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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 2022-06-26 dans toutes les zones

  1. Qc19

    Traumatisé par le Québec

    Pour vous répondre: imaginez-vous recevoir des gens d’un autre pays qui s’installent près de chez vous… et qui critiquent tout dans votre ville, pays…. et que tout était mieux chez eux…. (Vous avez le gout de leur dire quoi? Si t’es pas content d’être ici… y’a rien qui te retiens ! ) Venir au Québec en pensant que c’est une extension de la France est une erreur. Il faut comprendre que les québécois ne sont pas des français en Amérique. Nous avons près de 400 ans de culture faite ici. Nos ancêtres sont français … mais aussi irlandais, anglais, écossais, cree, mic-mac, hurons, italiens, grecques, etc. Faites un effort pour connaître cette culture qui n’est pas française! Nos façons de faire ne sont pas françaises non plus. Nous sommes différents!
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  2. juetben

    Traumatisé par le Québec

    C'est sur que quand on te lit, se retenir de t'envoyer ch**r c'est assez difficile, que tu sois français ou autre ton attitude arrogante ne mérite que ça!
    3 points
  3. Qc19

    Traumatisé par le Québec

    Pantoute! Comment pouvez-vous declarer que nous nous sentons inférieurs? C’est NOTRE français! Finalement, vous dites n’importe quoi! Vous ne nous connaissez pas du tout! C’est ca le gros problème des maudits français!
    2 points
  4. C'est pas parce qu'il est un Français, c'est parce qu'il est (en bon québécois) un p'tit frais-chié. Nuance ! J'aime les Français, ils sont nos cousins. Les frais-chiés, par contre...
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  5. Dans l'absolue , si vous postuler à un cegep pour un DEC en comptabilité vous seriez admis. Mais franchement étant donnée que vous êtes déjà titulaire d'un BTS et d'une licence je n'y vois pas l'intérêt si ce n'est pas perdre votre temps et votre argent. Il serait préférable de postuler à une maitrise , mais bon , c'est vous qui voyez.
    1 point
  6. Les "influenceurs" peuvent bien dire n'importe quoi... ce qui compte, c'est l'information sur les sites officiels du gouvernement.
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  7. https://www.canada.ca/fr/immigration-refugies-citoyennete/services/travailler-canada/permis/temporaire/besoin-permis.html Répondez aux questions et vous saurez quoi faire Concernant votre ligne 5, il faut un permis temporaire de plus de 6mois, le touristique ne va pas au delà de 6mois. Oubliez ce raccourci, tout en sachant que vous avez l'interdiction formelle de chercher un emploi sur place avec le visa touristique. Pour cette passerelle, il aurait en plus fallu une offre d'emploi valide.
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  8. Stephany01

    Traumatisé par le Québec

    C'est dommage et bien triste de réagir comme ça ! Pourquoi être aussi amer et aussi insistant pour avoir raison ? ça dessert votre cause. ça vous rend agressif. Peut-être que vous pouvez passer à autre chose non ? une autre destination où réussir votre immigration... C'est pas grave, votre expérience n'est pas un échec...c'est juste une expérience de vie. Prenez soins de vous et bonne continuation.
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  9. Jade

    Traumatisé par le Québec

    Tu sembles un "petit rigolo" dans ton genre, à la tendance généraliste et parano ! Personnellement et comme tant d'autres français(e)s, je n'ai jamais rencontré de problème particulier, jamais eu de réflexions. Reste que des idiot(e)s tu en trouveras de partout, dans tous pays. Il suffit juste de prendre un certain recul. Ceci dit, comme il a été expliqué auparavant, tu ne sembles pas être fait pour l'immigration. Problème d'adaptation et/ou de remise en question ? Peut-être aussi que migrer dans une région française, t'aurait largement suffit. Mais là aussi, attention à ton approche.
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  10. jimmy

    Traumatisé par le Québec

    Il n'y a pas de racisme ''anti-Français'' ou même anti-immigrant au Québec. Attention; bien sur il y a des individus raciste, comme partout dans le monde. Mais collectivement les Québécois et la société Québécoise n'est pas du tout raciste. Non ce qu'il y a cependant c'est que plusieurs Québécois en ont marre de certains immigrants qui nous méprisent. Par exemple ceux qui n'apprennent pas le français et qui nous méprisent lorsque on leur demande de nous parler en français. La oui, il y a conflit potentiel. Il y a aussi ceux qui ouvertement nous ridiculises au sujet de notre accent, nos tournures de phrases bien québécoise. Ça , c'est surtout certains Français qui vont le faire. Une dernière chose...il faut admettre cependant qu'il y a effectivement des différences culturelles importantes entre les Québécois et les Français. Un exemple qui je l'admets est anecdotique...mais quand même je pense important de le souligner car c'est (d'après moi) un très bon exemple de différences culturelles. Je regarde souvent sur TV5 l'émission télé ''Bienvenue Chez Nous'' . Ce sont des gens en France qui se reçoivent l'un l'autre dans leurs maisons d'hôte respectives. Ça fait beaucoup rire les Québécois car, surtout a la dernière émission/bilan de la semaine ils s'envoient tous ch**r l'un l'autre de façon magistralement en critiquant la maison d'hôte de l'un et de l'autre. Et bien croyez le ou non, après s'être envoyer ch**r vigoureusement, a la fin ils prennent tous un bon verre de champagne en gage d'amitié. Ça vous voyez c'est une différence culturelle importante...car en effet si vous passez votre journée a critiquer le Québec, a critiquer ma maison, mon environnement, ma façon d'être, mon accent...et bien ne vous attendez pas a ce que l'on sabre le champagne après.
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  11. Tu travailles pas au Canada avec un visa visiteur, tu dois demander un permis de travail! Donc quand tu travailles tu es en permis de travail pas en visa visiteur!
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  12. Qc19

    CV CANADIEN/CV QUEBEC

    Votre diplôme pourrait etre un avantage a long terme. L’employeur devrait savoir a qui ils ont affaire.
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  13. Quand nous préparions notre départ de France, j’étais tellement contente de trouver sur ce site des bilans de personnes ayant immigré que je me dis que c’est à mon tour d’en publier un. En espérant qu’il donne quelques clés à des personnes qui souhaiteraient tenter l’aventure. Il y a tellement de sujets que je voulais aborder, que je vous ai fait des catégories, pour que vous puissiez lire directement les bouts qui vous intéressent :D Les conditions de départ (un peu de contexte) C’était en 2017, l’année de mes 32 ans et des 37 de mon compagnon. Nous avons immigré en couple (conjoints de fait). À son troisième passage au Forum emploi Québec (tous les 6 mois à Paris), il a décroché une offre d’emploi et le visa fermé qui allait avec. J’ai bénéficié d’un visa ouvert de conjointe. Nous sommes partis avec l’intention de rester aussi longtemps que possible, en ayant mis nos meubles, livres et vinyles dans un container. L’arrivée (Montréal, ciel gris de novembre) Nous avions loué une chambre sur AirBnB pendant une semaine, dans un quartier de Montréal qui nous semblait sympa. Nous avons consacré ces 7 jours à trouver un appartement dans les parages et cela a fonctionné ! On a passé quelques jours dans un appartement vide à dormir sur des matelas gonflables avec un carton renversé en guise de table, on a racheté une foule de choses pour s’équiper et ce qu’on avait apporté de France est arrivé en janvier. Nous louons toujours au même endroit aujourd’hui. Nous aimons notre appartement et notre quartier :) Les formalités administratives (le dédale) Nous avons eu de la chance de ce côté-là. Comme déjà dit, nous sommes venus avec des visas temporaires, et tout s’est enchainé avec assez de fluidité jusqu’à la résidence permanente. Je dis cela avec du recul, mais sur le coup ça demande du courage, de la patience et de la rigueur. Tout est long et compliqué, même dans une situation simple comme la nôtre ! Ça a beaucoup occupé notre esprit et nos soirées jusqu’à ce que nous obtenions la fameuse RP, au bout de 3 ans. À notre époque on parlait déjà de délais qui rallongeaient, et de ce que j’entends, ça n’a fait qu’empirer ces dernières années, surtout au Québec. On a réussi à s’en sortir avec la RAMQ, et nous avons même fini par obtenir un médecin de famille après deux ans environ. Le plus simple a été indéniablement d’obtenir un permis de conduire québécois, quand on en a un français, ça va tout seul ! Les impôts restent un exercice pénible, mais on finit par comprendre, puisqu’il faut le répéter chaque année… Le climat (parlons-en) Au bout de cinq hivers, dont le premier dès notre arrivée et les deux derniers en pandémie, je commence à comprendre les personnes immigrées de longue date qui disent "on ne s’habitue jamais vraiment”. En fait, je crois que même les Québécois et Québécoises ne s’habituent pas vraiment. Quand arrive la fin de l’hiver, on est lessivé. Et je pense que c’est vrai pour la majorité des gens. Le froid, on fait avec ; la neige, c’est beau ; le fait que c’est long, on apprend à le voir autrement si on prend ça sous l’angle des six saisons, comme dans la tradition autochtone… Mais il n’empêche que tout cela mis ensemble, c’est contraignant (il faut s’équiper pour lutter contre le froid, la neige rend les déplacements difficiles...) et donc fatigant. C’est toute une logistique différente pendant presque la moitié de l’année, et si, comme moi, on n’est pas une grande assidue des sports d’hiver ou légèrement paresseuse, on finit immanquablement par passer trop de temps à l’intérieur, et donc à déprimer un peu… (J’écris au début de mai, c’est tout juste le printemps, je suis encore dans cette phase où je suis un peu déprimée. Si c’était les neiges de décembre, je vous dirais que c’est merveilleux, car je vais bientôt pouvoir aller faire du patin sur l’étang à côté de chez moi !) Quand l’été est là et que la végétation explose (quelle surprise la première année, nous qui étions arrivés après la chute des dernières feuilles !), c’est fantastique. Même s’il se met vite à faire trop chaud. Les canicules à Montréal sont de plus en plus fréquentes et peuvent être très pénibles. (Mes principes écologiques ont fini par lâcher quand il a fallu que je télétravaille, et accepter d’allumer la clim s’est avéré un réel soulagement !) Heureusement, il y a des piscines gratuites et des jeux d’eau partout en ville, et des lacs aux alentours. Malgré les contraintes, il y a un certain plaisir à vivre des conditions météorologiques contrastées. Cela donne une conscience vive du cycle des saisons. L’économie, le monde du travail L’économie est très libérale, avec tous les avantages et les inconvénients que cela comporte. Dans le contexte actuel de pénurie de main-d’œuvre (très différent de la France, donc), c’est plutôt à l’avantage des salariés. Personnellement, j’ai facilement trouvé du travail une fois sur place, bien plus rapidement que je l’espérais. Et notre niveau de vie a clairement augmenté par rapport à lorsque nous vivions en France. Je dirais que c’est dû à notre parcours chanceux (mon conjoint travaille dans le web ; j’ai eu d’excellentes relations avec mon premier boss, ce qui m’a fait de solides références pour la suite) et à l’ouverture aux profils atypiques d’ici (mon compagnon est un autodidacte, il n’a pas le bac ; moi j’exerce un métier qui n’a rien à voir avec ma formation initiale). La santé Ce n’est pas affreux, mais ce n’est pas simple non plus. S’il vous arrive une urgence grave (mettons une péricardite, comme c’est arrivé à mon compagnon), vous êtes pris en charge rapidement (à Montréal, du moins). Mais il y a clairement un manque d’effectif médical. Obtenir un rendez-vous pour quelque chose de bénin, mais qu’on aimerait faire soigner avant que ça dégénère peut être extrêmement long ou compliqué quand on n’a pas de médecin de famille, comme c’est le cas pour la majorité des gens (la plupart sont en attente). Je n’ai pas d’enfant et pas besoin de suivi régulier (à part un frottis et un changement de stérilet toutes les x années), donc je m’en sors bien. Mais je pense que ça peut être un enjeu. À moins d’être riche et se payer des soins en clinique privée. La vie en société (la partie la plus subjective, où je fais des comparaisons douteuses avec la France… J’assume: de toute façon tout ce texte n’est que ma vision très partielle des choses ! Les gens sont courtois et ont généralement un bon sens du service dans les commerces ou les administrations. C’est très agréable. Au petit jeu des comparaisons avec la France, je leur donne le point sans hésiter. Et en tant que femme, je trouve clairement la société ici moins sexiste que la France. Je le souligne parce que j’ai été sincèrement et agréablement surprise de le constater. Je ne m’attendais pas à ce que ça ait tant d’importance pour moi. Et pourtant j’ai la sensation d’avoir posé un poids en arrivant ici. D’être vue comme une personne avant tout, peu importe si je suis un homme ou une femme. Et j’ai l’impression que de manière générale, la société est plus inclusive ici qu’en France. Le fameux “vivre et laisser vivre” je le ressens dans les rapports entre inconnus ou presque (voisins, commerçants, personnes qu’on croise occasionnellement). À Montréal du moins. Je ne sais pas pour les régions. Ce n’est pas le paradis non plus. Il y en a du sexisme, du racisme (beaucoup envers les autochtones, même si ça change progressivement), du rejet des différences et des inégalités sociales. C’est une société imparfaite, avec des humains imparfaits, qui ont une culture différente de la mienne. Les amitiés Difficile, quand on arrive adulte dans un nouvel endroit, de créer des liens forts avec des personnes qui sont là depuis longtemps et ne sont pas, comme vous, en recherche d’amitié. Difficile de créer des liens spontanés avec des personnes qui n’ont pas les mêmes codes culturels que vous. (Parler la même langue ne signifie pas partager les mêmes codes culturels.) Difficile de créer des liens avec des personnes qui n’ont pas une expérience de vie similaire à la vôtre. (Et changer de pays c’est toute une expérience de vie.) Si on combine ces trois facteurs, ça rend extrêmement difficile de lier des amitiés avec des Québécois ou des Québécoises. Ça ne veut pas dire impossible. Mais ça ne se fait pas facilement. Et je prends conscience que les personnes qui composent mon cercle social aujourd’hui sont très majoritairement européennes, ou pour le moins immigrées (on a au moins en commun l’expérience de l’immigration et la volonté de rencontrer des gens). Mes amis les plus proches sont en France. (À 6000 km donc, merci Internet !) L’immigration en couple (non marié, sans enfant) On a tenu ! À bout de bras par moment. La pandémie n’a pas aidé. On tient toujours. J’ai parfois eu l’impression que c’était à double tranchant de partir a deux. Cela apporte du soutien, mais peut aussi amener à trop s’appuyer l’un sur l’autre. Et changer de contexte peut révéler des facettes de nous-mêmes que nous ignorons. Je dirais que c’est un excellent test pour la solidité du couple ! Mon impression dans tout ça Ça a été difficile. Mais je ne regrette rien et je n’ai pas envie de retourner vivre en France. Même si j’ai vécu un déracinement. Même si je pense qu’il faut être un peu inconsciente de tout ce que ça représente pour se lancer là-dedans. L’immigration est une expérience incroyable, que je ne regrette pas de vivre. Une part de moi sera toujours de l’autre côté de l’océan, quel que soit le côté où je me trouve.
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  15. Vous devez prouver que vous disposez des frais de subsistance, même si au bout du compte vous avez la chance d'être hébergé par de la famille. Imaginez qu'au bout d'une semaine vous vous disputez et ils vous mettent dehors, vous faites quoi ?
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  16. Vous pouvez essayer de presenter une lettre attestant l’engagement de la famille. (mais honnêtement, je ne crois pas que ca passe!) Que se passe t-il s’ils changent d’idée???!
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  17. Allo tout le Monde, Mon dernier post sur mon bilan daté de 2016, voici une mise à jour par rapport à ce que j'avais écrit pour nos 5.5 ans et maintenant. Voilà le post que j’ai mis en ligne pour nos 5.5 ans au Quebec. Ou en sommes nous 7 ans plus tard soit pour nos 12.5 ans sur le sol quebecois. Posté(e) 2 février 2016 Bonjour, cela fait longtemps que je lis ce forum. Interressant et je voudrais vous faire part de mon ,de notre experience. Nous sommes arrivés au Quebec, en juillet 2010: moi, mon conjoint ,ma fille de 8 mois et mon ventre rond...LOL On a toujours voulu immigrer, on s'était bien choisi pour cela! LOL On a fait 3 voyages de prospection: juin 2006, fevrier 2007 et aout 2008. Notre projet a été murement refléchi. Nos familles étaient préparées à l'éventualité. Puis nous avons entamés les procédures ,je vous laisse le blabla ,mais on a eu des sueurs froides car je suis tombé enceinte apres avoir recu nos csq et envoyer le dossier du fédéral ....mais je vais vous epargner. Donc maintenant 5 ans 1/2 que nous sommes là. Bilan positif pour nous. Toujours positif, sinon je ne vous en parlerai pas ! ^^ Amis: 0 ,on ne peut compter que sur soi meme, mais cela ne nous dérange pas outre mesure. Je sais que certaines personnes ont du mal avec cela, vivre sans amis. 12.5 ans après le même constat, on a beaucoup de connaissances mais pas vraiment de vrais amis. Le seul vrai ami que nous avons ici est un immigrant comme nous qui vient de Jordanie. On est très sociable mais difficile de trouver des personnes avec les mêmes gouts/passions que soit. Quand trouvés ,la distance n'aide pas . Nous habitons en ''campagne'' mais travaillons à la ville. On va dire qu'avec le train train quotidien, notre planning est assez chargé avec les enfants. Travail: On est bien payé pour ce que l'on fait mais les taches sont differentes tirées plutot vers le bas (du moins en électronique: un technicien electronique correspond plus à un assembleur en France par ex) On a changé plusieurs fois, on va dire que la plupart de nos collègues québécois quittent leur job pour trouver meilleur , on s’est habitué à ca et on fait un peu pareil. Il n’y a pas de problème pour trouver un job en général. On n’a plus de probleme pour faire nos preuves , on a assez d’expérience maintenant ici. Anglais: si vous parlez anglais vous aurez un meilleur emploi (c'Est ce qui nous manque pour postuler à des postes dont les taches correspondent à celles que l'on avait en France) Toujours vrai, l’anglais est un point vraiment important pour avoir un bon job . Je suis plus à l’aise en anglais grâce aux cours que je suis depuis 2 ans . Santé: On n'a pas eu trop de pb à ce niveau la`.On habite une petite ville et on a acces à un medecin et à un hopital. Par contre il ne faut pas avoir quelque chose qui sort de l'ordinaire car c'est la cata (c'Est ce que je trouve) Malheureusement ca a empiré depuis. Le medecin que l’on avait ne fait plus que 2 demi journée par semaine de consultation et impossible de l’avoir au tel. Il faut prendre rendez vous 1 mois avant pour l’avoir le mois prochain et pour téléphoner c’est juste un jour et pendant 1h. Les cliniques sans rendez vous ne répondent pas et la seule qu''on a utilisé ne le fait plus. Donc si besoin , il n'y a juste que l’hopital de dispo mais là encore, c’est très difficile de se faire soigner correctement. Education: On trouve que l'apprentissage se fait assez tard: ecriture, lecture (ma fille est en maternelle 5 ans) ET SURTOUT c'est une chose à laquelle on avait pas pensé mais qui me rend furieuse c'est le niveau de francais. Des fautes à tout bout de champs: meme les educatrices qui s'occupent des enfants de 1 an à 5 ans font des fautes inadmissibles! Par ex: je m'en vas, toujours des e à la fin de tout et fait meme s:il ne faut pas en mettre: j'ai faite toute,.. ca me herisse le poil et encore plus depuis que ma fille va à l'école. Je dis toujours quand ils ont un cours c'est cours de francais pas de québécois. Je ne me rappelle pas à l'école parler en argot ou autre.Lol vous devez rire en me lisant! Mais comme je dis on avait pas du tout penser à cela. mais on est francais et je pense que c'est pour cela! La langue est différente, elle a son charme . Beaucoup de mots viennent du vieux francais , mots qui ont disparu en France mais toujours utilisés ici. À l’école mes enfants s’ennuient beaucoup. Ma fille va passer au secondaire ( nouvelle étape pour elle et pour nous) dans un classe enrichie, elle en a réellement besoin car elle a un besoin d’apprendre énorme. Il faut s’habituer à ce nouveau système educatif ,très différent. Il faut défaire ce qu’on sait et réapprendre la bonne façon de voir le système. Mais ce que j'aime c'est apprendre de nouveaux mots quebecois par ma fille :abriller,les petites expressions c'Est tellement beau... Maintenant on est habitué et cela fait parti de nous maintenant. Parfois je ne suis même plus capable de me rapeller comment je nommais telle ou telle chose .lol . Et puis je fais bien rire mes collègues quand je leur dis le vrai nom en francais car beaucoup de mots utilisés sont anglicisés: shrink = gaine thermoretractable, ca ca fait toujours rire, céduler , et pleins d'autres qui font maintenant parti de notre vocabulaire. Il faut s'adapter ! ^^ Et dans l'autre sens c'est pareil week-end devient fin de semaine ; caddie devient panier ; papier sulfurisé devient papier parchemin .... Parfois un mot provencal traverse mes levres, on me regarde de biais et quand tu expliques, les gens sont contents d'avoir appris un mot. Et puis je ne peux pas renier d'ou je viens, mes croyances, mes us mes coutumes en un claquement de doigts. On a tous notre bagage , on ne peut pas tourner la page. A part cela tout va bien. Tout va très très bien, on a fait notre nid ici. On est nouvellement Canadien et fiers de l’être. Une nouvelle étape franchie. Énormément de choses se sont passées , on a pris le rythme de notre nouvelle vie. On se sent parfaitement intégré. Les gens évoluent ,les mentalités évoluent dans tous les pays, il faut faire preuve d’adaptation, trouver sa place dans ce Monde. Nous l’avons trouvé ici. Je me rappelle mon premier sentiment quand j’ai mis les pieds sur le sol québécois la premiere fois en 2006, le sentiment que je faisais partie du Quebec ,du Canada, que ma place était ici et nulle part ailleurs. Un sentiment fort que j’ai éprouvé et j’ai été soulagée quand nous avons enfin posé nos valises ici en 2010. On a parcouru du chemin , nous qui étions arrivés avec seulement 7 sacs de sport, 1 lit pliant de bébé, une poussette et un tapis d’eveil. On est reparti de zéro, en quittant nos jobs, nos possessions et notre famille . Si ca serait à refaire, nous le referions sans hésiter une seule seconde ! Notre vie est ici et nulle part ailleurs. Je rajouterai : toute immigration est différente selon les individus, on ne peut pas se comparer les uns les autres. On est tous différents dans nos choix ,dans nos buts. Faites votre propre expérience, vivez vos choix selon vous et non selon les autres. Merci de m'avoir lu Stéphanie
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  18. crazy_marty

    CV CANADIEN/CV QUEBEC

    Tu dois mal regarder alors parce que des modèles de CV sans photo, y'en a partout aussi. Par contre ... moi qui recrute ... des fois ... le reste de ton commentaire me laisse sans voix. Si tu n'es pas prêt à faire un minimum d'efforts pour ton propre CV ... pourquoi tu en ferais en travaillant? Un CV ça s'adapte au poste qu'on convoite. Alors des modifications se Word, tu vas en faire beaucoup ...
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