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- @ Nénelle, vous êtes en processus d'immigration. Ne paniquez pas, ce sera un peu plus facile lorsque vous serez arrivés. Vous aurez accès aux centaines de chasseurs de têtes qui se feront un plaisir de vous proposer à leurs clients. À date, de tous nos amis qui sont arrivés, je n'en connais pas un qui n'ait pas trouvé de travail. Cependant, je garderai une réserve vis à vis de la personne qui conseille d'y aller au culot, et de savoir "se vendre". Cette personne est vraisemblablement dans un secteur trés en demande. Il ne faut pas oublier que les recruteurs connaissent très bien le marché mondial et savent que si vous faites la fine bouche sur les conditions d'offre d'un poste, il y en aura 10 à la porte qui l'accepteront. Pour ma part, je conseillerais ceci: quand on a la chance d'avoir une offre d'emploi dans son secteur, il vaut mieux ne pas faire le difficile et considérer cela comme un emploi "alimentaire" . Une fois arrivé sur place, on a la possibilité d'évaluer si cet emploi est bien placé dans les moyennes salariales ou en termes de conditions de travail, etc. À ce moment, on peut toujours rechercher autre chose sans stress. CGI est réputé pour ne pas garder ses ressources longtemps. Posez vous la question pourquoi . Et surtout, ne vous dépréciez pas et ne tombez pas en dépression quand on vous dit que vous ne convenez pas. Vous sentirez très bien, lorsque l'employeur vous serre la main en disant qu'il a a-do-ré cette entrevue, si c'est la vérité. Et oui, il peut être sincère. Seulement quelquefois, on finit avec 2 candidats aussi bons l'un que l'autre et aussi sympathiques l'un que l'autre. Mais .... Il faut bien faire un choix. Et même si vous êtes aigri ou déçu, il n'y a pas de mal à arriver deuxième dans le palmarès. Vous avez été en entrevue, c'est que vous êtes intéressants et que vous avez attiré l'attention. Gardez toujours cela en mémoire.
Je trouve d'ailleurs que le gouvernement fédéral maîtrise parfaitement la communication avec les candidats dans cet exercice. Mon chum a été remercié après la 4e entrevue et la DRH l'a parfaitement rassuré et réhaussé sa confiance en lui. Quand on a 2000 candidats pour 8 postes, il est sûr que le goulot est de plus en plus difficile à passer. Elle lui a chaudement recommandé de repostuler dès que possible. Ce qu'il ne manquera pas de faire dès qu'il en aura le droit. Et qui vivra verra ....
Bonjour,
ce que présente Schpill est relatif à son expérience. Il est dans l'informatique. Secteur en pénurie au niveau mondial. Si je prend le cas de l'Europe, on va manquer de 750.000 (sept cents cinquante mille!) informaticiens d'ici 2015 ( http://www.lesoir.be/223748/article/economie/2013-04-11/penurie-profils-numeriques-syndrome-d-epoque ). En Belgique, il manque aujourd'hui 10.000 (dix mille) informaticiens ( http://datanews.levif.be/ict/opinion/chroniques/une-penurie-de-50-000-informaticiens-en-2020/article-4000021656065.htm ), et 50.000 à l'horizon 2020!
Je n'ai pas les chiffres du Canada, mais la situation est la même.
Cependant, la description de Schpill de sa chasse d'emplois est à mon sens valable non seulement au Québec mais dans aussi dans le monde entier.
A titre personnel, je procède de la même façon ici en Belgique pour trouver les jobs qui m'intéresse. J'utilise mon réseau, je me renseigne et je chasse les postes et entreprises qui m'intéresse. Je n'attend pas que le boulot me tombe dans la bouche. D'autres de mes amis partis travailler à l'étranger en France, en Espagne ou au Royaume-Unis ont également procédés de cette façon pour trouver leur job. En ce sens, cette manière de faire n'est pas si étrange que cela. Je dirais qu'elle est assez universelle.
Cette manière de démarcher un employeur montre la motivation du chercheur d'emplois, sa débrouillardise et ses aptitudes sociales à contacter les gens pour obtenir ce qu'il cherche, ce qu'il veut.
Plus je lis et me renseigne sur le marché du travail Québecois (dans ce forum, le livre du fondateur de ce site et autres blogs) et plus j'analyse le marché de l'emplois des deux pays que je connais (la Belgique et la France), plus j'en arrive à la conclusion que la difficulté principale qu'éprouve les Belges et Français outre Atlantique vient de l'assistanat permanent des pouvoir publics belges et français dans la recherche d'emplois ou d'autres thématiques.
Aussi, en Belgique et en France, la mentalité suivante règne: on considéré qu'un travail est un dû et plus quelque chose qui se mérite. La logique d'assistanat prônée par nos pouvoirs publique déresponsabilise le candidat (l'individu) et crée une espèce de culture de la perfusion, de dépendance vis-à-vis d'un état protecteur et bienfaiteur.
Outre Atlantique, un travail se mérite! L'individu est maître de son destin et doit agir en fonction.
Ce clash de culture, je comprend rend les choses difficiles pour un européen recherchant un emploi en Amérique du nord.
Enfin, relativisons un peu, il est également clair que d'un secteur à l'autre, la réactivité des employeurs, des chercheurs d'emplois peut également être différente.
Cordialement,
Q
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bonjour,
je te conseille la lecture du fichier ci-joint.
C'est paru dans le quotidien gratuit métro de Montréal. ça parle très bien des personnes qui ont des diplômes.
Pour ce qui te concerne, je peux directement en parler car je suis informaticien comme toi. On a tendance à idéaliser le Québec vu d'Europe, mais qui est responsable de toute cette mascarade ?
Les médias Français et Européens qui croient naïvement que parce que des entreprises se déplacent pour recruter des personnes c'est parce qu'il y a un grand manque : c'est faux.
J'ai obtenu un permis pour faire du java, et on m'a proposé de faire du mainframe. Si tu as une certaine expérience en Europe tu risques d'être déçu par le niveau ici.
Voilà c'est dit sans haine, tant pis pour ceux que ça offusque mais personnellement je ne me complais pas dans la médiocrité.
bon vent!
Dan
Bonjour Dany,
merci pour ton document ... intéressant et quelque peu effrayant pour celui qui rêve de s'expatrier au Québec ... gloups ...
Ce qui me choque dans ce témoignage, c'est qu'il va à l'encontre de ce que j'ai pu vivre ici en Belgique en travaillant dans des contextes internationaux. J'ai bossé avec des belges, français, indiens, italiens, hollandais, argentins, espagnoles et québécois. Comme j'étais impliqué dans leur recrutement (tests techniques de leurs connaissances en IT), nous leur laissions toutes leurs chances et nous prenions en considérations leur diplômes et expérience même si elle n'avait pas été acquises en Belgique. Le jeu était vraiment ouvert!
Quand on dit que le marché du travail au Québec n'est pas comme en Europe, je ne m'attendais pas à cela!
A titre personnel, j'ai deux amis informaticiens (un dev java (7 ans xp) et un dev php (9 ans xp)) issus de la même fac que moi qui se sont établis au Québec. Selon eux, ils ont gagné en qualité de vie, en salaire net (moins d’impôts au Québec) et ils se sentent plus heureux dans le boulot qui leur est proposé au Québec par rapport à la Belgique. Ils ont obtenus tout deux leur CSQ et une fois sur place, ils ont cherché du boulot et trouvé en 2 à 3 semaines.
Concernant le job vendu qui dans la pratique n'est plus ce qui a été vendu; il m'est arrivé de me faire embaucher dans un job pour un scope bien défini et au final d'avoir du bosser sur quelque chose qui n'avait rien à voir (également dans l'informatique). Je pense que ça dépend de l'employeur. Raison de plus pour changer de job, si la confiance n'est plus là! Ce genre de pratique m'a fait changé de job ici en Belgique.
Cordialement,
Qwintine
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j'aurais tendance à dire étude. Même si c'est un truc bâtard je te l'accorde ...
Tout ce qui est apres licence est considere comme annee d'experience, meme si c'est ds l'academik.
Bonne chance.
Merci à vous deux pour vos réponse. Cependant, elles vont dans des sens opposés!
Quelqu'un peut-il m'orienter?
Quand je parle de l'expérience, c'est pour le dossier d'immigration pas l'expérience à vendre à un recruteur.
Cordialement,
Qwintine
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Bonjour à tous,
j'espère que je pose ma question dans la bonne rubrique du forum.
Voilà, ma question est relativement simple:
- context: Mon épouse a effectué avec succès une thèse de doctorat en Biologie de 2005 à 2010 (soit 5 ans).
- la question: Hormis le fait que d'être Docteur (PhD) et donc d'être qualifié diplôme universitaire de 3ème cycle, est-ce que ces 5 années de doctorat compte également comme 5 années d'expérience professionnelle? Et donc comment celà doit-il être évalué dans la DCSQ? A la fois, Etude universitaire 3eme cycle et 5 ans d'expérience professionnelle ou seulement étude de 3eme cycle?
Pourquoi cette question, car en fait, on assimile toujours le doctorat à des années d'étude (d'où le diplôme de 3ème cycle) mais dans la pratique, à la différence des 1er et 2ème cycles, durant le doctorat, on est rémunéré par un contrat de travail (bourse ou CDD). Egalement, si l'on regarde le travail effectué par un doctorant, on parle bien d'un travail de recherche plutôt que d'étudier.
Par ailleurs, si je prend le cas de mon épouse, elle était sous contrat et elle a payé des charges sociales (pension et sécurité sociale) et des impôts.
Merci d'avance pour votre réponse,
Cordialement,
Qwintine
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@Hei: en fait mon inquiétude était plus pour l'aspect administratif de la DCSQ. Car hormis des factures de prestations au client, j'ai rien d'autre. Par contre pour mes années en tant que salarié, j'ai obtenu des attestations de mes périodes d'emplois.
Par contre, je retiens ton conseil concernant les lettres de recommandations pour postuler à un emplois y compris de mes anciens clients. Juste les convaincre de prendre 10 min pour moi à écrire la recommandation.
Envoyé par l'application mobile Forum IC
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@tazounet & @kobico: Merci à tous deux pour vos précieuses réponses! Cordialement, Qwintine Envoyé par l'application mobile Forum IC
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@Hei: merci pour ta réponse. Ce qui m'inquiète est de perdre des points pour ma DCSQ voir me faire refuser car je n'ai des lors pas de justificatif de mon occupation les 6 derniers mois. Mais également être catalogué travailleur autonome ou faux travailleur autonome déguisé en employé qui tenterait d'éviter la contrainte des 100 000 $CAD. Petite question, que signifie pigiste? Je ne suis pas encore rompu à toute la terminologie de l'immigration et du marché du travail québécois. Cordialement Qwintine Envoyé par l'application mobile Forum IC
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Bonjour à tous,
J'ai une question qui reste sans réponse.
Est-ce handicapant pour l'acceptation de la DCSQ d'avoir une carrière qui inclu une période de travailleur indépendant?
Dans mon cas, 9 ans en tant que salarié (consultant) et cadre dans l'informatique. et les 6 derniers mois en tant que travailleur indépendant, consultant informatique freelance.
Ce type de parcours est fréquent dans le monde des TIC quant on atteint un certain nombre d'années d'expérience.
Sachant que l'objectif est de travailler au Québec comme employé et pas comme indépendant.
Avez-vous vécu cette expérience? Connaissez vous des gens avec ce type de parcours/carrière?
Je suis particulièrement intéressé par vos expérience si vous avez comme moi une carrière d'informaticien et êtes diplômés en informatique.
Cordialement,
Qwintine
Envoyé par l'application mobile Forum IC
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Ici, en Belgique, la consommation de Retalin a aussi explosé depuis 2004: http://www.anxiolytiques.net/presse/26-000-enfants-sous-calmants-en-belgique/
Envoyé par l'application mobile Forum IC
Recrutement "Journées Quebec" - 8 et 9 Juin 2013
in Québec
Posted
@Cherrybee : concernant CGI, des échos que j'en ai hors Québec, il s'agit d'une entreprise de consultance tout à fait respectable (au même titre qu'un Capgemini, Steria, ...) qui investi beaucoup dans la formation de ses consultants et cherche à les retenir le plus longtemps possible vu l'investissement qu'il font. Je suis dès lors un peu étonné par ton affirmation "CGI est réputé pour ne pas garder ses ressources longtemps"
Il faut peut-être ne pas confondre licenciement et turn-over volontaire des employés. Dans le monde de la consultance de surcroît IT, les gens change souvent pour accélérer leur croissance de carrière. Un turn-over de 7 à 15% par an n'est pas rare.
Cordialement,
Q