivre/2013/10/03/vivretravailler-dans-le-vieux-montreal/

Nous avons apprécié votre questionnement, nous venons de le mettre en page d'accueil.

Bonne suite !

Bonjour à tous,

Arrivée à Montréal depuis 2 ans et demi environ, je trouve que mes relations avec mes amis ou ma famille restés en France commence à se détériorer sérieusement.
A part avec ma mère qui nous visite 2 fois par an, j'ai l'impression qu'un fossé de plus en plus large s’immisce entre eux et nous.
Avez-vous cette même impression?
Nous partageons de moins en moins les mêmes idées, on en arrive parfois à être en total désaccord. C'est impressionnant.
Comme si le fait de vivre ailleurs dans une autre culture, un autre pays nous faisait voir les choses différemment à l'encontre de notre pays de naissance.
Où est-ce les médias Français qui lobotomise tellement les Français qu'ils ne se rendent plus vraiment compte de la réalité?

En tout cas je sais pas, mais je me rends compte que doucement, je m'éloigne des gens que j'aime et qui m'étaient chers car nous ne partageons plus du tout les mêmes idées...on ne se comprends plus vraiment.


Ça me fait d'autant plus peur que je suis en provisoire ici avec une épée de Damoclès au dessus de la tête. J'espère ne jamais devoir rentrer en France mais si ça arrivait, quel choc pour le coup.
Retrouver des gens avec qui je m'entends moins ou plus du tout, se retrouver étrangère dans son propre pays...

Je voudrais savoir si vous aussi vous vivez ou ressentez ça.

Les banques se paient la traite
Publié le 10 septembre 2013 à 11h16 | Mis à jour à 11h16

STÉPHANIE GRAMMOND
La Presse

Question : Je ne comprends pas pourquoi les banques prélèvent encore des frais aussi fous pour un virement électronique ou une traite bancaire en devises étrangères.

Ne sommes-nous pas à l'ère de l'information numérique ? Les financiers peuvent transférer des milliards à l'autre bout de la Terre en une microseconde, simplement en appuyant sur une touche de leur ordinateur. Mais bonne chance pour le commun des mortels qui veut envoyer ou recevoir de l'argent de l'étranger pour réserver une maison, régler l'achat d'un produit, aider un proche. Les frais sont très salés.

***

Voici un beau cas. Comme tant d'autres Français installés au Québec, Françoise va perdre un petit bout de sa rente de retraite dans l'Atlantique.

L'organisme français qui lui verse sa rente tous les mois a modifié son mode de paiement cet été. Désormais, l'argent lui sera envoyé par virement électronique directement dans son compte bancaire à la Banque de Montréal, alors que jusqu'ici, elle recevait un chèque.

La nouvelle procédure sera peut-être plus simple. Mais Françoise n'est pas contente du tout, car la banque impose des frais de 14 $ pour la réception de chaque virement bancaire. Alors, il lui en coûtera 170 $ par année juste pour toucher son dû. Cela grugera presque 3 % de sa rente.

« Il n'y a pas moyen de discuter, déplore Françoise. Nous sommes prisonniers des banques. » En effet, la plupart des institutions financières exigent des frais de 14 ou 15 $ pour recevoir un virement bancaire. L'envoi est encore plus cher : les banques demandent facilement 25 $, souvent davantage quand la somme est élevée.

Quant aux traites bancaires en devises étrangères, il faut généralement compter 7,50 $. Mais l'opération est moins rapide.

La meilleure solution pour Françoise serait d'ouvrir un compte bancaire en France dans lequel serait déposée sa rente. Pour récupérer son argent, elle pourrait ensuite faire des virements électroniques à quelques reprises durant l'année plutôt qu'à tous les mois. Cela minimiserait les frais. Sinon, elle pourrait utiliser une carte de crédit pour utiliser l'argent déposé dans son compte en France.

***

Mais y a-t-il d'autres possibilités pour envoyer ou recevoir de l'argent virtuel ? Oui !

Disons que vous devez rembourser une dette à un ami éloigné, organiser une collecte de fonds pour un cadeau commun ou envoyer de l'argent à votre enfant qui étudie à l'extérieur de la maison.

Le virement Interac est une bonne option. La plupart des grandes banques canadiennes offrent le service. Pour envoyer de l'argent, il faut d'abord s'inscrire au service sur le site web de votre institution financière. Ensuite, il suffit de connaître l'adresse courriel ou le numéro de téléphone mobile de la personne à qui vous souhaitez envoyer des sous. Pas besoin d'obtenir ses données bancaires.

Le récepteur aura accès aux fonds en répondant à une question de sécurité que vous aurez composée. Il pourra déposer l'argent dans son compte en cliquant sur le lien dans le message texte ou le courriel. Mais rassurez-vous, l'argent ne transite pas par courriel ou par texto. Le message sert uniquement à informer le destinataire du transfert et à lui indiquer comment accéder aux fonds.

Et le coût ? Seulement 1,50 $ pour expédier, gratuit pour recevoir. De la grosse concurrence pour votre bon vieux carnet de chèques !

Malheureusement, le virement Interac fonctionne seulement au Canada.

Toutefois, la Banque de Montréal et la Banque Scotia ont mis sur pied un service, en collaboration avec Western Union, qui permet de virer des fonds à l'étranger par internet et par téléphone mobile. Mais il faut compter 9 $ de frais plus 1 % de la somme transférée... sans compter les bénéfices que Western Union réalise au moment de la conversion des devises.

***

Les internautes ont plutôt avantage à utiliser PayPal qui permet de transférer de l'argent à des amis par internet ou par téléphone mobile, partout dans le monde.

Les transferts au Canada sont gratuits si vous payez à partir de votre solde PayPal ou de votre compte de banque. Une belle option.

Mais si l'argent vient de votre carte de crédit, PayPal exige 2,9 % de la somme transférée plus 30 cents par transaction. Un transfert de 1000 $ revient donc à 29,30 $. Ça coûterait peut-être moins cher d'essence d'aller porter l'argent vous-même à votre copain !

Pour les virements à l'étranger, PayPal prend une commission de 0,5 à 2 % de la somme, si l'argent vient de votre solde. Par exemple, les frais sont de 5 $ pour envoyer 1000 $ en France ou de 10 $ aux États-Unis. Pas trop mal.

Mais si vous payez par carte de crédit, la commission grimpe à 39,30 $. Dans certains pays, elle peut atteindre 7,4 % de la somme. Alors, vérifiez bien avant de cliquer.

Chose certaine, il faut éviter de courir dans une pharmacie, un bureau de poste ou un bureau de poste où les sociétés de transfert d'argent comme WesternUnion ou MoneyGram ont un comptoir.

Le transfert sera rapide, mais très coûteux. Pour envoyer 1000 $ en France, par exemple, vous devrez payer 50 $ de frais. Mais le destinataire obtiendra seulement 696 euros, soit 23 euros de moins que si l'on utilise le taux officiel pour la conversion des devises. La société a donc prélevé 3 % de frais de change.

Au total, vous aurez perdu 8 % de votre argent dans le transfert, soit 80 $ de frais. Aïe !

source : http://affaires.lapresse.ca/opinions/chroniques/stephanie-grammond/201309/10/01-4687881-les-banques-se-paient-la-traite.php

Slt a tous! je voudrais partager avec vous le dérouler de mon entrevue. Bah, je suis arrivé à Accra à 12h50 GMT après 07heures de route, fatigué par le trajet,la corruption et la cupidité aux frontieres du Togo et de Ghana! (Libre circulation des personnes et des biens dans l'UEMOA! lol..). jJ'ai logé chez un ami dans la zone du flagstaff house.
Le jour J,jme suis présenté à l'ambassade très stressé. Après les formalités d'usage on m'a fait m'asseoir.Ensuite on m'a appelé, j'étais le premier à passer. Voici le dérouler de l'entretien Agent (A) et Moi(M)

A: Bonjour Monsieur
M : Bonjour ...
A : asseyez-vous
M: Merci
A: Je suis .... et je suis chargé de tester votre niveau de langues,votre motivation et l'originalité des documents fournis.Ensuite je deciderai soit de vous accepter ou de vous refuser le CSQ en donnant les raisons.
M : Ok
A: Pour aller vite, vous aller me donner votre passport , et preparer les diplomes et relevés de notes
M: Je les lui donne
A : Vous travaillez en tant que quoi dans l'entreprise?
M: je lui reponds
A: vous avez fait combien d'années d'etude au total?
M: 17
A: Vous-a-t-on fait signer un document pour etre avocat au Quebec? ( j'ai une maitrise en droit)
M : Non
A : Pourquoi avez-vous mené de front 2 formations universitires?
M : Par souci de polyvalence
A: Excellent; Que ferez-vous pour trouver du travail?
M: sites web,CLE,Réseautage et je lui montre les offres obtenues sur jobboom,jobs de montreal,monster.
A : Excellent; Do you speak english?
M : Of course, I can speak and understand in some degree
A: What did you do yesterday?
M: I came Accra by car, It was tiresome but the most important...
A : Excellent, votre accent est bon et vous avez un bon flot je vous donne 1pt supplementaire (je souris)
A : Qu'est ce qui vous frappe dans les valeurs communes du Quebec?
M : La necessité de parler français (c'est ce qu'il voulait entendre!)
A : Excellent, parsqu'on est entouré de clients anglophones à ne pas négliger
A : Aprè on a commencé a rigoler comme de vieux potes (c'était insolite) on a parlé de Mai 1968 et de l'actualité quebequoise, du hockey(je n'y connais rien), il ma donné des conseils et tout a coup il dit Bienvenue au Quebec! (c'était divin!)
M : Merci Monsieur, j'ai presque envie de vous inviter a prendre une bière
A : On le prendra à Montreal en pouffant de rire!
A : Il ma conseillé de prendre une assurance-maladie dans mon pays avant de partir les 3 premiers mois (délai de carence); ensuite il m'explique ce qu'il faut faire pour la suite, les délais sont tours longs m'a -t-il confié
M : J'ai pris mes affaires et je suis sorti de son bureau heureux et fier!
Voila le dérouler; Ce n'est pas une formalité meme si le mien s'est très très bien passé! Il faut impressionner!