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emma1068

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Messages posté(e)s par emma1068

  1. Je ne sais pas trop comment cela fonctionne au Québec, mais pour nous,  en Ontario, les jeunes sont obligés de faire des heures de volontariat pour obtenir leur diplôme. Le volontariat permet aussi aux jeunes de s'épanouir, de se faire des amis à l'extérieur de l'école ou même dans le cadre de l'école.

  2. Chacun fait ce qu'il veut sauf que vos opportunités sont peut-être meilleures à Ottawa, y compris pour les minorités visibles. Ils ont un besoin criant de personnes bilingues et si vous avez été choisie par l'entrée express, c'est que votre dossier était probablement très bon et vos chances sont bonnes de trouver un travail. Donnez-vous une chance! J'ai déménagé à Ottawa et je n'ai jamais regretté mon choix. 

  3. Je suis d'accord avec ce qui est mentionné ci-dessus. Vous devez aller vous installer dans l'Est, Orléans. Plus vous allez à l'Est, plus c'est francophone. Cumberland par exemple, c'est assez joli. Il y a des villages plus lointains comme Limoges (où se trouve le parc aquatique). Pour les logements, il vous faudra trouver un logement temporaire au début, je pense que vos chances sont plus vers Orléans. Beaucoup de fonctionnaires louent pour deux ou trois ans, donc, à une certaine époque, il y avait pas mal de locations, justement pour ce type de personnes. Aujourd'hui, je n'en sais rien.  Vous pouvez commencer à développer votre anglais, bien que je crois que le gouvernement offre des cours d'anglais aux nouveaux arrivants. Contactez aussi les associations qui s'occupent d'immigration. 

  4. La première chose est de savoir où vous allez travailler, si c'est en centre ville ou ailleurs. Par exemple, si vous travaillez en dehors du centre-ville, mieux vaut prendre un logement proche ou du moins bien desservi par les transports. Barrhaven est un quartier moderne et il y a des écoles franco, vraiment difficilement accessible sans voiture, bien qu'il y ait des transports en commun. J'ai découvert ce quartier récemment et il est en chantier à certains endroits. Il y a également Nepean où on trouve de tout, un bon compromis avec le centre ville. Déjà, quand vous arrivez, si vous avez un contrat, ce sera plus facile. Il y a aussi des entreprises comme Minto qui proposent des logements à louer. Pas toujours génial, mais souvent c'est pour un an, par contre, après un an minimum, comme pour beaucoup de logements. Kanata est éloigné également. Vous allez trouver la ville agréable. En plus, elle n'a rien à y voir par rapport à il y a dix ans...

  5. Il y a un certain nombre d'Ontariens qui ont des chalets au Québec, donc ça traverse beaucoup. Ca traverse habituellement d'un côté comme de l'autre en temps normal pour obtenir des services, en sachant que la réparation d'une voiture coûte 20 % moins cher au Québec pour un très bon travail. Je suppose que pour d'autres services, ça doit être pareil. Pour se procurer des biens entre Gatineau et Ottawa, les uns et les autres traversent, y compris pour aller au cinéma et au resto en temps normal et c'est pas plus mal sauf en cas de pandémie (en espérant que ça ne va pas durer). Le nombre de contaminés par la Covid est très important à Toronto et sa banlieue et à Ottawa, d'un quartier à l'autre, ca peut être 10 fois à 15 fois plus d'un quartier à l'autre. 

  6. Je ne sais pas comment ça fonctionne en 12e année (mon fils est en 10e), mais je pense que les  conseillers d'orientation des écoles, surtout à Ottawa, ou les conseils scolaires sont probablement au courant de la manière dont vous pouvez postuler, surtout si vous êtes en attente de RP. Si jamais votre fils devait postuler en tant qu'étudiant international, il pourrait aussi bénéficier d'exonérations à l'Université d'Ottawa par exemple (https://www.uottawa.ca/droits-universitaires/exoneration-partielle-des-droits-de-scolarite). Le permis d'étudiant prendrait le relai probablement du permis du secondaire. Les conseils francophones sont des milieux multiculturels et ils ont forcément des étudiants de différents statuts dans leur école. Parfois, se rendre en personne au conseil scolaire peut débloquer des situations et permettre d'avoir des renseignements plus précis qu'au téléphone. Je pense qu'un rendez-vous à la Cité collégiale est un bon début... et pourquoi pas au Cegep de l'Outaouais. En vous inscrivant également dans une université du Québec en 1er cycle, en tant que Français, vous payez je crois le même prix que les étudiants ontariens qui étudient au Québec (si je ne me trompe pas), même avec un statut d'étudiant international. En général, vous serez bien accueillie un peu partout. J'ai dû magasiner également il y a deux ans pour autre chose et ça n'a pas été une mince affaire. 

     

     

  7. Vous vous êtes renseignés directement auprès des universités ou des collèges? Il se pourrait bien qu'en tant que Francophone (à l'Université d'Ottawa) par exemple, il puisse bénéficier d'une bourse en tant que Francophone. Ils attribuent des bourses (lu dans un journal) aux étudiants franco, y compris les étudiants internationaux. Essayez autrement les collèges (de la Cité...) . Je sais aussi que des étudiants en 12e année et d'écoles secondaires peuvent aller suivre des cours à l'uni (en anglais la plupart du temps) en été par exemple à des coûts pas très élevés. Je crois que la meilleure façon est d'aborder les universités/collèges directement, surtout les collèges ou universités francophones ou avec un département francophone. En plus, ils sont privés d'étudiants étrangers en ce moment... Allez directement rencontrer les chefs de département des unis qui vous intéressent, les associations d'étudiants francophones ou allez rencontrer les représentants des groupes franco-ontariens...  L'option 2 est de passer par un CEGEP québécois (ils accueillent aussi les étudiants internationaux). Ils donnent une équivalence au niveau de la 11e année (enfin j'ai vu ça pour le CEGEP de Gatineau). Il ne perdra jamais son temps. 

    Sinon, consultez un avocat pour connaître réellement vos droits. Les contacts directs sont la meilleure solution. 

     

    En passant josee19963, c'est du n'importe quoi!

  8.  Bonjour,

     

    J'ai lu votre message. J'habite à Ottawa depuis 9 ans, dans l'Ouest. Nous sommes chanceux parce qu'Ottawa offre plein de possibilités en temps normal : musées gratuits le jeudi soir pour certains, de 16 h à 17 h tous les jours pour d'autres, les espaces verts (et plages gratuites), les sentiers de randonnées et la ceinture verte si vous avez une voiture. Sinon, vous avez également les parcs provinciaux ontariens à une heure ou deux d'Ottawa et autres réserves fauniques, dont certains sont des merveilles. Il y a aussi des tas d'activités pour les jeunes ou les enfants peu coûteuses tout au long de l'année. On est aussi veinards parce que le Québec de l'autre côté est magnifique et rien de vous empêche de faire des activités de l'autre côté également. Pour ce qui est de la nourriture, il est vrai qu'il faut faire pas mal de magasins pour trouver des fruits et légumes de bonne qualité et à prix correct. Par rapport au Québec (où on a vécu 6 ans et 7 ans pour mon mari), je ne pense pas que ce soit pire. Le système de santé est relativement de bonne qualité. Quant à l'école,  j'ai apprécié le choix du mode d'éducation : écoles francos, ou anglos ou école maison... Mon fils est content de son école secondaire, mais nous savons que nous avons le choix (toutes les écoles secondaires francophones sont accessibles peu importe où vous habitez à Ottawa, il n'y a pas de secteur). Pour les grands, un complément Cned en français notamment est utile. Pour le travail, il faudra un peu de patience ou reprendre quasiment des études d'un an au moins si vous avez déjà un premier cycle universitaire. Je ne connais pas votre spécialité, mais une astuce serait de vous renseigner côté Québec par exemple : il existe le CEGEP qui n'est pas si coûteux que ça ou un deuxième cycle universitaire à l'université à Gatineau. Les Français paient le même prix que les Québécois pour les deuxièmes cycles et plus. Il existe aussi les collèges en langue française à Ottawa comme le collège de la cité. Ca coûte environ 2000 dollars par trimestre. Les uni et collèges au Canada offrent des cours du soir/en ligne et encore plus pendant cette période. Vous pourriez aussi bénéficier, en tant que francophone et résidente permanente, de bourses à l'université d'Ottawa. Je ne connais pas bien encore bien le système de formation ontarien. Le fait d'avoir 39 ans ne devrait pas vous empêcher de reprendre des études. Sinon, il existe des cours en ligne donnés par l'Université Laurentienne. J'ai une amie qui a suivi ces cours (avec un centre d'examen à Ottawa je crois). J'ai repris mes études à 37 ans au Québec (avec un bébé de 18 mois à l'époque). Tous ceux qui ont repris des études au Canada l'ont rarement regretté. Il y a des tas de gens ayant la quarantaine...

  9. D'après ce que j'ai lu, il vaudrait mieux partir si c'est uniquement parce que vous vous sentez mal et que vos études ne vous plaisent pas. Par contre, si c'est en raison d'une pression quelconque d'un amoureux. Je trouve cela très dommage. Si on aime quelqu'un, on respecte ses choix et pourquoi ne peut-il pas envisager de vous rejoindre pendant des vacances ou d'essayer d'obtenir un visa vacances travail? Pendant mes années d'expatriation avant le Canada, j'ai rencontré maintes Françaises qui après avoir suivi leur copain (et renoncé à beaucoup de choses) se retrouvaient comment dire dans une situation peu enviable. Je sais que je n'aurais jamais suivi personne ni renoncé à quoi que ce soit si j'avais eu des projets, à court terme notamment. C'est également un peu la mentalité française qui fait que seule la femme se sacrifie, mais je pensais que cela ne se faisait plus tellement chez la jeune génération (cette mentalité je ne la supportais plus). Pensez à vous AVANT. Vous devriez commencer vos études et ensuite attendre un peu. Vous risquez de changer d'avis. 

    Si votre avenir est compromis, c'est dommage. C'est aussi dommage si vos parents ont fait des sacrifices pour vous payer ces études. 

  10. C'est vrai que la situation est difficile et qu'on ne va pas régler le problème d'un coup de baguette magique. Déjà, votre présence va-t-elle changer réellement quelque chose à la situation familiale en France? Certaines familles font un espèce de chantage affectif. J'ai eu cela de la part d'une tante récemment, de ne pas m'occuper assez de mes parents... sauf que mes parents ne m'ont jamais rien reproché (au contraire, mon père dit à tout le monde, qu'on a fait un excellent choix de partir au Canada). 

    Les conseilleurs n'étant pas les payeurs, mais c'est un peu trop facile de culpabiliser les femmes (surtout en France, c'est particulièrement vrai) de ne pas faire ceci ou cela. Si vous avez d'autres membres de la famille qui peuvent se secouer, alors n'hésitez pas à le leur demander. Comme l'histoire du gars en Algérie qui a tout perdu, pensez à vous. Il est difficile de vous donner un avis étant donné qu'on ne connaît pas la teneur du problème familial. 

  11. Encore un débat stérile qui ne mène à rien. On rabaisse une province pour en remonter une autre. Pour les uns, le match, c'est je rabaisse l'Ontario pour valoriser le Québec ou je rabaisse le Québec pour valoriser l'Ontario.  On aborde ici la région de Limoges en Ontario; je connais un tas de Québécois qui s'y sont installés. L'histoire du plombier, il se pourrait bien que le gars se fasse plus d'argent en Ontario qu'au Québec ou que l'administration fiscale soit moins pénible d'un côté que de l'autre par exemple. Pour faire des réparations sur les voitures, franchement, nous, on va au Québec, c'est nettement moins cher qu'en Ontario et le gars fait du bon travail. Ca peut être moins cher en Ontario pour plein de choses. D'ailleurs si vous croyez que les gens de la région ne passent pas d'un côté comme de l'autre. Je connais plein de Québécois de Gatineau dont les enfants étudient à Ottawa... La fermeture d'esprit, ça existe partout et c'est à vous de ne pas fréquenter ces gens-là. J'ai toujours trouvé qu'à Gatineau les gens étaient nettement plus chaleureux qu'à Montréal. Ma famille et moi avons des activités des deux côtés, si des gens sont désagréables, on passe notre chemin. Notre chance dans cette région, c'est qu'on profite du meilleur des deux provinces. 

  12. C'est souvent qu'Air Transat n'est pas intéressant, surtout hors-saison. La dernière fois que je l'ai pris, c'était il y a trois ans et malheureusement, on est serrés comme des sardines... En plus, lors de ma dernière expérience, des gens s'énervaient ne serait-ce que parce qu'un bébé pleurait ou qu'un enfant bougeait. Bon, c'était pour un retour de Paris. Je préfère de loin toute autre compagnie; je trouve qu'on est moins serrés; Quand on habite une autre ville que Montréal (ou Toronto), en plus, si la famille n'habite pas Paris, il faut ensuite prendre des transports. Les aéroports de province comme Lyon sont quand même plus agréables. En saison, la compagnie Air Transat dessert les grandes villes de province, mais la famille s'est souvent sentie mal... trop serrée...

     

  13. Tout à fait d'accord. Comme je le disais, il existe des internats publics, pas forcément cher; il existe des sites spécialisés. Ca ne coûte rien de se renseigner. En outre, ce jeune ado est Français; vous n'êtes pas partis depuis si longtemps. Ce n'est pas le seul quand même. Les bourses sont-elles possibles? Par contre, il faudra trouver des solutions pour les vacances. Bref, avant de dire que c'est cher et impossible, il faut se renseigner!

  14. Pour avoir atterri à Londres, Berlin, souvent Munich ou Francfort ou encore Rome, le passeport français évite souvent de faire la queue (en France à Paris, je n'en sais rien); on peut passer par des portes automatiques (Munich ou Francfort), sauf avec un enfant mineure. En général si le pays est bien organisé la file Shenghen va plus vite. Je voyage avec les deux passeports depuis bientôt 10 ans, du moins sur l'Europe. 

  15. Il existe en France des internats publics /privés sous contrat pour les expatriés ou non; il pourrait revenir pendant les vacances (ou pas), ça risque de vous coûter cher, mais n'hésitez pas à vous renseigner!

    Après, le problème, c'est la résidence permanente. La rupture brutale du cursus a peut-être été également un problème (en plus des amis). Si vous pouvez envisager les cours par correspondance éventuellement...

  16. Déjà votre enfant a 2 ans. Renseignez-vous pour Ottawa au Conseil scolaire francophone public : http://www.cepeo.on.ca/?page_id=1858 et éventuellement le conseil scolaire catho. Vous devriez leur demander à quel âge vous pouvez scolariser votre enfant en pré-scolaire, c'est souvent 4 ans, mais ça peut être moins. https://www.ecolecatholique.ca/fr/Petite-Enfance_12 pour le conseil scolaire catholique. Pour Toronto, trouvez les conseils scolaires, c'est eux qui pourront vous renseigner pour le volet scolarisation des enfants et vous pouvez avoir des surprises.

  17. Je connais assez mal le secteur de l'aéronautique (mon mari a travaillé dans ce domaine). Je trouve normal qu'ils n'embauchent pas à l'étranger étant donné qu'ils ne sont pas certains qu'ils peuvent compter sur la main-d'oeuvre étrangère. Je pense que tant que vous ne serez pas sur place, ce sera difficile. Oui, il y a l'adhésion à l'Ordre des ingénieurs du Québec qui sera indispensable à termes (ingénieur junior pendant deux ans puis si vous faites vos preuves ingénieur... enfin c'était comme ça il y a une dizaine d'années). Maintenant, de nombreux postes ne nécessitent pas le titre d'ingénieur forcément et il est peut-être acceptable au début de "faire son trou" et de ne pas détenir ce type de poste. La démarche à l'Ordre des ingénieurs prenait au moins un an (il y a plus de 10 ans). Mon mari a demandé la reconnaissance un an avant notre départ. C'est marche par marche. Il est cependant excellent de prendre des contacts et de réseauter...

  18. Le 17/05/2018 à 13:12, lorelai a dit :

    Des croustilles à la cacahuète (pas les chips, hein) !

    Des twinuts !

    Des curlys !

    Des crackers Belin !

    Des KitKat Balls !!!!!

     

    De la biafine, du bepanthène... 

     

    Niveau fringues : Camaïeu, Promod, Etam... je n'arrive pas à trouver des fringues sympas ici (hormis peut-être Suzy Shier et aussi Laura, mais Laura c'est un peu cher...)

    Pour mon fils : Vert Baudet, DPAM... mais maintenant je lui achète des vêtements chez Joe Fresh, c'est pas cher et pas mal.

    Pour Laura, vous avez des magasins qui vendent les collections de l'année précédente ou lorsqu'il ne reste pas toutes les tailles à -70%. Début mars, c'est super intéressant notamment et parfois, il faut aller y jeter un coup d'oeil. Je ne sais pas si ça existe à Montréal, mais ça vaudrait le coup d'explorer la question. Sinon, j'aime bien Tanger (les magasins d'usine), je ne sais pas si ça existe également à Montréal.

  19. Il y a 5 heures, Emmie81 a dit :

    Les immigrants intégrés comprennent très vite d'où vient l'expression Maudit Français, tu dois toi même le savoir puisque tu as habité 6 ans au Canada (en dehors du Plateau, j'espère).

    "

    Moi, je ne comprends pas où vous voulez en venir? Vous voulez dire que "Maudit Français" est justifié parce que les Français ont la réputation de gruger les Canadiens? En plus, si j'ai bien compris, vous avez eu une résidence permanente en 2004, après vous avez dû rentrer en France puis vous revenez au NB où je n'ai pas compris. Vous avez déjà une sacrée bonne opinion de vos compatriotes si vous pensez que les Français grugent plus les Canadiens que les autres nationalités et sont habitués à partir sans payer. Bref, si c'est là où vous voulez en venir, ça promet pour le reste!

     

     

    Le 29/12/2017 à 09:40, Famillebretonne a dit :

     

  20. Tu exagères Jimmy à mettre tout le monde dans le même sac. Mes voisins étaient des hollandais de troisième génération au Canada immigrés après-guerre... et toujours fiers de leur ascendance. Il suffit de les côtoyer de près. Au Canada anglais, tu vas rencontrer des gens qui s'intéressent aux autres et l'inverse, comme au Québec, tu vas rencontrer des gens qui ont des idées toutes faites et l'inverse. 

  21. Le 20/04/2018 à 12:06, jimmy a dit :

     

    Oui en effet allé a Montréal est aussi traumatisant a cause des Anglos....mais au moins a Montréal il y a une histoire, une culture, un environnement culturel enrichissant....alors que l'Ontario c'est le désert culturel.....a moins que tu aimes la culture américaine bien sur....-_-

    Jimmy, si tu sors un peu, tu devrais savoir qu'à Ottawa, il y a énormément de gens originaires des Pays-Bas, européennes, hispaniques ou asiatiques, francophones... et québécoises... Les descendants d'anglos, il y en a, mais j'avoue ne pas en avoir rencontré beaucoup, ou alors mixés... C'est dommage de se priver d'autres cultures et la bouffe qui va avec...

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