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ThierryBxl

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Messages posté(e)s par ThierryBxl

  1. Bonjour à tous,

     

    Convocation reçue à l'instant.

     

    Bureau : Montréal

     

    Date d'envoi : 12 septembre 2017

    Accusé de réception : 13 octobre 2017

    En cours : 23 novembre

    Invitation à l'examen et l'entrevue : 24 janvier 2018

    Examen et entrevue : 7 février 2018

    Décision prise : 10 février 2018

    Lettre de convocation : 19 avril 2018

    Cérémonie et prestation de serment : 2 mai 2018

     

    À bientôt,

    Thierry

     

  2. Bien le bonjour,

     

    Il est peut-être tard dans le processus, mais voici quand-même mes dates :

     

    Bureau : Montréal

     

    Date d'envoi : 12 septembre 2017

    Accusé de réception : 13 octobre 2017

    En cours : 23 novembre

    Invitation à l'examen et l'entrevue : 24 janvier 2018

    Examen et entrevue : 7 février 2018

    Décision prise : 10 février 2018

     

    À bientôt,

    Thierry

     

  3. Bonjour à toutes et à tous,

     

    Je fais appel aux expériences vécues (le cas échéant).

     

    Il me semble avoir lu quelque-part que les absences de courte durée en dehors du Canada pouvaient ne pas compter à la discrétion du juge de citoyenneté si l'on parvenait à prouver que sa résidence principale était bel et bien au Canada.  Dans mon cas, je serai immigrant reçu depuis 1460 jours le 2 juillet 2017.  Je compte 67 jours d'absence sur ces quatre ans, pour des séjours maximum de dix jours à l'étranger (vacances et voyages professionnels).

     

    Quelle est votre expérience à ce propos ?  Le paiement des taxes uniquement au Canada, un contrat de travail, etc... sont des faits qui semblent être pris en compte par les juges de la citoyenneté.  Mais je ne retrouve plus la source.

     

    Un grand merci !  Toute expérience basée sur des faits est la bienvenue à lire.

     

    À bientôt,

    Thierry

  4. Bonjour à tous,

    Je suis nouvelle sur ce forum et particulièrement intéressée par cette discussion à propos de la création de chambres d'hôtes puisque j'ai ce même projet sur Montréal.

    Je suis propriétaire d'une maison d'hôtes dans le sud de la France depuis 12 ans et j'ai le sentiment, selon les différents forums consultés, qu'en tant que travailleur autonome, la "paperasse" est relativement limitée au Québec... si l'on a un bon comptable, tout semble un peu plus facile qu'en France ...(me trompe-je??) :cool:

    Il me semble également que pour immigrer au Québec, le dossier à remplir en tant que travailleur autonome est plus facile à obtenir... si parmi vous certains ont des informations plus précises ou des précisions...je suis preneuse!

    D'autre part, si vous avancez dans vos démarches, merci de nous en faire part.

    Au plaisir!!

    Le mot "facile" doit être banni du vocabulaire lorsque l'on veut s'installer au Canada, que ce soit au Québec ou ailleurs dans le pays, et que l'on veut y vivre bien.

    La seule façon d'y arriver est de travailler dur, avant le départ et une fois sur place.

  5. Non, aucun problème pour garder un compte en banque. Je l'ai fait, et simplement parce que ça coûte moins cher que d'utiliser mes cartes de crédit canadiennes quand j'y retourne.

    La radiation est intéressante du point-de-vue fiscal si on le fait avant de partir. Il y a en effet possibilité de retoucher pas mal des impôts déduits à la source pour l'exercice en cours.

    Aucune idée comment ça se passe après le départ.

    Et, effectivement, la radiation est obligatoire pour se faire inscrire dans les registres de la population belge auprès du consulat. Ce qui, pour moi, est essentiel. En tant que Belge à l'étranger, vous aurez toujours le droit d'avoir une carte d'identité belge et de voter aux élections fédérales. Mieux vaut faire ces démarches auprès du consulat si vous ne les avez pas encore faites. Parce que, de toutes façons, vous y passerez quand il vous faudra renouveler votre passeport.

  6. Mon petit point-de-vue philosophique sur cette question est le suivant : garder des attaches dans son pays d'origine ne force pas à chercher des solutions pour s'installer et faire sa vie dans son nouveau pays.

    Nous avons tout plaqué : situations confortables et belle maison, et radiés du territoire avec plus un aucun lien administratif et matériel avec la Belgique. Il est encore trop tôt pour dire si cela en valait la peine, mais il est évident que quand on fait cela, on est obligés de trouver des solutions et on ne baisse pas les bras à chaque obstacle.

  7. Bonjour, le "bien", le "mieux", tout ça est très subjectif et je crois justement que Thierry veut éviter cet aspect là :smile:

    Effectivement. Ce peut être bien ou mieux pour certains, et le contraire pour d'autres. À vous de voir si mon récit vous encourage, vous fait peur, vous motive, vous fait vous poser des questions... C'est ça, l'immigration et le changement de vie !

  8. Depuis le 2 juillet 2013 :

    - un emménagement à Montréal

    - des meubles achetés

    - des amis rencontrés

    - 120 candidatures envoyées pour l'un des deux, sans boulot obtenu dans la métropole

    - moins de 120 candidatures envoyées pour l'autre des deux, et un boulot temporaire obtenu dans la métropole

    - quelques candidatures envoyées hors de la métropole pour l'un deux, et un boulot à temps plein et permanent obtenu à Ottawa

    - déménagement à Ottawa

    - travail à distance pour l'autre des deux

    - des amis rencontrés

    - boulot décevant pour l'un des deux, et réenvoi de candidatures

    - un voyage à la terre d'origine pour l'un des deux

    - nouveau boulot permanent à temps plein obtenu pour l'un des deux

    - une offre d'achat sur un condo acceptée

    - un prêt hypothécaire accordé

    L'aventure continue.

  9. Félicitations

    Nous aussi nous avons trouvé rapidement du travail pour mon mari mais ni à Montréal, ni à Quebec mais sur l'ile du Prince Edouard

    C'est effectivement très joli, l'Île-du-Prince-Édouard. Paisible et vert (enfin, pas en cette saison, pour le côté vert de la chose).

    Et les produits de la mer (et de la terre aussi) y sont divins. Ce qui ne fait que rajouter au plaisir.

    Bravo !

  10. Bonjour à tous,

    Montréal. Cinq mois de galère pour trouver du boulot, plus de cent candidatures (avec CV à la norme locale), volontariat, réseautage... aucune percée. Le moral commence à en prendre un coup, et c'est compréhensible, nous en conviendrons tous. Pas bon, ça.

    Par simple curiosité, envoi de CV dans d'autres villes que la métropole québécoise. Réponse après le troisième envoi, entrevue décrochée, emploi confirmé, bonnes conditions et presque au même niveau que celui auquel j'étais en Europe (même si ce n'est pas une référence, je suis d'accord, mais ça rassure sur ses compétences).

    Nous décidons, mon conjoint et moi, de saisir la chance et d'aller là où le vent nous mène.

    Donc, oui, l'adaptabilité et la créativité sont essentielles. L'immobilisme et la procrastination sont à proscrire parce qu'ils ne mènent nulle part. Et, surtout, ne pas résister au changement.

    En route pour de nouvelles aventures... Et surtout très curieux de voir où elles aboutiront.

    À bientôt,

    Thierry

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