Puma Noir

hello;
j'ai participé à quelques séances d'info pour le NB à Bruxelles et j'ai quelques contacts au NB (des agents d'immigration de la province et les services d’accueil)
si ça peut aider; MP moi et on va développer tout ça
 

Bonsoir, 
Effectivement on est dans des domaines techniques et de la santé mon épouse et moi....
Depuis 2004 qu'on se prépare pour l'immigration et la vente de notre maison, le coussin est comme qui dirait "secure". Je ne vais entrer dans les détails pour ne pas transformer ce post en une scène de voyeurisme financier ni de pédantisme détestable (ce n'est pas le but du forum)
On peut immigrer avec pas grand chose et réussir rapidement comme on peut arriver avec les valises pleines et vite les vider. Le contraire est aussi vrai et chacun sa "baraka" 

hello;
j'ai participé à quelques séances d'info pour le NB à Bruxelles et j'ai quelques contacts au NB (des agents d'immigration de la province et les services d’accueil)
si ça peut aider; MP moi et on va développer tout ça
 

Salut Casperas,
 
Tu peux contacter MIDI ils t'expliqueront les démarches a suivre
 
http://www.immigration-quebec.gouv.qc.ca/fr/coordonnees/telephone.html
 
 

Pourquoi ne pas essayer la procédure du Manitoba ou le news Brunswick? Ils délivrent pas mal de certificat de sélection aussi.

Bonjour merci pour ton recit ! La suite, la suite si cela ne te dérange pas !!

je vais essayer de résumer au max mais sans éluder les info importantes. Nous sommes arrivés sur Montréal et avons pris une semaine de repos dans la famille.  Pendant cette semaine; nous avons pris des renseignements sur internet sur les démarches à faire. Du 18 juillet au 23 on se la coulait douce sur Montréal (non on était super crevés suite aux préparatifs du voyage et à l'arrivée avec 10 valises de 33kg chacune)   Le 24 juillet on a pris le bus à Montréal pour Ottawa (90 dollars canadiens pour deux adultes).  Le train comme chez nous pour relier les villes, ici c'est du luxe.   Une amie de la famille nous a prêté sa voiture et sa maison sur Gatineau pendant une semaine. On s'est donc lancé dans la recherche du logement et des écoles pour les gosses.   Nous nous sommes renseignés sur les réputations des écoles avant de cibler les quartiers. Une loi au Québec, les enfants sont inscrits à l'école du quartier. Notre but était d'en faire des bilingues.  Nous sommes donc tombé sur Aylmer (un quartier majoritairement anglophone à Gatineau) mais toujours au Québec.    Cela n'a pas été évident de trouver un logement. Pour les grosses agences de location du coin comme BRIGIL; pas de contrat de travail ni d'historique de crédit, pas de location (logique, même en Belgique ) Mais face à des personnes qui arrivent en immigration avec de l'argent en poche et des CV en béton; c'est frustrant d'être traité de cette façon mais ce n'est pas ma première expérience en immigration (j'ai connu en Belgique des maisons à louer qui n'étaient plus dispo dès qu'on avait vu ta face....)    La  solution qui a fonctionné pour nous c'est la tchatche. on a été voir un agent immobilier; on a proposé de payer toute une année de loyer et avons sorti nos extraits de compte.  On avait donc signé notre bail pour le 1 août.  Tracasse il a signé et pas question de lui verser un an de loyer d'avance c'est interdit par la loi de verser une caution. On l'a juste convaincu qu'on était capables.  Le loyer d'une maison ici c'est le prix d'un appart à Bruxelles (shame on you BXL) ohh calme, de l'autre côté du pont c'est Ottawa et le loyer y est mais Monstrueux    Ah oui dans la foulée de la recherche de logement, il nous fallait un moyen de locomotion.  Notre banque nous a dit merde pour un financement. Au Québec, pour avoir un crédit, il ne faut pas avoir de l'argent en Banque; il faut avoir eu un crédit et pouvoir démontrer qu'on est un bon payeur en remboursant à temps. C'est ça l'historique de crédit.  On en avait pas et tout ce qu'on a construit en Europe, c'est comme dire en Belgique que je suis diplômé d'une école congolaise.  C'est la même considération de l'immigré partout (moi j'ai l'habitude lol).  Il faut faire ses preuves. Je conseille vivement des banques comme desjardin et RBC qui accompagnent les nouveaux arrivants avec des programmes des cartes de crédits pour commencer à bâtir son historique.   Moi, c'est la TD canada ma banque et malgré plus de 50.000 dollars en caisse; ils nous ont dit merde....   On a été chez un concessionnaire et hop un chèque de 15.000 dollars pour une dodge journey 3.6 essence et 283Cv à 46000Km. Et oui; il faut être à l'aise financièrement pour affronter l'immigration avec les enfants. Dans le prix d'achat il y a la taxe fédérale de 245 dollars et 1008 dollars de taxe UNIQUE de circulation pour la province.  Il y a aussi 230 dollars pour l'immatriculation. l’essence coûte 92 cents le litre à Gatineau...et ils ont mais des putains des belles routes pffff (comparaison à ma Wallonie bien aimée) Bref; on a été magasiner un char et on paye pas une fortune pour un gros moulin, pantoute. Les dégâts matériels sont assurés par une compagnie privée au choix du conducteur mais les lésions corporelles sont pris en charge par la SAAQ via le permis de conduire et la plaque qu'on paye chaque année.    Après la maison les meubles. On a choisi de liquider nos meubles en Belgique et voyager légers. bonne ou mauvaise idée cela dépends d'un cas et pas de l'autre.  Chez moi on a acheté ici et cela nous a coûté quelques milliers de dollars pour toute la literie et les meubles de salon plus salle à manger et une partie des appareils de la cuisine. les lits ne sont pas de la même dimension donc en faire venir d’Europe c'est peine perdue pour trouver le couettes et couvertures chaudes qui vont avec...  A ce prix là c'est clair que je n'ai pas été chez IKEA ni kijiji. Au moins pour les 5 prochaines années on ne parlera plus meubles mais achat de maison.   le 9 août; le bateau avec la vaisselle de madame et ma cave à vin est arrivé.  il faut déclarer son vin à la SAQ société des alcools du Québec et à la douane. Double taxation des alcools mais toujours intéressant lorsque tu vois le prix  ici.    (le délire à l'état pur) le transport de 10m3 de cartons nous a couté 2600 euros depuis la Belgique et livraison franco domicile au canada.    GALLIENI GALLIENI GALLIENI GALLIENIGALLIENI GALLIENIGALLIENI  https://www.google.ca/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=1&cad=rja&uact=8&ved=0ahUKEwjtkpLYutjOAhUSGhQKHaHZAO8QFggbMAA&url=http%3A%2F%2Fwww.gallieni-demenagements.com%2F&usg=AFQjCNEXg6dOLtg7GL3dl8MZZyypf2JiBw&bvm=bv.129759880,d.dmo   C'est donc depuis le 16 août qu'on s'est mis dispo pour le marché de l'emploi et ça c'est déjà un autre chapitre......     A bientôt 

Pas apprécié? pantoute! ; Mais nous avons acceptés les règles du jeu. 
sinon comme vous le dites on rentre d'où on vient.  Je l'ai écrit, même à Bruxelles on ne loue pas cash les yeux fermés.
Nous donner de l'argent, on ne demandait pas ça. On avait demandé à la banque de bloquer un montant de notre propre capital pour une carte de crédit et nous aider à construire cet historique...niet
On a changé de trottoir avec le reste du capital et tout va bien.  Véhicule et maison équipés en fonds propres.
 
Maintenant je vous rejoins sur la vérité universelle du précédent malhonnête qui fait se fermer les portes pour les autres...Merci à eux et SVP venez pas au Canada on a déjà assez de mal ainsi (lol)
Oui il faut beaucoup de moyens, ne surtout pas se fier à l'engagement d'autonomie financière. les premiers mois, les compteurs tournent très sec vers le bas.
 
Mais lorsqu'on regarde ce parcours derrière soi et le sens de l'ouverture du québécois, on ne regrette pas son choix; le Canada est un pays merveilleux. Il faut juste consentir à des sacrifices. 
On en reparlera....

Pas apprécié? pantoute! ; Mais nous avons acceptés les règles du jeu. 
sinon comme vous le dites on rentre d'où on vient.  Je l'ai écrit, même à Bruxelles on ne loue pas cash les yeux fermés.
Nous donner de l'argent, on ne demandait pas ça. On avait demandé à la banque de bloquer un montant de notre propre capital pour une carte de crédit et nous aider à construire cet historique...niet
On a changé de trottoir avec le reste du capital et tout va bien.  Véhicule et maison équipés en fonds propres.
 
Maintenant je vous rejoins sur la vérité universelle du précédent malhonnête qui fait se fermer les portes pour les autres...Merci à eux et SVP venez pas au Canada on a déjà assez de mal ainsi (lol)
Oui il faut beaucoup de moyens, ne surtout pas se fier à l'engagement d'autonomie financière. les premiers mois, les compteurs tournent très sec vers le bas.
 
Mais lorsqu'on regarde ce parcours derrière soi et le sens de l'ouverture du québécois, on ne regrette pas son choix; le Canada est un pays merveilleux. Il faut juste consentir à des sacrifices. 
On en reparlera....

Je ne sais pas trop par où commencer ! Cela fait très longtemps que je n'étais pas venu sur le forum, et je tiens à m'excuser pour les personnes qui m'avaient laissé un message ... Je viens de les découvrir, oups !
Je sais que quand on est dans la phase d'interrogation sur une éventuelle immigration, ou quand on est dans l'attente des visas, chaque témoignage est comme un trésor, on s'y raccroche, on s'y compare, on s'y projette. Je vais donc tenter de vous faire un petit résumé, même si cela n'est pas si simple car la vie suit son court avec sa routine, et les choses qui nous paraissaient surprenantes au début, nous sont maintenant familières.
 
Mon mari, mon fils et moi sommes arrivés à Gatineau le 1er juillet 2015 avec des RP, le logement avait été trouvé grâce à l'aide d'une bonne âme sur place, heureusement car à distance ce n'est pas facile. Mais comble du bonheur, la maison est à 8 min à pieds de l'hôpital de Gatineau et à 5 min à pieds de l'école primaire. Un vrai confort apprécié chaque jour car mon fils et moi rentrons manger chez nous le midi, c'est chouette.
 
J'ai commencé mon stage d'intégration à l'hôpital fin août 2015, qu'on se le dise, ce n'est pas une simple formalité, c'est une épreuve. Pour moi ça s'est bien passé mais ça demande beaucoup d'énergie, on n'a pas le droit à l'erreur et il faut de suite rentrer dans le moule. Mais je dois dire que j'ai vraiment bien été accueillie dans les services, ça a été un grand réconfort.
Finalement le stage s'est terminé en décembre et j'ai eu mon permis définitif en janvier, une bonne chose de faite ! Après ça, j'ai commencé sur l'équipe volante jour/soir ... ça s'est moins le fun ... souvent pas 2 jours de suite sur le même service, parfois pas placée du tout et obligée d'attendre qu'on te dise où aller, ou qu'on te propose de prendre ta journée si ça te tente. Heureusement, il y a les affectations ! Tu fais alors un remplacement de plus ou moins longue durée, en ce moment je suis en chimiothérapie et j'aime ça ... dommage que cela ne puisse durer, à un moment on me dira qu'on n'a plus besoin de moi et je retournerai sur l'équipe volante ... on verra ! 
Et puis honnêtement, l'horaire de soir, c'est juste affreux pour la vie de famille, tu pars bosser avant que les enfants ne rentrent de l'école et tu reviens quand il dorment. En général tu ne dors pas avant 1h du mat mais tu dois de lever pareil à 7h le lendemain ... Autre point noir, comme vous le savez surement les postes sont octroyés à l'ancienneté, donc dès qu'il y a un poste un peu sympa, il y a 50 personnes qui postulent et les 15 premiers on au moins 20 ans d'expérience dans l'hôpital ... c'est un peu désespérant. Mais bon, c'est comme ça ... A ce compte là, j'aurai peut-être un post pour ma retraite !  Sinon, j'aime l'ambiance de travail, on se marre bien quand même.
Du côté de mon fils, aucun problème d'intégration, il s'est vite fait des amis. Il aime le fonctionnement à l'école même si il a du beaucoup travailler. En septembre 2015 il est entré en 4ème année, et on s'est aperçu que beaucoup de choses avaient été déjà vu ici, qu'ils étaient en avance sur les maths mais aussi sur le français ! Il a donc fallu ramer pas mal. De plus, il avait beaucoup de devoirs à faire à la maison, on leur donnait une liste de travail à faire pour la semaine suivante et à eux de s'organiser pour tout faire ... ça s'était vraiment nouveau pour nous !!! Au moins mon fils a appris ce que s'est de travailler, et heureusement il a été récompensé car il est passé en 5ème année (et a eu aussi droit à un beau trampoline  il l'a franchement mérité). Sinon, pour lui la vie est belle, il joue avec ses copains dans la rue ou dans les parcs autour, il peut faire du vélo ou du patin à glace l'hiver (une patinoire est créée l'hiver sur un terrain à côté de l'école, c'est "nice" comme il dit).
En parlant d'expression, mon fils ne parle plus tout à fait la même langue qu'il y a un an ... AWEIE, tu viens tu ?, C'est dont bien plate ! C'est une joke etc. Bon honnêtement pour moi c'est pareil, un peu moins d'anglicisme peut-être ... encore que moins aussi maintenant avec mes patients je cédule et je cancèle ... ça fait parti du quotidien ! (il faut savoir aussi qu'à Gatineau avec la proximité de l'Ontario, il y a énormément de patients anglophones).
 
Du côté de mon mari maintenant, ça a été beaucoup plus compliqué, il est plombier et avait fait toutes les démarches depuis la France pour obtenir sa carte de compagnon, il ne lui restait "plus qu'à" passer 3 petites formations complémentaires organisées par la CCQ, il en a passé une en 2015 à Montréal mais les 2 autres on été annulées faute d'avoir suffisamment de participants, or, il a en principe 2 ans pour passer ces formations ... il doit donc se réinscrire cet été. Comme il s'était inscrit au syndicat il a pu travailler quelques jours à 2 reprises quand beaucoup de main d'oeuvre était nécessaire. Voyant que ça  n'avançait pas de ce côté, il a refait ses CV, et a postuler chez Rona, réno dépôt, Canadian tire et bien d'autre. Les entretiens se passaient tous super bien et on devait toujours le rappeler quelque soit la décision .... mouais, quand il finissait par appeler pour savoir où ça en était, le poste était déjà pris .... Bof !
Et puis enfin, grâce à un ami déjà dans la place, il a pu obtenir un entretien dans un centre commercial et a obtenu un poste de maintenance technique ... ouf un premier vrai poste ! c'était il y a 3 mois, un contrat de 20h (il en fait le double), au salaire minimum donc pas top, mais enfin on lui donnait la chance de faire ses preuves, il s'est donné à fond et on vient déjà de lui proposer d'évoluer sur un autre poste .... ça s'est vraiment l'fun  
J'avoue qu'à un moment, quand toutes les réponses étaient négatives, j'ai eu un moment de panique et une petite voix dans ma tête commençait à me dire qu'on allait devoir rentrer en France "la queue entre les jambes", amers et délestés d'une bonne grosse partie de nos économie ... Heureusement le vent a tourné en notre faveur !
 
Finalement après 1 an et 1 mois, on est plutôt bien et on peut partir sur d'autres projets. En ce moment on cherche donc une maison à acheter (et on l'a peut-être trouvé!), on va rester dans le même quartier pour l'école et la proximité de l'hôpital. Le point pénible c'est d'être "pogné" avec notre bail jusqu'au 1er juillet (d’ailleurs on cherchera surement quelqu'un pour reprendre notre location ou pour la sous louer, si ça intéresse quelqu'un, ça vaut le coup !!!!).
 
Bon là je me rend compte que j'ai écrit un gros pavé qui ne décrit qu'une partie de notre expérience et qui ne peut rendre vraiment compte de ce qu'est la vie ici, mais il faut le vivre pour se faire vraiment une idée. En gros, si on fait la part du "bof" et du "c'est l'fun", et bien le bilan est positif.
 
Comme je le disais au départ, la routine s'installe à un moment et ça fait un bien fou après 2 ans et demi de démarches en France et 1 an d'installation et d'intégration ici ... ça prend une bonne dose d'énergie quand même !
 
Ah, j'ai oublié de parler de Gatineau, je dirais que pour les jeunes célibataires qui aiment faire de grosses fiesta ce n'est pas vraiment la bonne place, mais pour les familles, c'est vraiment chouettes. Pour les vrais citadins qui veulent des transports en communs et une vie culturelle débordante c'est pas le top non plus (même s'il y a beaucoup de musées et d’événements organisés), par contre pour les amoureux de natures et de sports en plein air c'est parfait ! Si vous voulez vous passer de voiture c'est possible à condition d'habiter Hull ou sur le parcours du Rapibus, ailleurs c'est galère !
 
Voilà ! Bonne démarches à tous ! 
 
Marie
 
 
 

Démarches à l’arrivée
Avant d’embrasser le vif du sujet, j’attire l’attention de chacun selon sa spécificité et ses aspirations sur l’immigration au Québec (passionnément, avec curiosité désintéressé ou juste goûter à l’herbe du voisin), qu’une expérience personnelle n’est qu’un cas pratique, un vécu et non une loi universelle.
Trouver un logement
Le forum(immigrer.com)  regorge de tant d’histoires individuelles qu’il est une mine d’informations pour tout nouvel arrivant à la recherche de logement. 
Il y a pour chaque région du Québec au moins un organisme qui aide à l’information et à l’orientation des nouveaux arrivants.  Il est souvent judicieux de les consulter afin de ne pas perdre trop de temps lors de son arrivée à la belle province.
Mais rien n’interdit de la jouer solo et de foncer tout seul  la découverte du système. Cette dernière démarche nécessite quelques connaissances du prescrit légal en matière des baux à loyer au Québec. (Consulter la régie du  logement du Québec www.rdl.gouv.qc.ca) 
Pour immigrer au Québec, il est demandé d’avoir de quoi subsister pendant les trois premiers mois de son arrivée.  Lorsqu’on voyage avec une famille, la prudence recommande d’avoir un coussin financier plus important que cela.   Pendant les premiers mois, les économies s’envolent plus vite qu’on ne le pense et sans décrocher un travail rapidement, c’est la fonte des glaciers version comptes bancaires.
Nous avons jeté notre dévolu sur Gatineau (www.gatineau.ca) et nos voyages exploratoires nous ont orientés vers cette « petite » ville canadienne située au sud du Québec et voisine  à un jet de pont, de la capitale nationale Ottawa. 
Ayant trois enfants en âge scolaire, notre recherche de logement tient compte de la proximité des transports en commun, des  écoles et des grandes surfaces. 
Au Québec et spécialement à Gatineau, les enfants sont inscrits à l’école du quartier.
 Les immigrés francophones sélectionnés par le Québec tombent sous l’escarcelle de la loi 101 et doivent inscrire leur enfants dans une école  publique francophone.  Il y a des exceptions si l’un des parents est anglophone ou si les parents choisissent l’enseignement privé. 
Dans certains quartiers de Montréal comme à   Gatineau, l’anglais s’attrape bien facilement et être bilingue est indispensable pour décrocher « la job » de ses rêves. 
Nous avons donc divisé la ville en quatre points cardinaux et avons ciblé les  écoles avec une bonne réputation. Le choix est très difficile car il nous a été  rapporté qu’il n’y a pas vraiment de mauvaises écoles. C'est plutôt à  nous de lire chaque projet pédagogique et voir si cela nous convient.
Nous avons donc ciblé les écoles  de l’ouest de Gatineau (le plateau et Aylmer). 
Nous nous sommes focalisés alors sur les logements  à louer dans ce secteur géographique.  Ce n’est pas les logements qui manquent dans le secteur et il y en a de tous les goûts, de toutes les tailles et selon toutes les bourses. 
Les blocs d’habitation poussent comme des champignons et le champion toute catégorie  Gatineau  est l’agence « Brigil ».
Pour trouver son logement  à Gatineau, on a le choix soit d’aller voir une agence immobilière (contrat de travail et historique de crédit demandés, donc fraîchement arrivés sous le régime du csq s’abstenir  à moins de vouloir perdre son temps  à essuyer des refus....) ; ou alors de quadriller les quartiers et aller voir les propriétaires. Il ne faut pas se gêner et expliquer son histoire aux propriétaires.
Dans notre cas, nous avons commencé avec l’agence Brigil et nous avons eu des contacts avant de quitter l’Europe. Tout  planifié pour les visites. Sauf qu’ils ne nous avaient pas prévenus qu’il fallait un contrat de travail et un historique de crédits. 
Ces deux critères constituent une garantie de solvabilité pour les bailleurs au Canada. 
Après la fin de non recevoir et ce malgré notre volonté de payer des mois de loyer en avance et après avoir envoyé nos extraits de comptes, nous avons changé de stratégie et sommes allés trouver les propriétaires des maisons.
Au Québec il n’est pas légal de payer une garantie locative. Pour décrocher notre logement, nous avons expliqué au bailleur notre situation de nouveaux arrivant, nous avons encore une fois proposé la caution des amis et de la famille et avons proposé de payer des mois à l’avance.
Bingo, ils prennent le risque non sans avoir encaissé le premier mois et le dernier du bail.
Nous avons un logement et tout peut commencer (inscriptions des enfants, abonnements gaz et hydro-québec, TV,  téléphone et internet, assurance des meubles, livraison des meubles par transporteur « Gallieni » , adaptation des CV....notre vie au Canada ! 
Dans le secteur d’Aylmer et au plateau, le coût du loyer varie entre 800$ et 1100$ pour les condo de 2 à 3 chambres. Pour une maison, il faut compter entre 1200$ et 1400$ ou plus pour les hauts standing. 
Ces coûts n’incluent généralement ni l’électricité, ni l’eau, ni le gaz dont le coût mensuel varie de 50 $ à 170$ en fonction de la consommation de chacun.

À très bientôt 
 

Démarches à l’arrivée
Avant d’embrasser le vif du sujet, j’attire l’attention de chacun selon sa spécificité et ses aspirations sur l’immigration au Québec (passionnément, avec curiosité désintéressé ou juste goûter à l’herbe du voisin), qu’une expérience personnelle n’est qu’un cas pratique, un vécu et non une loi universelle.
Trouver un logement
Le forum(immigrer.com)  regorge de tant d’histoires individuelles qu’il est une mine d’informations pour tout nouvel arrivant à la recherche de logement. 
Il y a pour chaque région du Québec au moins un organisme qui aide à l’information et à l’orientation des nouveaux arrivants.  Il est souvent judicieux de les consulter afin de ne pas perdre trop de temps lors de son arrivée à la belle province.
Mais rien n’interdit de la jouer solo et de foncer tout seul  la découverte du système. Cette dernière démarche nécessite quelques connaissances du prescrit légal en matière des baux à loyer au Québec. (Consulter la régie du  logement du Québec www.rdl.gouv.qc.ca) 
Pour immigrer au Québec, il est demandé d’avoir de quoi subsister pendant les trois premiers mois de son arrivée.  Lorsqu’on voyage avec une famille, la prudence recommande d’avoir un coussin financier plus important que cela.   Pendant les premiers mois, les économies s’envolent plus vite qu’on ne le pense et sans décrocher un travail rapidement, c’est la fonte des glaciers version comptes bancaires.
Nous avons jeté notre dévolu sur Gatineau (www.gatineau.ca) et nos voyages exploratoires nous ont orientés vers cette « petite » ville canadienne située au sud du Québec et voisine  à un jet de pont, de la capitale nationale Ottawa. 
Ayant trois enfants en âge scolaire, notre recherche de logement tient compte de la proximité des transports en commun, des  écoles et des grandes surfaces. 
Au Québec et spécialement à Gatineau, les enfants sont inscrits à l’école du quartier.
 Les immigrés francophones sélectionnés par le Québec tombent sous l’escarcelle de la loi 101 et doivent inscrire leur enfants dans une école  publique francophone.  Il y a des exceptions si l’un des parents est anglophone ou si les parents choisissent l’enseignement privé. 
Dans certains quartiers de Montréal comme à   Gatineau, l’anglais s’attrape bien facilement et être bilingue est indispensable pour décrocher « la job » de ses rêves. 
Nous avons donc divisé la ville en quatre points cardinaux et avons ciblé les  écoles avec une bonne réputation. Le choix est très difficile car il nous a été  rapporté qu’il n’y a pas vraiment de mauvaises écoles. C'est plutôt à  nous de lire chaque projet pédagogique et voir si cela nous convient.
Nous avons donc ciblé les écoles  de l’ouest de Gatineau (le plateau et Aylmer). 
Nous nous sommes focalisés alors sur les logements  à louer dans ce secteur géographique.  Ce n’est pas les logements qui manquent dans le secteur et il y en a de tous les goûts, de toutes les tailles et selon toutes les bourses. 
Les blocs d’habitation poussent comme des champignons et le champion toute catégorie  Gatineau  est l’agence « Brigil ».
Pour trouver son logement  à Gatineau, on a le choix soit d’aller voir une agence immobilière (contrat de travail et historique de crédit demandés, donc fraîchement arrivés sous le régime du csq s’abstenir  à moins de vouloir perdre son temps  à essuyer des refus....) ; ou alors de quadriller les quartiers et aller voir les propriétaires. Il ne faut pas se gêner et expliquer son histoire aux propriétaires.
Dans notre cas, nous avons commencé avec l’agence Brigil et nous avons eu des contacts avant de quitter l’Europe. Tout  planifié pour les visites. Sauf qu’ils ne nous avaient pas prévenus qu’il fallait un contrat de travail et un historique de crédits. 
Ces deux critères constituent une garantie de solvabilité pour les bailleurs au Canada. 
Après la fin de non recevoir et ce malgré notre volonté de payer des mois de loyer en avance et après avoir envoyé nos extraits de comptes, nous avons changé de stratégie et sommes allés trouver les propriétaires des maisons.
Au Québec il n’est pas légal de payer une garantie locative. Pour décrocher notre logement, nous avons expliqué au bailleur notre situation de nouveaux arrivant, nous avons encore une fois proposé la caution des amis et de la famille et avons proposé de payer des mois à l’avance.
Bingo, ils prennent le risque non sans avoir encaissé le premier mois et le dernier du bail.
Nous avons un logement et tout peut commencer (inscriptions des enfants, abonnements gaz et hydro-québec, TV,  téléphone et internet, assurance des meubles, livraison des meubles par transporteur « Gallieni » , adaptation des CV....notre vie au Canada ! 
Dans le secteur d’Aylmer et au plateau, le coût du loyer varie entre 800$ et 1100$ pour les condo de 2 à 3 chambres. Pour une maison, il faut compter entre 1200$ et 1400$ ou plus pour les hauts standing. 
Ces coûts n’incluent généralement ni l’électricité, ni l’eau, ni le gaz dont le coût mensuel varie de 50 $ à 170$ en fonction de la consommation de chacun.

À très bientôt 
 

Démarches à l’arrivée
Avant d’embrasser le vif du sujet, j’attire l’attention de chacun selon sa spécificité et ses aspirations sur l’immigration au Québec (passionnément, avec curiosité désintéressé ou juste goûter à l’herbe du voisin), qu’une expérience personnelle n’est qu’un cas pratique, un vécu et non une loi universelle.
Trouver un logement
Le forum(immigrer.com)  regorge de tant d’histoires individuelles qu’il est une mine d’informations pour tout nouvel arrivant à la recherche de logement. 
Il y a pour chaque région du Québec au moins un organisme qui aide à l’information et à l’orientation des nouveaux arrivants.  Il est souvent judicieux de les consulter afin de ne pas perdre trop de temps lors de son arrivée à la belle province.
Mais rien n’interdit de la jouer solo et de foncer tout seul  la découverte du système. Cette dernière démarche nécessite quelques connaissances du prescrit légal en matière des baux à loyer au Québec. (Consulter la régie du  logement du Québec www.rdl.gouv.qc.ca) 
Pour immigrer au Québec, il est demandé d’avoir de quoi subsister pendant les trois premiers mois de son arrivée.  Lorsqu’on voyage avec une famille, la prudence recommande d’avoir un coussin financier plus important que cela.   Pendant les premiers mois, les économies s’envolent plus vite qu’on ne le pense et sans décrocher un travail rapidement, c’est la fonte des glaciers version comptes bancaires.
Nous avons jeté notre dévolu sur Gatineau (www.gatineau.ca) et nos voyages exploratoires nous ont orientés vers cette « petite » ville canadienne située au sud du Québec et voisine  à un jet de pont, de la capitale nationale Ottawa. 
Ayant trois enfants en âge scolaire, notre recherche de logement tient compte de la proximité des transports en commun, des  écoles et des grandes surfaces. 
Au Québec et spécialement à Gatineau, les enfants sont inscrits à l’école du quartier.
 Les immigrés francophones sélectionnés par le Québec tombent sous l’escarcelle de la loi 101 et doivent inscrire leur enfants dans une école  publique francophone.  Il y a des exceptions si l’un des parents est anglophone ou si les parents choisissent l’enseignement privé. 
Dans certains quartiers de Montréal comme à   Gatineau, l’anglais s’attrape bien facilement et être bilingue est indispensable pour décrocher « la job » de ses rêves. 
Nous avons donc divisé la ville en quatre points cardinaux et avons ciblé les  écoles avec une bonne réputation. Le choix est très difficile car il nous a été  rapporté qu’il n’y a pas vraiment de mauvaises écoles. C'est plutôt à  nous de lire chaque projet pédagogique et voir si cela nous convient.
Nous avons donc ciblé les écoles  de l’ouest de Gatineau (le plateau et Aylmer). 
Nous nous sommes focalisés alors sur les logements  à louer dans ce secteur géographique.  Ce n’est pas les logements qui manquent dans le secteur et il y en a de tous les goûts, de toutes les tailles et selon toutes les bourses. 
Les blocs d’habitation poussent comme des champignons et le champion toute catégorie  Gatineau  est l’agence « Brigil ».
Pour trouver son logement  à Gatineau, on a le choix soit d’aller voir une agence immobilière (contrat de travail et historique de crédit demandés, donc fraîchement arrivés sous le régime du csq s’abstenir  à moins de vouloir perdre son temps  à essuyer des refus....) ; ou alors de quadriller les quartiers et aller voir les propriétaires. Il ne faut pas se gêner et expliquer son histoire aux propriétaires.
Dans notre cas, nous avons commencé avec l’agence Brigil et nous avons eu des contacts avant de quitter l’Europe. Tout  planifié pour les visites. Sauf qu’ils ne nous avaient pas prévenus qu’il fallait un contrat de travail et un historique de crédits. 
Ces deux critères constituent une garantie de solvabilité pour les bailleurs au Canada. 
Après la fin de non recevoir et ce malgré notre volonté de payer des mois de loyer en avance et après avoir envoyé nos extraits de comptes, nous avons changé de stratégie et sommes allés trouver les propriétaires des maisons.
Au Québec il n’est pas légal de payer une garantie locative. Pour décrocher notre logement, nous avons expliqué au bailleur notre situation de nouveaux arrivant, nous avons encore une fois proposé la caution des amis et de la famille et avons proposé de payer des mois à l’avance.
Bingo, ils prennent le risque non sans avoir encaissé le premier mois et le dernier du bail.
Nous avons un logement et tout peut commencer (inscriptions des enfants, abonnements gaz et hydro-québec, TV,  téléphone et internet, assurance des meubles, livraison des meubles par transporteur « Gallieni » , adaptation des CV....notre vie au Canada ! 
Dans le secteur d’Aylmer et au plateau, le coût du loyer varie entre 800$ et 1100$ pour les condo de 2 à 3 chambres. Pour une maison, il faut compter entre 1200$ et 1400$ ou plus pour les hauts standing. 
Ces coûts n’incluent généralement ni l’électricité, ni l’eau, ni le gaz dont le coût mensuel varie de 50 $ à 170$ en fonction de la consommation de chacun.

À très bientôt 
 

Bonne installation cher forumiste. Je vous souhaite bon courage dans vos démarches. Tiens nous au courant de la réalité de Gatineau.
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Bonne installation Puma Noir. Je suis également intéressé par la ville de Gatineau. Reviens-nous vite avec les infos sur votre intégration.

Salut à tous 
 
Pour ceux qui se sont installés au Québec, quels conseils avez-vous à donner sur le choix de la banque et les démarches d'ouverture de compte? 
 
Merci d'avance pour vos retours d'expérience!
 

Merci @Puma Noir

Bientôt la brune patience 
 

Bonne installation pour vous tous

Bonsoir,

J'espère faire le même trajet dans 4 ans, pour fêter ma retraite mais je serai certainement seul pour ce voyage vers ce pays dont je rêve depuis très longtemps.

Bonne continuation et plein de bonheur à vous, votre épouse et vos enfants.
Et vous avez choisi quelle ville ou quelle région pour votre installation?

Départ pour le Canada 
Après une premiér départ en 2015 afin de valider notre résidence permanente, nous sommes retournés au pays pour liquider notre patrimoine et prendre congé de nos emplois respectifs.
La maison vendue, nous voilà prêts  faire le grand saut pour notre installation.  Sur un post précédent, nous vous avions relaté notre validation de la résidence et les procédures à l’arrivée.
Pour tous ceux qui se demandent comment cela se passe lorsqu’on a validé son visa et que pour des raisons personnelles on retourne en Europe, c’est ici.
Je rappelle le prescrit légal : sur une période de 5ans, le résident permanent peut passer au maximum 2 ans en dehors du Canada. Cette exception permet à toutes les personnes qui ont des soucis d’ordre personnel de valider leur résidence dans les délais impartis et de sortir du Canada afin de terminer la préparation de leur départ.
Deux ans c’est vite passé, si on fait encore plus court c’est mieux.
En mars 2014, nous avons obtenu notre résidence permanente et nous devions être au Canada pour janvier 2015 au plus tard. Lorsqu’on est propriétaire de sa maison et des enfants en âge d’aller à l’école, c’est juste une course  la montre ou une planification  à faire. 
Nous avons donc choisi de valider les visas en été 2014, de recevoir nos cartes de résidents puis de retourner en Europe afin de liquider notre patrimoine. (Maison  vendre, société à liquider, et pause carrières à obtenir) 
Arrivés en janvier 2015, la maison n’était toujours pas vendue et il n’était pas question de la brader. On y avait mis toutes nos  et il fallait en retirer le pris pour ne pas débarquer au Québec les mains vides (avec trois marmots en charge on aurait appelé cela du suicide).
Nous avons donc attendu jusqu’en octobre 2015 pour voir un amateur sérieux sur la maison.
Mais pendant ce temps, le plus âgé de nos fils est entré en 6ème. Il avait donc son CEB (certificat d’enseignement fondamental  belge de la communauté française).
Tout était donc planifié pour juillet 2016 dès qu’on aurait les bulletins car l’acte de vente de la maison a été passé en janvier 2016. Nous avions, en plus de nos économies, de quoi bien planifier notre installation à la belle province.
Le gros de nos affaires étant parti avec Gallieni-déménagement.com, il nous restait plus que les affaires personnelles à prendre par avion.
Nous avons reservé un vol air transat, avons pris l’option plus (10kg de bagages en plus et un certain confort en vol pour les amateurs de mousseux et de cabernet sauvignon, la réception des bagages en priorité sur montréal, l’enbarquement des kids en priorité, brf pour nous 5, 260 euros bien dépensés).
Pour les comptes, nous avions 10 valises (5 de 33kg, 5 de 23kg) et 5 bagages à main en plus de deux sacs à dos de matériel informatique fragile.
C’est un véritable convoi exceptionnel qui s’est présenté au checking de ce 18 juillet 2016 à Bruxelles national.
Cette option nous permet d’embarquer nos 10 valises mais non sans avoir déboursé 180euros pour les excédents (on s’en sort très bien).
L’enregistrement se passe très bien, le personnel est très sympatique. Nous ne pouvions pas embarquer tous nos bagages à main en cabine, il faut 5 pièces et c’est tout. Le surplus a été mis en soute sans supplément. Un coup de chance là aussi.
Après un contrôle d’identité et une fouille efficace, nous accedons à la zone neutre avant de nous diriger vers la porte d’embarcation.  Il n’y a plus qu’à attendre. 
Pour un vol prévu à 13H30, nous sommes arrivés à 8h50 à zaventem et n’avons pas eu un seul moment de repis. Tout ce dispositif de sécurité (bien utile que cela soit dit en passant), toutes ces vérifications des documents d’identité et le tout nouveau portail de la police belge qui scanne l’iris des voyageurs (belges), on prend l’avion à 13H30 avec un ouf de soulagement.
7h40 plus tard, une sécousse nous reveille les sens, on est au Canada !!!
Nous arrivons au premier contrôle de l’AFSC (agence des services frontaliers), les passeports sont vérifiés, pas besoin de l’AVE, nous avons nos cartes de résidents permanents.
L’agent nous dit bonjour individuellement et nous souhaite encore une fois la bienvenue « chez vous » bon retour  à la maison.
Après avoir vérifié le document de déclaration que nous avons rempli dans l’avion, l’agent nous invite  aller récupérer nos bagages, non sans nous souhaiter la bonne journée.
Les bagages récupérés, nous nous dirigeons vers la sortie et là nous sommes reçus par un deuxième agent qui reprends les documents de déclaration initialement contrôlés par son collègue. 
Il nous laisse passer avant de nous rappeler quelques mètres plus loin et nous demande de repasser à l’acceuil immigration. D’aprè cet agent, nous devons remplir un fromulaire pour justifier les délais de plus de 12 mois passés hors du Canada.
Nous passons donc dans cette pièce située  gauche, près de la sortie et où se trouve l’acceuil de l’immigration et les services d’acceuil du Québec. 
Sur place, un agent nous invite  lui présenter nos passeports et les cartes de résident. Après un brève vérification, il nous déclare que nous avons aucune raison d’être là.
Cette fois, nos trois chariots quittent la zone de contrôle et nous voici donc arrivés pour commencer une nouvelle vie.
 
 

Merci pour votre message. Ça s'est de l'organisation!
 
Votre message est en page d'accueil.
 
Bonne installation!

bonjour à tous!
Je suis infirmière depuis 3 ans et avec mon conjoint nous avons comme projet futur d'aller vivre au New Brunswick. Y en a -t-il parmi vous qui pourrait m'éclairer par rapport à la reconnaissance du diplôme infirmier là-bas, le Nclex peut-il être en français? Dans quel ordre tout cela doit se faire? Quels sont leurs critères au niveau infirmier (expérience, technicité...) car je sais que l'on doit d'abord remplir un dossier avant de pouvoir passer le Nclex.
Merci pour vos réponses!

C'est pas 2 ans en dehors mais 2 ans au canada sur 5 pour conserver la RP.

Départ pour le Canada 
Après une premiér départ en 2015 afin de valider notre résidence permanente, nous sommes retournés au pays pour liquider notre patrimoine et prendre congé de nos emplois respectifs.
La maison vendue, nous voilà prêts  faire le grand saut pour notre installation.  Sur un post précédent, nous vous avions relaté notre validation de la résidence et les procédures à l’arrivée.
Pour tous ceux qui se demandent comment cela se passe lorsqu’on a validé son visa et que pour des raisons personnelles on retourne en Europe, c’est ici.
Je rappelle le prescrit légal : sur une période de 5ans, le résident permanent peut passer au maximum 2 ans en dehors du Canada. Cette exception permet à toutes les personnes qui ont des soucis d’ordre personnel de valider leur résidence dans les délais impartis et de sortir du Canada afin de terminer la préparation de leur départ.
Deux ans c’est vite passé, si on fait encore plus court c’est mieux.
En mars 2014, nous avons obtenu notre résidence permanente et nous devions être au Canada pour janvier 2015 au plus tard. Lorsqu’on est propriétaire de sa maison et des enfants en âge d’aller à l’école, c’est juste une course  la montre ou une planification  à faire. 
Nous avons donc choisi de valider les visas en été 2014, de recevoir nos cartes de résidents puis de retourner en Europe afin de liquider notre patrimoine. (Maison  vendre, société à liquider, et pause carrières à obtenir) 
Arrivés en janvier 2015, la maison n’était toujours pas vendue et il n’était pas question de la brader. On y avait mis toutes nos  et il fallait en retirer le pris pour ne pas débarquer au Québec les mains vides (avec trois marmots en charge on aurait appelé cela du suicide).
Nous avons donc attendu jusqu’en octobre 2015 pour voir un amateur sérieux sur la maison.
Mais pendant ce temps, le plus âgé de nos fils est entré en 6ème. Il avait donc son CEB (certificat d’enseignement fondamental  belge de la communauté française).
Tout était donc planifié pour juillet 2016 dès qu’on aurait les bulletins car l’acte de vente de la maison a été passé en janvier 2016. Nous avions, en plus de nos économies, de quoi bien planifier notre installation à la belle province.
Le gros de nos affaires étant parti avec Gallieni-déménagement.com, il nous restait plus que les affaires personnelles à prendre par avion.
Nous avons reservé un vol air transat, avons pris l’option plus (10kg de bagages en plus et un certain confort en vol pour les amateurs de mousseux et de cabernet sauvignon, la réception des bagages en priorité sur montréal, l’enbarquement des kids en priorité, brf pour nous 5, 260 euros bien dépensés).
Pour les comptes, nous avions 10 valises (5 de 33kg, 5 de 23kg) et 5 bagages à main en plus de deux sacs à dos de matériel informatique fragile.
C’est un véritable convoi exceptionnel qui s’est présenté au checking de ce 18 juillet 2016 à Bruxelles national.
Cette option nous permet d’embarquer nos 10 valises mais non sans avoir déboursé 180euros pour les excédents (on s’en sort très bien).
L’enregistrement se passe très bien, le personnel est très sympatique. Nous ne pouvions pas embarquer tous nos bagages à main en cabine, il faut 5 pièces et c’est tout. Le surplus a été mis en soute sans supplément. Un coup de chance là aussi.
Après un contrôle d’identité et une fouille efficace, nous accedons à la zone neutre avant de nous diriger vers la porte d’embarcation.  Il n’y a plus qu’à attendre. 
Pour un vol prévu à 13H30, nous sommes arrivés à 8h50 à zaventem et n’avons pas eu un seul moment de repis. Tout ce dispositif de sécurité (bien utile que cela soit dit en passant), toutes ces vérifications des documents d’identité et le tout nouveau portail de la police belge qui scanne l’iris des voyageurs (belges), on prend l’avion à 13H30 avec un ouf de soulagement.
7h40 plus tard, une sécousse nous reveille les sens, on est au Canada !!!
Nous arrivons au premier contrôle de l’AFSC (agence des services frontaliers), les passeports sont vérifiés, pas besoin de l’AVE, nous avons nos cartes de résidents permanents.
L’agent nous dit bonjour individuellement et nous souhaite encore une fois la bienvenue « chez vous » bon retour  à la maison.
Après avoir vérifié le document de déclaration que nous avons rempli dans l’avion, l’agent nous invite  aller récupérer nos bagages, non sans nous souhaiter la bonne journée.
Les bagages récupérés, nous nous dirigeons vers la sortie et là nous sommes reçus par un deuxième agent qui reprends les documents de déclaration initialement contrôlés par son collègue. 
Il nous laisse passer avant de nous rappeler quelques mètres plus loin et nous demande de repasser à l’acceuil immigration. D’aprè cet agent, nous devons remplir un fromulaire pour justifier les délais de plus de 12 mois passés hors du Canada.
Nous passons donc dans cette pièce située  gauche, près de la sortie et où se trouve l’acceuil de l’immigration et les services d’acceuil du Québec. 
Sur place, un agent nous invite  lui présenter nos passeports et les cartes de résident. Après un brève vérification, il nous déclare que nous avons aucune raison d’être là.
Cette fois, nos trois chariots quittent la zone de contrôle et nous voici donc arrivés pour commencer une nouvelle vie.